FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini expédiée de Dor[...] et l'exemplaire de l'un de ses opéras, ainsi que de sa lettre du 16 août qui lui laissait espérer ainsi qu'à Marie Moret sa visite à l'occasion de la fête de l'Enfance. Sur Joseph Manier. Il lui donne raison de blâmer les articles sur le colonel Ramollot insérés dans Le Devoir par le rédacteur du journal. Il précise que Marie Moret ne s'occupe en ce moment que des citations de la sagesse antique. Il lui transmet à lui et à ses sœurs les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prie Pagliardini de ne pas se tourmenter à propos de la question dont Manier l'a entretenu, en raison de son impossibilité constitutionnelle et parce qu'il n'a aucune ambition de gouvernement : « Je cherche à accomplir tout le bien qui m'est possible dans la limite de mon obscurité, sans courir après des fumées de gloriole que je dédaigne. » Il lui exprime sa reconnaissance et celle de Marie pour son appréciation affectueuse à l'égard de celle-ci. Il lui signale que monsieur et madame Cooper [...]ley sont retournés en Angleterre sans être venus au Familistère. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret aux sœurs de Pagliardini.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 5 avril 1884. Il l'informe qu'il lui a envoyé les 40 exemplaires du numéro exceptionnel du journal Le Devoir et qu'il a fait adresser le journal à Christine Schenk à New York. Il lui demande des renseignements sur les sociétés de paix de Londres : Peace Society, dont l'organe est The Herald of peace and international arbitration ; Workmen's Peace Association, dont l'organe est The Arbitrator ; International Arbitration and Peace Association, dont le fondateur et président est Hodgson Pratt et le secrétaire Lewis Appleton. Il lui demande s'il connaît d'autre sociétés de paix, outre la Ligue de la paix et de la liberté de Charles Lemonnier, qui a pour organe Les États-Unis d'Europe. Il lui annonce que Le Devoir va publier un numéro exceptionnel sur la paix et l'arbitrage. Godin indique à Pagliardini que l'achèvement de sa lettre a été retardé et qu'il a reçu sa lettre du 27 mai qui contient un chèque pour l'abonnement au Devoir [de Christine Schenk] et un numéro du Women's suffrage Journal. Dans le post-scriptum, il lui précise qu'il est conseiller municipal et non conseiller général et lui indique que le numéro du Devoir du 19 août 1883 évoque sa défaite à l'élection au conseil général.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une lettre de mademoiselle Scheuer (?) que Pagliardini a oublié de transmettre à Godin. Godin et Moret espèrent la visite de Pagliardini dans quelques mois. Godin signale à Pagliardini l'importante publication faite par The Cooperative News, le journal du Central Cooperative Board dirigé par Edward Vansittart Neale, qui compte 25 000 lecteurs : le journal publie depuis le 13 septembre 1884 le compte rendu par Edward Owen Greening de la visite de huit coopérateurs anglais en août dernier, comme l'a indiqué le journal Le Devoir. Godin recommande particulièrement le numéro du 1er novembre du Cooperative News, dans lequel Greening « entre à fond dans son sujet ». Godin et Moret adressent leurs vœux de bonheur à Pagliardini et à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond aux lettres de Pagliardini des 15 février et 22 mars 1885. Sur une visite de Pagliardini en juillet ou en août. Sur les nouvelles du Familistère transmises à Pagliardini par le moyen du journal Le Devoir. Sur la lettre de Pagliardini du 15 février racontant comme il a enrôlé Neale et Greening dans la défense du Familistère. Il répond à Pagliardini comme à Greening à propos des visites du Familistère que « le Familistère est fait pour être vu et étudié » mais qu'il faut distinguer les personnalités studieuses des simples curieux. Il transmet aux sœurs de Pagliardini les meilleurs sentiments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini relative à la maison Sampson Low, qui lui demande le dépôt de son ouvrage Le gouvernement et d'en faire une distribution aux journaux. Godin pense que la distribution à la presse est une perte sèche. Il demande à Pagliardini ce qu'il a fait des exemplaires du livre qu'il a emportés. Il lui signale qu'il a déjà l'article du Harper magazine et qu'il n'a pas encore répondu à sa lettre du 7 octobre 1885. