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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Puissant frères, 17 juin 1855
Sur une commande de carreaux. Godin précise que les carreaux doivent avoir 40 à 45 cm de largeur sur 40 cm ou 30 cm de longueur pour 5 cm d'épaisseur. Il voudrait que Puissant frères lui en expédie une cinquantaine sans que cela retarde l'expédition des autres par Leborne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bivort, novembre [185]5
Godin informe Bivort qu'il a chargé Leborne de Charleroi d'envoyer un bateau à son rivage pour le charger de coke destiné à l'usine de Guise, à livrer à Vadencourt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 12 mai 1857
Sur la création d'un nouvel établissement à Bruxelles. Godin a reçu la lettre de Brullé du 10 mai 1857 dans laquelle ce dernier doute de l'étendue suffisante du terrain de monsieur Allard. Godin lui répond qu'il est peu probable qu'ils fabriquent plus de 15 000 fourneaux en Belgique et qu'il se contenterait du terrain d'Allard, surtout si celui-ci diminue son prix. Brullé a parlé à Godin d'un autre terrain dont un général est propriétaire : Godin lui demande si ce terrain près de la Petite Senne est facilement accessible. Godin demande de nouveaux renseignements à Brullé sur les propriétés de monsieur Bourguignon et des Anglais. Sur la comptabilité de l'usine de Forest. Godin demande à Brullé d'expédier à la gare de Charleroi une cuisinière n° 11 à monsieur Leborne, agent de charbonnage, et lui annonce qu'il va envoyer à Forest un modèle de cuisinière et de l'émail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 mai 1857
Godin précise à Brullé que Lefèvre lui a demandé comme une faveur d'aller à Forest, qu'en conséquence il n'a pas à tenir compte de ce qu'il gagnait à Guise (49 centimes de l'heure), et qu'il travaillera aux conditions faites aux autres ouvriers. Godin ne veut pas que les ouvriers français jouissent sans nécessité de privilèges qui les feraient jalouser par les ouvriers belges. Godin souhaite disposer d'un tableau des prix payés aux ouvriers de Forest. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles : Godin juge que le terrain d'Allard est le plus intéressant et il voudrait s'assurer la possibilité de l'acquérir ; il demande à Brullé de lui dire ce qu'il espère du prince Latour et Taxis ; il explique à Brullé qu'il faut renoncer aux terrains de monsieur Bourguignon et des Anglais, et que les recherches de terrain faites par Cantagrel au cadastre donneront peut-être des résultats. Godin confirme à Brullé que Bocquet est parti en voyage, qu'il rentrera dans 8 jours et ne pourra être à Bruxelles que dans 15 jours. Sur l'utilité des voyages en Belgique au printemps : Tellier l'assure que davantage d'affaires seraient faites à l'occasion d'un voyage plus tardif. Il lui annonce qu'il lui envoie une cuisinière n° 20. Dans le post-scriptum, il signale à Brullé que Leborne de Charleroi a accusé réception de sa cuisinière et demande qu'on y change un robinet, et il lui conseille de profiter du beau temps pour faire sécher le sable de fonderie.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 juin 1857
Sur des opérations comptables. Godin signale à Brullé que Bocquet est rentré à Guise et partira à Forest lundi prochain, et lui demande de tout préparer pour les voyages en Belgique. Dans le post-scriptum, Godin rappelle à Brullé qu'un robinet de la cuisinière de Leborne de Charleroi doit être envoyé à ce dernier.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Alexandre Brullé, 12 août 1857
Dolot informe Brullé qu'il est rentré le 8 août au soir de Forest, que Godin n'était pas disposé à partir à Forest à cause de constructions qui l'occupent à Guise et qu'il était content du calque de plan qui va l'aider à prendre une décision [sur l'acquisition d'un terrain à Bruxelles]. Dolot indique à Brullé qu'il est passé à Charleroi sans avoir pu voir monsieur Leborne et lui signale que le coke de Monceau-sur-Sambre, dont l'usine de Forest allait être privée à cause du chômage de la navigation, est livré actuellement par un wagon de 10 tonnes livré en gare de Marchienne au prix de 23 F, auquel il faut ajouter le coût du transport de Marchienne à Bruxelles. Il lui annonce qu'il va lui envoyer des échantillons de boules en cuivre de 40 mm pesant 60 gr, ainsi que de l'émail blanc. Il lui adresse une valeur de 2 000 F dont Brullé doit créditer le compte de Godin-Lemaire.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 21 août 1857
Godin informe Brullé qu'il a donné l'ordre à Leborne d'expédier un wagon de 10 tonnes de coke à Forest, lui demande de le comparer à celui de Bois-du-Luc ou de La Louvière et qu'il a lui-même reçu 4 wagons de coke de Bois-du-Luc. Il l'informe également qu'il va lui expédier de l'émail blanc et de l'émail noir, ainsi que des modèles. Il termine la lettre en évoquant la comptabilité de l'usine de Forest et la livraison de boules de cuivre.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à de Dorlodot frères, 30 mars 1863
Godin demande à de Dordolot frères s'ils produisent de la fonte de moulage de qualité supérieure. Il les informe qu'il va se rendre à Charleroi et leur demande d'adresser leur réponse à monsieur Leborne, agent de charbonnage, pour qu'il leur rende éventuellement visite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Clément Joseph Bivort, 14 avril 1863
Godin fait part à Bivort de difficultés sur la réception d'un bateau chargé de coke : Godin avait demandé à Leborne que le coke soit sec ; le coke a été chargé dans un bateau couvert, mais il était trempé à l'arrivée ; Godin conclut à un arrosage du minerai avant chargement. Godin refuse de prendre livraison du coke avant qu'il ne soit tenu compte du coût supplémentaire du fret et du poids de l'eau contenue dans le coke. Il compare l'expédition de Bivort avec un bateau de coke sec arrivé du bassin de Mons et transporté par chemin de fer jusqu'à Hautmont.
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