FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Delpech s'il détient toutes les pièces de son procès en demande de provision par Esther Lemaire. Il souhaite obtenir des conseils de lui et de maître Goblet sur le jugement ordonnant l'exécution provisoire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Delpech le jugement du 31 août 1876. Godin s'interroge sur le sens de ce jugement qui empêche toute transaction entre lui et Esther Lemaire alors que Quest, le président du tribunal, était auparavant intervenu pour favoriser une transaction entre eux. Godin pense qu'il s'agissait d'un piège et que Quest, tout en se récusant dans l'affaire, « était derrière le rideau pour la rédaction du jugement ». Il rappelle à Delpech qu'Esther Lemaire avait alors refusé les 850 000 F qu'il lui offrait. Godin demande à Delpech s'il doit payer immédiatement la somme ordonnée par le tribunal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande conseil à Delpech sur une demande d'Esther Lemaire d'autorisation pour le partage de la succession de son frère. Dans le post-scriptum, Godin s'étonne que la demande soit faite plusieurs années après le décès du frère d'Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le compte d'Édouard Larue : Godin établit le compte des sommes perçues par Larue depuis octobre 1872 ; il trouve une différence avec le compte établi par celui-ci.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le procès en appel de Godin contre Esther Lemaire relatif à la licitation des biens de la communauté. Sur le développement industriel postérieur à 1863 : Godin invite Delpech et Goblet à venir voir l'établissement de Guise pour éviter une mauvaise interprétation de la situation. Godin estime que le travail des experts, qui a duré deux ans, est à refaire, mais convient qu'une nouvelle expertise donnerait encore lieu à un arbitrage. Godin ne veut pas renoncer aux créations industrielles qui sont sa propriété personnelle : outillage, modèles, brevets, marchandises, matières premières...

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le règlement du notaire Diet par Godin et Esther Lemaire : Godin ne veut pas régler des frais dont il n'est pas responsable. Godin demande à Larue de presser Lecat de déposer son rapport.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à, Larue la copie d'une lettre de Dubois, avoué à Vervins. Il indique qu'il n'a pas de motif pour refuser l'autorisation demandée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ganault des effets d'une valeur totale de 466,35 F en paiement de ses honoraires. Il l'informe qu'il aura bientôt la visite de Goblet et de Delpech, et il lui demande de se joindre à eux. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin informe Ganault qu'il vient de recevoir de monsieur Dubois, avoué d'Esther Lemaire à Vervins, une demande d'autorisation pour introduire un référé contre monsieur Diet pour obtenir de lui toutes les pièces de procédure qu'il conserve.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que des chambres seront prêtes pour lui [et Goblet] à leur arrivée. Sur la répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et sa femme Esther Lemaire : Godin souligne le risque d'être ruiné dans le cas d'une licitation dans les conditions de répartition proposées par les experts, et la possibilité qu'Esther Lemaire, peut-être associée à certains industriels, fasse monter le prix de vente. Godin explique que le moyen d'échapper à la ruine est de faire valoir son droit de propriété sur ce qu'il a fait depuis 1863, sauf les dépenses dans les constructions : modèles, outils, brevets, marchandises, matières premières. Il explique également qu'il n'a pas attaqué l'expertise pour ne pas ralentir le règlement de l'affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin envoie à Delpech une étude faite à Guise avec Tisserant, à intégrer à sa propre réflexion et à celle de Goblet pour le projet de conclusions dans l'affaire de répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et Esther Lemaire. Sur l'inventaire de 1863, réclamé par Delpech mais que Godin n'estime pas pouvoir être utile aux juges. Il lui signale qu'il écrit à Larue. Il lui annonce que lui-même et Tisserant sont prêts à se rendre à Amiens pour achever le mémoire à imprimer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin veut savoir si Delpech et Goblet ont étudié le travail qu'il leur a envoyé. Sur le projet de conclusions de Delpech : Godin estime qu'il peut servir à Goblet mais que les chiffres ont besoin d'être plus justifiés et que le séjour de Delpech à Guise a été trop court pour lui permettre d'avoir toutes les informations nécessaires. Il lui annonce que lui-même et Tisserant pourront se rendre auprès de lui pour arrêter les conclusions après que lui et Goblet aient étudié le travail de Godin et Tisserant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Goblet qu'après leur entrevue et sur sa suggestion, il a fait réaliser [par Tisserant] un travail qu'il adressé à Delpech et que ce dernier lui a probablement communiqué. Il lui annonce que Tisserant pourra se rendre à Amiens lui exposer le fondement des chiffres présentés dans ce travail.