FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du Crédit lyonnais, 3 janvier 1893
Envoi d'un récepissé de 11 F de la Banque del Rio de La Plata à Buenos Aires, envoyé par Francesco Albarracín [pour le réabonnement au service du Devoir] pour perception du montant en mandat postal.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du Crédit lyonnais, 23 janvier 1893
Sur la perception du montant de l'abonnement Francesco Albarracín de Buenos Aires, au journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du Crédit lyonnais, 2 janvier 1894
Perception du montant de l'abonnement de Francesco Albarracín de Buenos Aires au journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 4 janvier 1895
Remercie Doyen pour ses vœux de bonheur pour la nouvelle année et lui souhaite la même chose. Sur le réabonnement au Devoir d'Albarracín. Sur la régularisation de l'abonnement de Gaucher. Remerciements pour tous les documents envoyés. Demande des nouvelles de l'état de santé du mari d'Élise Pré.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du Crédit lyonnais, 4 janvier 1895
Demande aux banquiers de changer les 11 F du récépissé de la banque de Buenos Aires et de les envoyer au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 5 mai 1895
Recommande à Doyen de ne pas donner suite à la proposition d'un monsieur de Buenos Aires qui s'est adressé à Dequenne pour solliciter des œuvres de Godin, même si la Société de paix du Familistère lui en faisait la demande. Le remercie des documents envoyés sur la fête du Travail et la Société de paix du Familistère. Demande à ce que Le Devoir ne soit provisoirement plus envoyé à Marie Howland en attendant de savoir pourquoi le numpéro précédent a été retourné.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gustave Leroy, 20 décembre 1872
Sur un accord d'exclusivité de vente des produits Godin-Lemaire à Buenos Aires.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 12 mai 1895
Confirme l'envoi d'un mandat de 10 F d'Irénée Priqueler de Haute-Saône pour son réabonnement au Devoir, et envoi du mandat de Glady Cavelier de Maine-et-Loire. Remercie Doyen pour son mot sur la fête du Travail et sur une lettre de Buenos Aires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 22 novembre 1873
Sur le parti à prendre sur les remises à accorder aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin demande à Denisart de lui communiquer des éléments comptables. Sur l'établissement des tarifs annuels et la part du prix des matières premières. Sur le calcul des bénéfices de la manufacture. Godin préconise de continuer la fabrication d'appareils comme en 1872 et 1873 dans la perspective d'une reprise des affaires malgré la situation politique instable. Sur les relations à établir avec Gustave Leroy : Godin s'est interdit de vendre à d'autres commerçants de Buenos Aires mais non à des commissionnaires français qui font du négoce avec Buenos Aires ; Godin soupçonne que Leroy ne respecte pas ses engagements et vend des produits de concurrents ; Godin demande que Delaruelle surveille la question et souhaite qu'on écrive à Leroy pour lui demander s'il s'approvisionne ailleurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 25 décembre 1873
Sur une commande de Gustave Leroy de Buenos Aires : Godin informe Delaruelle qu'il a reçu la visite de Jouin et Cie et de Raimbaut, et il lui demande de consulter la correspondance avec Leroy et de lui envoyer les passages qui concernent les modalités de paiement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 10 janvier 1874
Sur la réclamation de la clientèle désireuse que soit pratiqué" un trou dans le fond des cuisinières pour en nettoyer la suie : Godin suggère de construire une pelle à suie (dont le dessin est copié en fin de lettre), qui pourrait être livrée avec les cuisinières, et prie Delaruelle de s'entendre avec Barbet sur la question. Godin demande à Delaruelle de lui faire parvenir les observations qu'il a pu se faire au sujet des remises d'été et de fin d'année ; il lui signale que Darras les accueille favorablement et il lui signale qu'il se demande si ces remises entraîneront l'augmentation du tarif. Dans le post-scriptum, Godin annonce que Raimbaut est venu le voir et l'a informé que Gustave Leroy de Buenos Aires et sa femme ont été empoisonnés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 12 janvier 1874
Godin suggère à Delaruelle de mettre en caisse un tiers des objets commandés par Gustave Leroy de Buenos Aires ; il estime que cette mesure préparatoire pourrait être appliquée dans les magasins de l'usine pour les objets demandés par l'exportation. Il demande à Delaruelle d'écrire à Raimbaut que faute de garanties concernant l'expédition à Gustave Leroy, il se considérera délié de ses engagements envers lui et ne s'empêchera pas de répondre directement aux commandes lui parvenant de Buenos Aires. Godin invite Delaruelle à mettre immédiatement en route les voyageurs même si le tarif n'est pas encore arrêté. Dans le post-scriptum, Godin demande à Delaruelle de faire l'inventaire des produits démodés qui se trouvent encore dans les magasins de l'usine et d'aviser aux moyens de les écouler.