Godin reproche à Hourdequin la lenteur d'exécution des dessins destinés aux prospectus et lui demande quand il pourra se rendre à Saint-Quentin pour les voir sur pierre. Il précise que les ouvertures du dessus de la cuisinière carrée doivent être représentées ouvertes et que les cercles et tampons doivent être dessinés au bas de la cuisinière à la place des marmites. Godin ajoute que si les prospectus n'étaient pas imprimés le 25 juin suivant, il devra reprendre ses modèles pour les faire dessiner à Paris.