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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carpentier, 19 janvier 1849
Sur le recouvrement d'une créance impayée par Susse : Carpentier se plaint que Godin le juge mal, mais Godin confirme qu'il est embarrassé par le retard mis à la résolution de l'affaire. Il indique à Carpentier qu'il lui revient de vérifier les garanties de l'effet présenté en paiement de la créance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pottier-André, 19 janvier 1849
Godin répond à Pottier-André qui se plaint que Godin ne veuille pas faire de nouveaux foyers pour les cuisinières. Godin lui explique qu'il doit produire des pièces destinées à un grand nombre de personnes ; il accepte de fabriquer les foyers mais indique ce travail prend quinze jours. Pottier-André a envoyé à Godin une lettre de l'utilisateur d'un poêle : Godin répond que celui-ci ne sait pas en faire usage, et propose, moyennant 30 F, de se rendre à La Fère pour faire la démonstration que la chaudière de la cuisinière fonctionne ; il observe en outre que d'après cette lettre, il doit manquer une pièce au-dessus du foyer, qui permet à la flamme de circuler autour de la chaudière.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à trois sociétés exploitant des hauts-fourneaux en Belgique, 19 janvier 1849
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin demande aux hauts-fourneaux s'ils ont de la fonte de moulage n° 1 bien grise et de grande ténacité, et à quel prix ils la vendent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 19 janvier 1849
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin demande à Oudin-Leclère si le jugement du tribunal de Vervins lui permet d'agir contre Degon. Godin explique que Degon pourrait vendre 4 000 F à 5 000 F de marchandises, qu'il a déjà envoyé une voiture à monsieur Camet, qu'il a encore à recouvrer 4 000 F pour des marchandises contrefaites vendues pendant l'hiver, que Degon doit 1 500 F au banquier Hennequière et qu'il va devoir faire des rentrées d'argent. Godin pense que Degon fera appel du jugement du tribunal de Vervins pour essayer de se sortir d'affaire. Godin demande à Oudin-Leclère s'il doit se désister de l'appel qu'il a fait du jugement « illusoire qui a été rendu à mon profit » ou s'il peut faire quelque chose de ce dernier, si les ordonnances du président sont annulées par le jugement et s'il peut faire saisir des objets sans de nouvelles formalités. Il lui demande enfin dans quelle mesure, si les frais du procès sont à sa charge, il pourra faire participer les marchands qui ont vendu des marchandises contrefaites.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delacourt, 19 janvier 1849
Godin demande au sous-préfet de Vervins un dégrèvement de la taxe pour laquelle il est imposé au rôle des prestations de la ville de Guise : il emploie une domestique dans sa maison et non deux hommes ; des trois chevaux utilisés comme force motrice dans l'usine, un seul peut être attelé à un petit tombereau et emprunter les rues de Guise.
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