FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 11 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Larue a informé Godin que l'audience du procès des institutrices était prévue le 19 août 1874 et que seul Cresson pouvait demander une nouvelle remise au président avec des chances de succès. Godin envisage deux possibilités : donner lui-même des explications au tribunal pour essayer d'atténuer la condamnation, ou y aller assisté du talent de Cresson et tirer tout le parti possible de l'audience. Dans ce cas, écrit Godin, il faut que l'audience soit sténographiée et publiée dans les journaux. Godin estime que le procès est une belle occasion pour démontrer les mérites de la liberté de l'enseignement et les inconvénients des restrictions et des réglementations. Godin demande à Cresson s'il sera présent le 19 août et se fera accompagner d'un sténographe.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 30 novembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à son fils Émile qu'il lui communique une lettre adressée à Alphonse Grebel au sujet de difficultés signalées par Édouard Larue. Il souhaite que son fils rassemble en toute discrétion des éléments lui permettant d'apprécier sa situation d'un point de vue nouveau. Il lui explique que le jugement de la cour d'Amiens a reconnu que Godin travaillait pour son propre compte depuis le 1er janvier 1864, que les bénéfices depuis ce jour lui appartenaient et qu'il devait payer à Esther Lemaire la moitié des loyers des choses de la communauté et 6 % des valeurs industrielles qui ne produisent pas de loyer. Il demande à Émile de lui communiquer les bénéfices de l'usine de Guise, du Familistère et de l'usine de Laeken de 1864 à 1875 pour qu'il puisse calculer ce qui lui revient et ce qui revient à Esther Lemaire. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : sur le calcul du prix de revient des marchandises produites dans un deuxième établissement en France selon la présence ou non de charbon dans le sous-sol ; dans le cas de la présence de charbon, il est persuadé qu'il aurait un avantage pour une grande partie du marché, en France, en Suisse et en Italie ; dans le cas où il ne trouverait pas de charbon, Godin explique à son fils qu'il devrait se contenter de faire de la seconde fusion et qu'il devrait s'installer plus près de Paris dans la région de Montereau ou de Montargis, où il ferait arriver avantageusement, grâce à la concurrence des canaux et des chemins de fer, la fonte et le charbon d'Angleterre et de Belgique. Le post-scriptum porte sur les intentions d'Esther Lemaire à l'égard du jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 décembre 1875
Godin retourne à Émile une lettre en trois langues avec la traduction d'une partie et l'invite à donner suite au recrutement d'un employé. Il lui retourne aussi une lettre de Wagnier : il préconise de ne pas tenir compte des commérages de la femme de Wagnier et d'attendre qu'il demande lui-même à rentrer. Il accuse réception d'un envoi sur les chemins de fer : il demande les numéros de L'Officiel contenant les déclarations des ministres Deseilligny et de Larcy. Sur l'achat de fonte hématite. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur les calculs de répartition des biens de la communauté d'après les arrêts de la cour d'Amiens ; il renvoie Émile à sa lettre du 30 novembre 1875. Sur du calcaire contenant du manganèse.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 14 avril 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Alphonse Delpech qu'une affaire avec Boucher et Cie de Fumay a été renvoyée devant la Cour d'Amiens par la Cour de cassation. Il demande à Delpech de se constituer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 6 juin 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une demande d'argent par Esther Lemaire. Godin demande à Ganault de venir passer quelques jours à Guise. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 9 juin 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie le dossier de l'affaire et lui demande le jour de sa venue à Guise pour en parler avec lui. Sur le procès intenté par Boucher à Vervins pour contrefaçon de boutons de porte et d'objets de fonte creuse, en parallèle au procès en appel à Amiens : Godin espère obtenir une indemnité équivalente à celle que le tribunal de Nancy avait accordée à Boucher et Cie ; il expose à Delpech une stratégie pour confondre Boucher et Cie. Sur l'affaire du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise relative à la responsabilité de dommages subis par des marchandises, en appel à Amiens : Godin propose une stratégie à Delpech.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 17 juillet 1876
Godin informe Gaston Ganault qu'il se rendra à Amiens mercredi matin il lui propose de le retrouver à Tergnier pour voyager ensemble.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 17 juillet 1876