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 12 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie. Godin informe Amédée Moret qu'il a reçu une nouvelle lettre de l'usine de Guise relative à la commande de Jouin et Cie pour Gustave Leroy de Buenos Aires indiquant que ce dernier a modifié sa demande, mais aussi une lettre de Buenos Aires lui confirmant la demande initiale. Godin juge qu'il y a un malentendu d'autant plus regrettable qu'une grande partie de la commande initiale est déjà mise en caisse. Il demande à Amédée Moret d'aller voir Jouin et Cie pour avoir l'explication de cette divergence et voir aussi monsieur Raimbaut, agent de la maison de Buenos Aires, pour lui faire part de la situation. Godin ajoute que la maison de Buenos Aires lui a indiqué qu'elle pouvait lui envoyer directement une remise sur banque pour obtenir sa commande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie : Godin demande à son fils Émile de lui communiquer les lettres de Jouin et Cie avant de leur répondre dans le cas où ils écriraient à l'usine ; il l'informe qu'il va écrire à Buenos Aires et il demande à Émile si la remise de fin d'année due à cette maison peut couvrir les frais d'emballage réalisés pour préparer l'expédition. Sur le torréfacteur : Godin est satisfait qu'il soit étudié et amélioré ; il juge qu'il a coûté cher et qu'il ne peut être vendu moins de 1 200 F. Sur le personnel : Godin juge bon qu'Émile augmente la rémunération de la caissière de l'épicerie. Sur l'acquisition de la propriété de Louis Laisné qui vaut 3 000 F ; il recommande à Émile de ne pas laisser croire qu'il souhaite l'acheter. Sur les mines d'Algérie : Godin demande à Émile de lui renvoyer la petite carte des mines de Mokta-El-Hadid afin de la faire voir à des gens d'Alger ; il avertit Émile de ne pas se précipiter à partir en Algérie, d'autant que Quaintenne ne lui a pas répondu ; il demande à Émile si Quaintenne a envoyé les échantillons de minerai promis ; Godin ne s'oppose pas à ce qu'Émile visite l'Algérie mais il considère qu'« il n'y a pas de motif à jeter 10 000 F au vent à l'avance ». Sur la fabrication de gaz avec une cornue imaginée par Émile : il explique à Émile que le fils d'un de ses amis députés est administrateur à la Compagnie parisienne de gaz et qu'on l'a invité à se renseigner auprès de leur usine sur le rendement en coke de leurs cornues et leur dépense de combustible pour la production de gaz ; Alfred Denisart avait prétendu que le gaz avait coûté moins que rien aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, et si ce n'est pas une erreur, il y aurait peut-être une grosse affaire à faire avec la Compagnie parisienne de gaz de Paris ; il demande à Émile de lui communiquer un état financier détaillé de la production de gaz de l'usine de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 13 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie. Godin demande à Amédée Moret de voir Raimbaut pour savoir s'il est d'accord avec Jouin et Cie ou non et ce qu'il pense de la divergence entre la lettre de Jouin et Cie et celle de Buenos Aires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Jouin et Cie, 12 mars 1874
Godin informe Jouin et Cie que, conformément aux instructions reçues de Buenos Aires, les marchandises commandées pour G. Leroy et Cie sont prêtes à être expédiées, mais que l'usine de Guise attend toujours les garanties financières requises. Godin demande à Jouin et Cie de régulariser la situation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 18 mars 1874
Godin autorise Delaruelle à faire imprimer les tarifs. Sur l'affaire Gustave Leroy [de Buenos Aires] : Godin indique à Delaruelle que Jouin et Cie n'a pas répondu à sa lettre, qu'il a toujours considéré l'affaire comme douteuse, et qu'il a été étonné d'apprendre que les produits avaient déjà été emballés sans que Jouin et Cie aient adressé la provision pour les frais d'emballage ; Godin demande à Delaruelle d'examiner s'il est possible de faire une sommation à Jouin et Cie de prendre livraison des marchandises et de les payer. Godin autorise cependant Delaruelle à faire des affaires avec Buenos Aires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 25 juin 1874
Godin informe Taupier que Rimbaut est venu le voir à Versailles pour lui parler d'une lettre que l'usine a dû recevoir de Buenos Aires relative à la caution que sa maison offre au Havre pour les expéditions à lui faire dans l'avenir ; il demande à Taupier si des renseignements ont été pris sur cette maison. Sur Chevrolat. Sur une augmentation à accorder à Moyat et à Brock. Il lui recommande, s'il a trop d'employés, de congédier ceux dont on ne peut tirer un bon parti.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 29 juin 1874
Godin demande à Delaruelle d'arranger l'affaire Obrador de la manière convenue avec Eugène André. Dans le post-scriptum, Godin demande à Delaruelle l'adresse de David Tisseron et il le prie de faire connaître à la maison Gustave Leroy et Cie son accord pour la caution de Quesnel du Havre pour garantir le paiement de leurs factures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 9 décembre 1874
Sur l'affaire de Rivière. Godin juge que la pièce envoyée par André relative à de Rivière confirme que ce dernier est excité par des esprits corrupteurs. Il y voit une manipulation de sa femme ou des Boucher, Huet et consorts qui auraient à perdre si Godin gagnait son procès en cassation. Il veut qu'André s'entretienne du problème avec l'avoué Larue. Il rappelle à André que c'est de Rivière qui lui a proposé ses services et qu'il ne l'a pas engagé à faire venir sa famille. Il l'avertit que madame Dallet lui remettra les annonces parues dans les journaux et les lettres des autres candidats. Il lui demande de s'informer sur des relations de monsieur de Rivière avec Esther Lemaire ou tout autre de ses ennemis. Sur une expédition à Buenos Aires : Godin informe André qu'il n'est pas favorable à l'expédition de marchandises à Jules Biron à qui il pourrait être écrit que la manufacture fait à Buenos Aires des affaires exclusivement avec Bullrick, si toutefois la maison Bullrick tient ses engagements.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à une lettre de Godin transmise par son fils Émile. Sur la maison Leroy et Cie à Buenos Aires et sa caution en France, la maison Quesnel frères et Cie du Havre, que le Comptoir d'escompte juge solvable. Sur l'augmentation des employés Moyat et Goyenval. Taupier propose à Godin de licencier les employés Lefebvre et Quaintenne. Sur le chef de cuisine Chevrolat, chargé de la surveillance de tout le service d'alimentation. Sur la fabrication de boutons. Sur la déclaration au juge de paix de mesdames Paquerot et Dirson. Sur une commande de La Ménagère transmise par Amédée Moret.
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