FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à mademoiselle Joséphine, 23 avril 1861
Godin répond à une lettre de Joséphine. Il lui accorde son pardon pour le mal qui lui a été fait sans pour autant rendre son estime aux personnes coupables d'actes qu'il condamne et méprise. Après que Joséphine a utilisé une lettre anonyme pour insulter d'honnêtes gens, il ne peut reprendre Joséphine au service de sa maison.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouleau, 23 avril 1861
Godin indique à Bouleau qu'il a été surpris par la lettre de ce dernier du 18 avril 1861. Il consent à lui offrir l'emploi de surveillant de fonderie dans sa manufacture et précise que ses appointements seraient de 125 F par mois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 23 avril 1861
Godin informe Collin que la Chambre de commerce de Dunkerque s'est prononcée en faveur du tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et qu'il se rend à Paris pour y rejoindre Wallerand et intéresser quelques personnes au tracé par Guise du chemin de fer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 23 avril 1861
Godin répond aux lettres des 19 et 22 avril 1861 de Wallerand et l'informe qu'il part le lendemain pour Paris et se rendra chez lui le 25 avril vers 9 heures du matin. Il lui indique qu'il pense descendre au Grand hôtel du Louvre

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le receveur des contributions indirectes, 23 avril 1861
Godin demande une régularisation de la situation fiscale du Familistère. Il explique qu'il souhaite pourvoir aux approvisionnements en nourriture et en boisson de la population de la cité ouvrière qu'il a édifiée à Guise et précise que les boissons n'entrent pas dans le droit des débits de boisson mais dans celui de la consommation à domicile. « Il serait heureux suivant moi que l'ouvrier qui n'a pas la ressource d'acheter un tonneau de boisson pût s'en procurer ce qui est nécessaire à sa subsistance et à celle de sa famille au même prix que l'homme aisé. Cela permettrait à un peu de bien-être de pénétrer dans la famille de l'ouvrier auquel le surenchérissement de toute chose s'oppose. » Il ajoute qu'il va ouvrir une pension où les ouvriers pourront prendre leur repas et plus tard un estaminet à leur usage et il espère que l'administration l'aidera à ne pas enchérir les consommations courantes en ne taxant que les consommations superflues.
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