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet de conclusions pour le procès en appel : Godin est en accord avec le projet de Delpech mais souhaite qu'y figurent certaines données établies par Tisserant dans son étude. Il suggère à Delpech de commencer son mémoire par un tableau comparant l'état de la fortune commune au moment du mariage et au moment de la dissolution de la communauté pour mettre en valeur les avantages qu'Esther Lemaire retire de la situation. Il lui explique que la note de Tisserant reflète exactement la position qu'il compte adopter à l'audience, et que celui-ci a réuni les différents documents demandés, sauf le plan de l'usine de Guise qui sera prêt dans quelques jours. Il souhaite que Tisserant puisse leur donner des explications sur leur travail commun. Godin insiste sur l'importance de l'audience du procès pour sauvegarder ses intérêts.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin autorise Delpech à faire une offre de transaction à Esther Lemaire de 595 000 F plus les intérêts. Il le prévient qu'Esther Lemaire n'acceptera pas. Godin envisage que l'arrêt de la cour lui soit défavorable et il fait l'hypothèse de ne pas enchérir dans la licitation : « Ne serait-ce pas folie d'engloutir entre ses mains le plus pur de ma fortune ? Mieux vaut le conserver à mon fils. » Il indique qu'il préfèrerait laisser l'établissement à Esther Lemaire plutôt que lui laisser sa fortune : « Je sens toute l'étendue d'un tel sacrifice, mais malheur pour malheur, j'écarterai au moins de mon existence des charges et des ennuis qui, depuis longtemps, pèsent sur moi, et peut-être retrouverai-je ainsi plus d'indépendance et de liberté. » Il suggère à Delpech de demander à Esther Lemaire de lui faire des offres plutôt que d'en faire à cette dernière. Il lui signale qu'il ne peut pas prendre l'avis de Tisserant qui est retourné à Nancy. Il lui demande de lui faire part de ses réflexions et de celles de Goblet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Larue que Tisserant ne pourra se rendre à Vervins le jeudi suivant et que lui ne pourra réunir d'ici-là les documents sur les opérations des notaires. Sur le travail fait par Bernier pour Esther Lemaire. Il signale à Larue qu'il a écrit le 10 février dernier au président du tribunal de commerce de Vervins pour lui demander de délivrer son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une proposition de transaction avec Esther Lemaire à hauteur de 525 000 F plus les intérêts.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Delpech son avis sur une note diffamatoire d'Esther Lemaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet d'une transaction avec Esther Lemaire : Godin évalue les sommes dues à sa femme et il évoque ce qui pourrait revenir à son fils. Il demande à Delpech de lui répondre sur la possibilité qu'Esther Lemaire lui fasse des offres pour la reprise des usines qu'il pourrait abandonner si les conditions qui lui étaient faites pour poursuivre l'activité industrielle étaient trop difficiles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin remercie Ganault de ce qu'il a fait pour lui suivant sa lettre du 9 février 1877. Il lui explique que si la transaction avec Esther Lemaire n'aboutit pas, la cour d'Amiens rendra son jugement le 5 mars 1877, qu'il craint lui être défavorable. Sur l'affaire Boucher et Cie : le jugement est en délibéré ; Godin informe Ganault qu'il va faire distribuer le lendemain les conclusions en réponse à celles de Boucher et Cie. Il demande à ce que monsieur Roullier lui envoie des fonds par la poste. Il signale à Ganault qu'il lira avec intérêt la brochure sur l'utilité publique de l'école normale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient Larue qu'il ne voit pas la nécessité de se rendre le lendemain à Vervins au sujet de l'opposition à la demande de maître Diet, Tisserant n'étant pas encore de retour à Guise. Godin estime que maître Diet a intégré dans ses frais de procédure les frais du travail de maître Barnier qui devraient être la charge exclusive d'Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Larue que Grebel ira le vendredi suivant à Vervins pour lui demander de remettre un document au président du tribunal. Sur l'affaire Graillot : Eugène André a appris que le tribunal de Vervins avait condamné Godin à payer trois mois d'appointements à Graillot ; il voudrait faire appel du jugement à Amiens et prie Larue de demander à Alphonse Delpech si la cour d'Amiens est susceptible de juger dans le même sens que le tribunal de Vervins.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech qu'il a communiqué ses intentions à Goblet. À propos du montant d'une transaction avec Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin réagit aux propositions de transaction avec Esther Lemaire que Goblet lui a soumises, dont le montant s'élève à 1 million de francs, principal et intérêts compris, chiffre proposé par le premier président du tribunal civil. Godin estime que le sacrifice est énorme ; il évoque une atténuation des intérêts et une dotation à son fils Émile. Il se demande s'il ne ferait pas mieux d'attendre la licitation, mais accepte la transaction à 1 million à condition que l'intérêt ne soit pas supérieur à 4 %.