Godin informe Larue qu'il a appris que Dupont, architecte de Vervins pourrait être présenté avec Delorme, ancien entrepreneur de bâtiments à Guise, comme experts dans le référé qu'il va produire. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin avertit Larue qu'il va se rendre à Amiens pour s'entendre avec Delpech et que Goblet plaidera dans la question du compte [des époux Godin-Lemaire]. Sur l'affaire Boucher et Cie : il confirme à Larue que Cresson plaidera dans cette affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. À l'invitation d'Édouard Larue, Godin prévient Cresson que l'affaire Boucher sera plaidée à Vervins dans trois semaines. Sur les indemnités à obtenir de Boucher et Cie : Godin cite une lettre d'Alphonse Delpech, son avoué à Amiens.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Bozérian son avis sur l'arrêt de la Cour de cassation. Il cite un passage de la lettre d'Alphonse Delpech à ce sujet. Il cite un passage d'une lettre de Guillaume Ernest Cresson sur le même sujet, qui expose une interprétation contraire à celle de Delpech.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Delpech qu'il a demandé à Jules Bozérian son avis sur la portée du renvoi de l'affaire Boucher et Cie devant la cour d'Amiens, étant donnée la différence d'interprétation entre lui et Cresson. Godin cite une lettre de Cresson lui demandant de consulter son avocat à la Cour de cassation, et il cite la réponse de Bozérian lui demandant le jugement du tribunal de Rocroy, l'arrêt de la cour de Nancy et l'arrêt de la Cour de cassation pour pouvoir émettre un avis. Godin juge que les arrêts de la cour d'Amiens et de la Cour de cassation sont obscurs et il demande à Delpech s'il revient à la cour d'Amiens ou à celle de Nancy de les interpréter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense qu'il faudrait demander à la Cour de cassation d'interpréter son arrêt dans l'affaire Boucher pour savoir si c'est la cour d'Amiens ou celle de Nancy qui doit apprécier la question des dommages et intérêts et si le brevet pris en 1864 pour une cheminée et ses organes accessoires peut être entaché de nullité par cet arrêt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech que Godin partira demain pour lui porter les réponses à ses questions. Il l'informe qu'il ne se rendra pas à Amiens le mardi suivant car il est convoqué par le substitut du procureur de Vervins pour le procès en contrefaçon Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Tisserant la copie de la lettre qu'il vient de recevoir d'Amiens et de la réponse qu'il y fait.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin remercie Ganault de ce qu'il a fait pour lui suivant sa lettre du 9 février 1877. Il lui explique que si la transaction avec Esther Lemaire n'aboutit pas, la cour d'Amiens rendra son jugement le 5 mars 1877, qu'il craint lui être défavorable. Sur l'affaire Boucher et Cie : le jugement est en délibéré ; Godin informe Ganault qu'il va faire distribuer le lendemain les conclusions en réponse à celles de Boucher et Cie. Il demande à ce que monsieur Roullier lui envoie des fonds par la poste. Il signale à Ganault qu'il lira avec intérêt la brochure sur l'utilité publique de l'école normale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient Larue qu'il ne voit pas la nécessité de se rendre le lendemain à Vervins au sujet de l'opposition à la demande de maître Diet, Tisserant n'étant pas encore de retour à Guise. Godin estime que maître Diet a intégré dans ses frais de procédure les frais du travail de maître Barnier qui devraient être la charge exclusive d'Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Larue que Grebel ira le vendredi suivant à Vervins pour lui demander de remettre un document au président du tribunal. Sur l'affaire Graillot : Eugène André a appris que le tribunal de Vervins avait condamné Godin à payer trois mois d'appointements à Graillot ; il voudrait faire appel du jugement à Amiens et prie Larue de demander à Alphonse Delpech si la cour d'Amiens est susceptible de juger dans le même sens que le tribunal de Vervins.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Larue de signifier le jugement à la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté : il l'informe que l'arrêt de la cour d'Amiens est remis à huitaine ; sur l'affaire Diet et les frais dus au notaire Barnier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Goblet qu'il va porter en appel devant la cour d'Amiens son affaire de compte avec Esther Lemaire qui a été jugée en première instance. Il lui demande s'il veut bien se charger de l'affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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De retour du conseil général de l'Aisne, Godin annonce à Delpech qu'il doit renoncer à se rendre à Amiens car sa plus proche parente à Guise est sur le point de mourir. Il ajoute qu'Alexandre Tisserant est absent mais qu'il doit aller à Amiens. Il compte sur Delpech et Aubry pour pallier à son absence.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il renonce à confier ses procès en contrefaçon à Eugène Pouillet en raison des conditions indélicates posées par Guillaume Ernest Cresson. Il regrette que le corps des avocats de Paris ne fasse pas respecter la discipline parmi eux et se dit prêt à se passer de leur concours. Il demande à Tisserant de reprendre son dossier si Pouillet ne fixe pas le montant de ses honoraires avant de plaider son affaire à Amiens. Il lui demande de lui télégraphier quand il arrivera à Valenciennes, où il le retrouvera à l'hôtel du Commerce.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Eugène Nus a demandé à Godin s'il peut être utile pour lui qu'il connaisse un avocat à la Cour de cassation. Godin lui explique que depuis 10 ans il est en procès contre Boucher, industriel ancien avocat du barreau de Paris qui est parvenu, tout en étant déclaré contrefacteur, à annuler un de ses brevets sur l'émaillage de la fonte, et lui a intenté un procès en contrefaçon, aujourd'hui en cassation. Il estime que les magistrats le condamnent d'avance en qualité de socialiste, fouriériste, républicain radical et spirite. Il lui envoie des documents relatifs au procès en cassation. Il l'informe que le procès avec son fils passe en cour d'appel le jour même.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Pascaly, Charles-Jules (1849-1914)