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini, à ses sœurs et à Lucy Latter. Dans le post-scriptum, il indique que Marie Moret a écrit à Lucy Latter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il envoie à Thomas Burt, membre du Parlement et président de la fête du 10 février, une lettre de félicitations ; il lui demande si Burt connaît le français ; il lui indique qu'il lui a également adressé au bureau du journal The Arbitrator treize paquets contenant chacun ses six études sociales à remettre aux treize membres du Parlement. Godin demande à Pagliardini si, en plus des articles du Times, il a lu l'article du Spectator du 9 janvier auquel il a répondu dans Le Courrier de Londres du 23 janvier 1886. Il lui demande de continuer à lui envoyer les journaux anglais qui parleraient de son livre Le gouvernement/em>. Il lui signale que le journal Le Devoir a rendu compte des travaux de la Labour association et de la London productive society.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pagliardini si les évènements de Londres ne l'ont pas troublé. Il lui demande s'il a bien reçu sa lettre du 7 février 1886. Il lui fait remarquer que The Arbitrator ne fait que mentionner sa lettre de félicitations aux amis de la paix ; il lui demande qui a réceptionné les brochures envoyées à Thomas Burt ; il le félicite d'avoir été réélu secrétaire correspondant pour l'Italie [de la Workmen's peace association]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin espère pouvoir envoyer à Tito Pagliardini son ouvrage la semaine prochaine malgré des difficultés de brochage. Il espère qu'il pourra en faire la publicité dans la presse anglaise car la France n'est pas aussi réceptive à ses idées. Il lui signale qu'il écrit à un ami de Bruxelles pour faire de même en Belgique. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Pagliardini qu'il a obligé son imprimeur à brocher à la hâte un exemplaire de son livre pour le lui envoyer de Paris avant d'aller passer quinze jours au Familistère, où il n'est pas rentré depuis quatre mois. Il lui demande de lui faire part de son jugement sur le livre, mais le prévient qu'un chapitre du livre est difficile à lire : « Peut-être trouverez-vous aussi que cela condamne un peu trop la théorie de l'attrait pour y substituer celle du dévouement à l'ordre universel. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'envoi d'exemplaires de Solutions sociales que Godin n'a pas réalisé en raison de ses rhumatismes et de l'imprécision des indications de Pagliardini. Godin attend que Pagliardini lui communique son appréciation du livre. Sur la difficulté de la deuxième partie du livre. Il adresse ses compliments et ceux de Marie Moret à Tito Pagliardini et à sa femme.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pagliardini du 23 juillet 1871. Il espère que son appréciation de Solutions sociales n'est pas celle d'un ami et d'un coreligionnaire : « Il me semble en effet difficile qu'un homme qui n'a en aucune façon cultiver (sic) l'art d'écrire soit arrivé du premier coup à faire une œuvre aussi parfaite que vous le dites. » Sur la phrénologie : « [S]uivant moi l'être fait la forme ; la forme indique les tendances des facultés, et sous toutes les formes, il peut y avoir des hommes de grand mérite. ». Il lui annonce qu'il lui a fait envoyer 30 exemplaires du livre et le remercie de son concours pour sa diffusion. Il l'informe qu'il peut lui écrire jusqu'au 4 août à l'établissement hydrothérapique de Bellevue, où il tente de soigner ses douleurs sciatiques. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pagliardini qu'il a reçu à Versailles le numéro du journal The Builder [contenant un article sur Solutions sociales], et qu'il se trouve à Guise jusqu'au 4 décembre à l'occasion des vacances de l'Assemblée nationale. Il juge que l'article du Builder est plus important que ceux qui ont paru dans L'Indépendance belge, dans L'Avenir national et dans La Cloche. Il soupçonne Pagliardini d'être l'auteur de l'article du Builder. Il transmet à Pagliardini et à sa femme ses amitiés et celles de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Pagliardini qu'on lui demande de traduire en anglais Solutions sociales à Hammonton dans le New Jersey et à Lausanne de la part de madame Bergeron. Il lui explique qu'en Suisse, il ne s'agit que d'une traduction partielle mais qu'aux États-Unis, le Harper's Magazine veut publier une partie de l'ouvrage avec les illustrations et son portrait photographique en tête. Godin ajoute qu'on lui a écrit une lettre de félicitations du Sénégal : « Bientôt, vous le voyez, toutes les parties du monde seront en possession de mon livre, mais il faudra plus de temps pour que mon livre soit en possession de l'humanité. » Il lui demande son avis sur le projet de traduction de madame Bergeron.
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