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Ganault qu'à défaut d'un accord à l'amiable avec Esther Lemaire, il doit terminer l'affaire par un nouveau procès, et que Goblet n'est pas disponible car il est occupé par les élections. Godin demande si Ganault peut s'en occuper et s'il peut venir à Guise pour examiner le dossier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Ganault pour son élection au conseil général de l'Aisne, où il espère que les intérêts républicains pourront désormais se faire entendre. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce qu'il se contentera de produire des pièces écrites par Tisserant devant le tribunal de Vervins et qu'il ne fera pas plaider par un avocat ; il demande à Ganault ce qu'il pense de cette stratégie. Sur la politique du gouvernement : « Va-t-il nous donner le spectacle d'une conflagration de tous les pouvoirs [...] ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 30 septembre 1878 ; il lui reproche d'avoir passé un mois en France sans être venu le voir. Il lui annonce qu'après avoir été en conflit avec sa femme au moment de la construction du Familistère, il est en conflit avec son fils au moment où il va fonder l'association entre le capital et le travail, « c'est-à-dire entre le Familistère et son industrie ». Il l'informe que le journal Le Devoir reçoit de temps en temps des articles de Maistre au 6 Twisden Road à Londres, qui doit être professeur ; il lui demande des renseignements sur ce dernier pour savoir s'il ne s'agit pas d'un condamné politique. Il lui indique que monsieur Melotte lui écrit qu'il pourrait envoyer chaque semaine plusieurs numéros du Devoir en dépôt chez Morel au 56 Charlotte Street, Fitzroy Square, à Londres : il lui demande si la librairie est solvable. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Goblet qu'il va porter en appel devant la cour d'Amiens son affaire de compte avec Esther Lemaire qui a été jugée en première instance. Il lui demande s'il veut bien se charger de l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Obry que Tisserant lui a demandé à plusieurs reprises de fixer l'audience de l'affaire entre son fils et lui. Il confirme qu'il veut en finir rapidement avec elle. Il souhaite qu'il s'entende avec Delpech pour extraire du mémoire qui lui a été remis la substance utile pour l'impression. Il lui propose de le régler pour le procès.

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Auteur·e : Épaulard, Emmanuel (1848-)
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Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures du Familistère et l'existence d'un compte individuel de Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos du partage des frais de procès entre les époux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le partage de frais du procès avec Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 octobre 1851
Godin remercie son fils pour la lettre que celui-ci a écrite. Il promet de parler de lui à ses grands-parents à Esquéhéries, lui donne des nouvelles de la santé de son chiot et de deux chatons soignés par Élise. Il demande à Émile d'écrire souvent, et il espère qu'il se plaît à Bellevue.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Tisserant répond à la lettre de Riche à Jean-Baptiste André Godin du 30 juin 1880 sur le paiement réclamé par l'intermédiaire de monsieur Lécole de frais émanant de l'étude de maître Bernier dans une affaire avec Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les conditions financières d'achats de fonte. Sur des acquisitions de terre : Godin préconise d'acheter des terres près de l'usine. Godin informe son fils Émile qu'il a fait envoyer à Guise une douzaine d'exemplaires de la petite édition de Solutions sociales dont il lui donnera la destination plus tard. Godin croyait Émile absent de Guise : il a indiqué au conseil la réponse à faire à Avot et à Poulain. Dans le post-scriptum, Godin informe son fils que le mauvais temps le fait toujours souffrir et il revient sur l'achat de terres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin déclare qu'il est favorable à une licitation immédiate. Il présente une évaluation des biens de l'usine et du Familistère depuis 1863 et discute des conditions de la licitation. Il soumet ses interrogations à Coulon et à Cresson.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Coulon la copie d'une réponse d'Esther Lemaire. Il rappelle que le tribunal n'a pas tenu compte de sa proposition d'experts et qu'il a nommé un architecte de Saint-Quentin, Pinguet ; il l'informe que dans une affaire d'accident survenu à l'usine, le tribunal a encore choisi un expert en dehors de ceux qu'il a proposés : « Cela vous indique qu'il n'est plus dans d'aussi bonnes dispositions pour moi que quand l'Empire espérait faire ma conquête. »

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