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Godin adresse à Pagliardini son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il espère que son ouvrage sera bientôt traduit par Edward Vansittart Neale et pense qu'il sera utile pour la coopération en Angleterre. Godin informe Neale que le procès avec son fils Émile s'est achevé par un arbitrage attribuant un million de francs à ce dernier. « Quant à revenir à lui d'esprit et de cœur comme vous en émettez l'espoir, il reste et restera ce qu'il a toujours été, à mon grand regret. » Il transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de lui-même et de Marie Moret

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu une lettre de Pouillet relative à l'affaire Boucher et Cie. Il lui demande de se mettre en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le jugement de la cour d'Amiens « dans l'affaire des boutons ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant que Delpech lui a appris que la cour d'Amiens l'avait condamné à 80 000 F de dommages et intérêts envers Boucher et Cie. Godin considère que la cour est prévenue à l'égard du « républicain socialiste Godin » depuis 30 ans dans ses procès en contrefaçon. Godin est inquiet du silence de Tisserant. Il lui demande conseil sur la possibilité d'un pourvoi en cassation, sur un procès à Nancy et un autre contre Sougland.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Discussion sur la comptabilité de l'entreprise à propos des charges d'entretien et des amortissements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 19 septembre 1884. Il lui indique que le journal Le Devoir sera échangé avec Le Patriote de l'Est. Sur une modification des statuts de l'association du Familistère destinée à prévenir la dissolution de la Société du Familistère par son fils. Sur les honoraires dus à Pouillet pour ses plaidoiries au tribunal d'Amiens et à celui de Nancy.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Tisserant, Alexandre (1822-1896)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant informe Tavernier que l'audience de la cour d'Amiens dans le procès de Godin contre Boucher et Cie aura lieu le 10 novembre 1879. Il lui demande où en sont ses recherches sur le moulage des pièces creuses en fonte de fer et autres métaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Moret qu'il veut, comme Pouillet lui a demandé, se pourvoir en cassation contre l'arrêt rendu le 25 novembre 1879 par la cour d'Amiens dans l'affaire Boucher et Cie de Fumay. Il lui demande le montant de la provision qu'il doit lui verser.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin explique à Falaize qu'il a reçu la signification du jugement dans l'affaire contre le duc de Padoue, qu'il veut se pourvoir en cassation ; il demande à Falaize d'adresser le dossier à l'avocat Moret, rue de Tournon à Paris. Il l'informe qu'il va demander à Lecomte, avocat à Amiens, d'entrer en relation avec Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin envoie à Moret la signification du jugement du tribunal de Vervins dans l'affaire contre le duc de Padoue. Il l'informe qu'il veut se pourvoir en cassation pour faire juger la question de principe et ne pas de soumettre à une expertise. Il l'informe qu'il va écrire à Lecomte, avocat à Amiens, et à Falaize, avoué à Vervins, pour qu'ils se mettent en rapport avec lui.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Piponnier, Antoine (1844-1902)
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Sur l'affaire de la restitution par Émile Godin d'un terrain de la Société du Familistère sur lequel sont entreposées des briques et de la destruction partielle d'une sapinière. Piponnier répond à la lettre de Falaize du 14 mai 1883. Il explique pourquoi les prétentions d'Émile Godin sont infondées. Il le renvoie à la lettre du 26 février 1883 au sujet des sapins arrachés, et à la lettre du 23 mai 1883 au sujet d'une indemnité de 500 F pour dégradation du terrain occupé par la briqueterie.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À la suite de la réception d'un deuxième avis de monsieur Dubois en date du 22 mars 1900, Marie Moret informe Henri Buridant qu'elle a déjà envoyé le 23 mars 1900 un mandat postal de 90,25 F pour régler ses impôts. Plusieurs points concernant le service du Devoir : envoi du numéro de novembre 1899 à Simpkin, Marshall et Cie au 32, Pater Noster Row à Londres, à la demande de monsieur Terquem ; envoi d'un deuxième exemplaire du numéro de février 1900 à monsieur Vast à Amiens ; envois des numéros demandés par Léon Quent, dont elle demande l'adresse à Paris, et madame Franqueville qui s'est gracieusement prêtée à des photographies de son domicile [au Familistère]. Elle annonce écrire à Eugénie Louis pour la préparation de ses appartements au Familistère.
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