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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à René Goblet, 12 juillet 1876
Sur un procès avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin explique comment la mention « sans responsabilité » ajoutée à ses lettres de voiture par la compagnie lui cause du tort : il conteste le droit de la compagnie à modifier ses lettres de voiture. Godin demande à Goblet de s'entendre avec Delpech sur la conduite à tenir dans l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Goblet qu'après leur entrevue et sur sa suggestion, il a fait réaliser [par Tisserant] un travail qu'il adressé à Delpech et que ce dernier lui a probablement communiqué. Il lui annonce que Tisserant pourra se rendre à Amiens lui exposer le fondement des chiffres présentés dans ce travail.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. René Goblet considère que la répartition de la licitation défendue par Godin, 5/7e pour lui et 2/7e pour la communauté, est exagérée. Godin prend en compte l'observation de Goblet ; il se range à son avis et à celui de Tisserant sur la répartition, même si c'est le travail de toute son existence qui est en question. Godin évalue les conséquences financières d'une répartition 2/6e pour la communauté et 4/6e pour lui, et demande à Goblet de lui faire part de sa décision sur la répartition à proposer. Dans le post-scriptum, il annonce qu'il envoie à Delpech le plan, que la note jointe commente. La dite note distingue les bâtiments teints en carmin (construit après 1863), les bâtiments en gris (dont l'affectation n'a pas changé depuis leur construction) et les bâtiments en rose (servant d'ateliers et de magasins provisoires puis convertis en ateliers) ; elle précise que le sol des ateliers est pavé de ciment, que des voies de chemins de fer traversent tous les ateliers, et que des conduites de gaz permettent d'éclairer chaque ouvrier par un bec.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre se trouvant dans les mains de Guillaume Ernest Cresson. Godin veut prouver que les faits présentés par Goblet à la cour d'Amiens sont avérés en produisant les originaux et les copies des lettres de la correspondance qui a eu lieu à ce sujet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin réagit aux propositions de transaction avec Esther Lemaire que Goblet lui a soumises, dont le montant s'élève à 1 million de francs, principal et intérêts compris, chiffre proposé par le premier président du tribunal civil. Godin estime que le sacrifice est énorme ; il évoque une atténuation des intérêts et une dotation à son fils Émile. Il se demande s'il ne ferait pas mieux d'attendre la licitation, mais accepte la transaction à 1 million à condition que l'intérêt ne soit pas supérieur à 4 %.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Goblet le montant de ses honoraires, alors que le plus gros de son affaire de liquidation est résolu.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Goblet deux chèques d'un montant total de 6 500 F en paiement de ses honoraires. Godin demande à Goblet si cette évaluation de ses honoraires lui semble convenable, compte tenu de l'important service qu'il lui a rendu en le débarrassant de ce procès, même au prix du versement d'une somme énorme [à Esther Lemaire].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Goblet qu'il va porter en appel devant la cour d'Amiens son affaire de compte avec Esther Lemaire qui a été jugée en première instance. Il lui demande s'il veut bien se charger de l'affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime son regret que les fonctions gouvernementales auxquelles Goblet a été appelé l'ont privé de son concours. Il lui explique qu'Ernest Obry a plaidé dans son affaire de liquidation de la communauté Godin-Lemaire, mais qu'il est à son tour appelé à remplir des fonctions publiques au moment où va avoir lieu l'audience de son procès contre son fils. Delpech a informé Godin que Goblet est prêt à se substituer à Obry dans cette dernière affaire. Il lui explique qu'il veut être débarrassé de l'affaire, que l'audience a été fixée au 22 juin 1880, et que Tisserant a résumé l'affaire dans un travail approuvé par Obry et Delpech.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au ministre de l'Instruction publique que, suivant un arrêté du 13 juillet 1883, les écoles du Familistère comptent parmi les établissements scolaires dans lesquels les instituteurs et institutrices peuvent contracter et réaliser leur engagement décennal. Il lui explique que le nombre de maîtres et maîtresses pouvant bénéficier de cet avantage est fixé à quatre alors que les écoles comptent six classes et peuvent avoir sept enseignant·es. Il lui demande de modifier le décret en ce sens au moment où un jeune instituteur breveté se voit refuser l'autorisation de contracter au Familistère en raison de la limite fixée par l'arrêté.
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