FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles de Boyve, 2 décembre 1891
Réponse à une lettre d'Édouard de Boyve en date du 30 novembre 1891 : s'adresser directement à Dequenne et non à Bernardot pour le sujet en question ; Marie Moret n'est pas en mesure de satisfaire la demande de de Boyve en ce qui la concerne [une contribution à un livre ou un journal ?] : « Quant à ce qui me concerne, précisément parce que je porte le nom d'un homme dont toutes les paroles ont un mérite hors ligne, je ne puis ni ne veux mettre ce nom au bas de pensées insignifiantes ou rebattues. Or, je n'enfante pas les idées comme mon mari, et suis réclamée par des soins qui m'ont fait laisser là des études qui, seules, eussent pu me mettre, peut-être, en état de répondre à votre désir. »

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles de Boyve, 24 décembre 1891
Envoi d'un mandat postal de 5 F pour réabonnement au journal L'Émancipation de Marie Moret et de M. Lebègue, tisserand à Saint-Quentin, à l'insu duquel elle fait servir le journal. Elle transmet son souvenir à Auguste Fabre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 19 septembre 1892
Envoi de la plaque de cuivre, portrait en photogravure de Godin, réalisée pour La République du travail.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 16 octobre 1892
Accuse réception du nouveau numéro de L’Émancipation avec le portrait de Neale et sa rubrique nécrologique pour laquelle elle remercie son correspondant. Le remercie également pour la lettre du 22 septembre et espère que les choses se seront arrangées pour l'Almanach de la coopération française.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 18 août 1893
Réponse à une lettre d'Édouard de Boyve en date du 15 août 1893 : Auguste Fabre a vu François Dequenne pour que le Familistère soit représenté par un des conseillers de gérance au 7e congrès national des sociétés coopératives de consommation de Grenoble (15-18 octobre 1893) ; la décision du conseil sera prise en septembre après la fête de l'Enfance. Madame de Boyve souffrante, Marie Moret espère que le séjour à Aix-les-Bains la soulagera.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 23 février 1888
Marie Moret retourne à de Boyve une lettre en anglais de monsieur Raymond. Elle lui explique qu'elle préfère lire cette lettre en français dans L'Émancipation plutôt qu'avoir à la traduire, et qu'il la croit plus forte qu'elle n'est. Elle n'aspire qu'au repos, à la paix et au recueillement absolu pour pouvoir publier les manuscrits de Godin ; elle laisse à Fabre et à de Boyve la responsabilité de direction du mouvement coopératif.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 16 août 1897
Informe de Boyve que Fabre est partie du Familistère pour aller chez sa fille à Castelsarrasin, où elle a fait suivre la carte postale du 14 août 1897 adressée par de Boyve à Fabre. Sur le changement d'imprimeur du Devoir : réponse à la demande de renseignements faite par de Boyve. Marie Moret fait l'historique du changement d'imprimeur du journal Le Devoir : averti par le fils Laporte, que veuve Laporte allait céder l'imprimerie ; après le décès du père, le départ du fils aîné et l'incertitude de la situation du second fils en raison du service militaire, elle avait perdu confiance dans la solidité de la maison Laporte et pensait à changer d'imprimeur ; elle a essayé de faire imprimer le journal à Paris grâce à Pascaly, mais elle s'est finalement entendue avec l'imprimerie Chastanier à Nîmes ; la décision de changer d'imprimeur est ainsi indépendante des successeurs de veuve Laporte et elle est intervenue avant d'avoir connaissance du plan des ouvriers de Laporte. Elle fait remarquer à de Boyve que Le Devoir « est une revue d'un bien insignifiant tirage : 300 exemplaires ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie de Boyve pour son invitation au Congrès coopératif de Paris. Il l'avertit qu'il ne s'y rendra pas, « à moins que M. Neale, qui sera chez moi le 24 c[ouran]t avec messieurs Holyoake et Johnston, ne me décide à les accompagner ». Il l'avertit que Deynaud, rédacteur du Devoir représentera la Société du Familistère. Il lui fait observer que le programme des travaux du congrès est trop restreint pour lui permettre de déposer un rapport : il regrette que ce premier congrès soit ouvert aux seules sociétés coopératives de consommation et d'alimentation. Il lui demande si le congrès est susceptible d'être réceptif à l'exposé des faits acquis au Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe de Boyve qu'il approuve la proposition qu'il veut présenter à la Chambre coopérative centrale. Sur le rôle de la Chambre coopérative centrale pour favoriser les relations entre les sociétés coopératives. Godin propose à de Boyve de mettre Le Devoir à sa disposition pour toute communication qu'il aurait à faire aux sociétés coopératives. Il l'assure de son concours et de celui de la Société du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin expose à de Boyve le