FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est satisfait d'apprendre que le Moniteur des syndicats n'avait pas cessé de paraître, comme Davaux le craignait dans sa lettre du 15 février, et que ce dernier a pu y publier un second article sur le scrutin national. Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial : il envoie à Davaud un exemplaire de la pétition en cours de signature dans l'Aisne et dans les Ardennes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 4 juillet 1873
Sur la question de la tournée en Alsace-Lorraine. Godin indique à Denisart qu'il aurait dû accepter la proposition d'un monsieur Rhein de visiter les villes de Nancy, Remiremont, Mirecourt, Neufchâteau, Bar-le-Duc, Verdun et toute l'Alsace-Lorraine, y compris Pont-à-Mousson, Lunéville, Vitry, Toul, et toutes les Ardennes. Godin estime que les discussions avec Crevon sont trop engagées pour qu'il puisse écrire à Rhein.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 8 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'envoyer à Tisseron le projet de son itinéraire, qu'il lui avait déjà demandé d'envoyer le 25 juin dernier, qui lui confie toutes les villes du parcours de Grippon et d'autres sans prendre sur l'itinéraire de Darras, et comprend la ligne d'Évreux à Cherbourg en respectant la circonscription d'Amédée Moret. Godin demande à Denisart d'informer Novelli qu'il lui propose de voyager dans les Ardennes. Sur une avance demandée par Vuillamy. Sur les remises accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les voyages en Alsace-Lorraine opérés par l'usine de Belgique ou par l'usine de France suivant la facilité des transports par chemin de fer. Sur le chemin de fer dans l'Aisne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin informe Roy qu’il lui a envoyé le numéro du journal Le Devoir du 23 janvier contenant un projet de pétition à la Chambre des députés. Godin souhaite qu’un grand nombre d’ouvriers de sa contrée et des Ardennes signent la pétition. Il lui demande s’il veut recevoir des modèles de pétition imprimés au nom des ouvriers des usines d’Hirson et de Saint-Michel. Il se demande si Hourlier, Anceaux, Desquilbet et Cie ne se chargeraient pas eux-mêmes de faire signer la pétition.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Muller du 26 février 1877. Il lui explique qu'il fabrique des appareils de chauffage et de cuisson domestiques pour les ménages ouvriers, qu'il n'accorde pas de confiance dans les appareils conçus pour chauffer plusieurs pièces, et que ses appareils de chauffage sont portatifs et s'adaptent à toutes les cheminées. Il indique à Muller qu'il n'a pas de dessins de ferrures intérieures et qu'il a utilisé dans les logements qu'il a fait construire les serrures de la marque AAG, les paumelles de bonne qualité des Ardennes et les crémones à poignée tournante du commerce. Il explique que les lieux d'aisance sont de deux sortes : les uns avec siège, les autres avec cuvette au ras du sol ; les cuvettes sont en fonte, fabriquées dans son établissement. Il précise que l'édifice qu'il a fait construire groupe les logements comme dans un hôtel et que les lieux d'aisance avec cuvette au ras du sol servent au dépôt des ordures ménagères. Il lui remet une lithographie représentant les cuvettes avec soupape placée dans la conduite d'eau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 16 janvier 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Après la lecture de la lettre de Cantagrel du 15 janvier, Godin discute des brevets et certificats d'addition de Haunet de 1857 et 1860 et du certificat d'addition au brevet de Haunet du 8 février 1860 pris par Corneau frères. « Tout le monde fabriquant leur calorifère, j'ai cru pouvoir faire comme les autres sans songer que par un artifice Corneau frères se prétendaient plus maître du calorifère Joly que Joly lui-même. » Godin indique que c'est l'insuffisance des renseignements donnés par Armengaud en 1862 sur les brevets de Corneau qui l'a mis dans cette situation. Godin envoie 300 F à Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 3 novembre 1859
Dolot fournit à Godin des informations sur la marche de la nouvelle fonderie : la pompe alimentaire n'a pas fonctionné et n'a pas permis d'envoyer de la vapeur à la grande machine ; le retour de Godin est attendu pour remédier aux problèmes. Il signale à Godin que le bateau de fonte Pinart est en déchargement à Vadencourt, et que le coke ne manque pas. Il l'informe que Telliez est parti la veille pour effectuer une tournée d'un mois en commençant à Lille et en terminant dans les Ardennes.
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