conflit l'opposant à Fougerousse à propose d'une liste d'adresses de sociétés coopératives que celui refuse de lui communiquer. Il lui demande s'il peut lui communiquer ces adresses, afin qu'il puisse envoyer aux sociétés coopératives les numéros des 10, 17 et 24 janvier, qui rendent compte du mouvement coopératif en Angleterre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres des 29 janvier, 6 et 25 février 1886 d'Édouard de Boyve. Il l'informe qu'il a fini par obtenir de Fougerousse l'autorisation de faire copier la liste des adresses des sociétés coopératives ; il le félicite de sa patience et il lui explique qu'il a publié une circulaire adressée aux sociétés coopératives en se passant de Fougerousse. « Soyez certain que, comme vous, en toute circonstance, je verrai le bien de la coopération avant de m'occuper des personnes. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de de Boyve des 1, 25 et 29 mai 1886. Godin a appris que de Boyve, bilingue, était délégué au congrès coopératif anglais ; il juge que c'est en Angleterre qu'il faut chercher les enseignements de l'expérience dont de Boyve pourrait se faire l'écho dans le journal Les coopérateurs français. Il se déclare en accord avec de Boyve et lui demande de représenter la Société du Familistère à l'assemblée du 6 juin 1886 à Paris. Il le remercie pour l'envoi de la brochure La doctrine de Fourier. La lettre est suivie d'un pouvoir daté du 12 juin 1886 et signé par Godin permettant à de Boyve de représenter la Société du Familistère à la réunion des sociétés coopératives de consommation du 6 juin 1886.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre d'Édouard de Boyve du 22 août 1886. Il lui répond qu'il ne compte pas assister au Congrès coopératif de Lyon et qu'il s'en remet à lui pour organiser les sociétés coopératives. Il lui adresse un pouvoir pour qu'il représente la Société du Familistère. Il lui signale que Neale et Acland séjourneront au Familistère avant de se rendre au congrès et qu'il s'entretiendra avec eux des dispositions qu'il y aurait lieu de prendre. La lettre est suivie (folio 141r) du pouvoir daté du 8 septembre 1886 donné par Godin à Édouard de Boyve pour représenter la Société du Familistère au congrès des sociétés coopératives de Lyon du 19 septembre 1886.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, en accord avec Neale, pense que le congrès [de Lyon] doit réclamer du secrétariat de la Fédération des sociétés coopératives la publication des noms et adresses des sociétés coopératives. Il lui transmet un nouveau pouvoir en ce sens. La lettre est suivie (folio 151r et 152v) du pouvoir donné par Godin à de Boyve, signé et daté du 17 septembre 1886, pour qu'il soumette au congrès la proposition d'inviter le secrétariat de la Fédération à fournir à tous ses membres la liste des noms et adresses de toutes les sociétés coopératives recensées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres d'Édouard de Boyve des 22 et 28 septembre 1886, ainsi que le Rapport sur la coopération. Il lui envoie un mandat postal de 5 F pour la cotisation au congrès [coopératif de Lyon]. Il ne peut lui répondre longuement à cause de la préparation de l'assemblée générale de la Société du Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la suite de la lettre d'Édouard de Boyve du 25 octobre 1886 et de la non présentation de sa requête au Congrès coopératif de Lyon, Godin annonce à de Boyve qu'il se retire de la Fédération des sociétés coopératives. Sur Auguste Fougerousse. Il envoie à de Boyve sa biographie, publiée par Neale, et il lui suggère d'y ajouter des détails contenus dans l'étude sociale Le Familistère ou dans Le Devoir, et la liste de ses ouvrages publiés depuis.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à de Boyve que c'est par une erreur des bureaux que la souscription de la Société du Familistère à la Fédération des sociétés coopératives a été renouvelée. Il lui confirme qu'il veut cesser d'en faire partie parce que tout ce qu'il a proposé a été refusé et qu'on veut faire de la Fédération une œuvre cléricale. Il est d'accord avec sa proposition d'alliance internationale, mais désire avant tout que la coopération soit une œuvre de progrès.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure à de Boyve qu'il ne pensait pas à lui mais au bureau de Paris de la Fédération des sociétés coopératives dans la critique de sa précédente lettre. Il lui explique qu'il n'a rien pu obtenir de Fougerousse, mais qu'il a été aussi surpris que sa proposition au congrès des sociétés coopératives ne soit pas présentée. Il lui confie que son projet d'alliance internationale est mal interprété par ses amis anglais et qu'il est gêné que son nom y soit associé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à de Boyve une lettre d'Ugo Rabbeno. Il l'informe qu'il a reçu deux lettres de ce dernier relatives à sa visite du Familistère. Il invite de Boyve à accompagner Rabbeno au Familistère.
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