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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 1er avril 1860
Godin avertit Brullé qu'il crédite le compte de l'usine de Belgique de 105,80 F, somme à verser aux ayants droit de l'ouvrier Vanhaesendonck et à la femme de l'ouvrier Moulard. Le post-scriptum est relatif à l'expédition de meules de 2 mètres de diamètre à l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 29 octobre 1862
Godin indique à l'usine de Laeken qu'elle doit vendre au Luxembourg comme dans tout pays étranger, en livrant la marchandise après paiement, mais que les conditions pourraient être changées si les voyageurs obtenaient des renseignements sur les futurs acheteurs. Il précise qu'il aurait aimé avoir des renseignements sur monsieur Nouveau-Baruch marchand de Luxembourg et qu'il écrit à ce sujet à un huissier du Grand Duché. Godin souhaite que le voyageur de l'usine de Laeken qui va au Luxembourg donne toutes les informations sur son voyage. Il désire obtenir le chiffre des affaires faites avec le Luxembourg depuis qu'il existe une usine Godin-Lemaire en Belgique. Il informe l'usine de Laeken qu'il a réglé les factures d'Ackermans pour un montant de 198,11 F. Il l'informe enfin qu'une pièce de vin de Bordeaux a été envoyée par Vigerie à la gare de la douane de Bruxelles conformément au vœu d'Eugène André.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 18 novembre 1862
Informations relatives à l'usine de Laeken : en-tête de facture ; vin envoyé personnellement par Vigerie ; réception du tableau des affaires avec le Luxembourg belge et le Luxembourg néerlandais ; bons renseignements obtenus sur Nouveau-Bruch ; sur Wiesenbach d'Arlon ; Godin n'a pas l'habitude d'accorder un monopole à un marchand car la concurrence est plus profitable ; sur un privilège accordé par Telliez que Godin ne ratifie pas ; sur le vernis ; commande de tonnes de combustible auprès du charbonnage d'Hornu et Wasmes à livrer à la gare de Bruxelles-Midi ; sur les factures de fourniture de houille par La Louvière ; sur la durée de travail ; questions comptables.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 24 décembre 1862
Sur la fourniture de charbon par Berger-Leroy à Laeken et à Guise. Sur la comptabilité de l'usine de Laeken et ses prix de revient. Godin signale dans le post-scriptum qu'il a écrit à Demeure le 10 décembre 1862. La lettre est suivie d'une série d'observations, signée Leseix, sur les écritures comptables de l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Delloye, Tiberghien et Cie, 24 septembre 1863
Godin remet à la banque une série de valeurs sur différentes villes d'un montant total de 2 001,08 F à porter au crédit de son compte.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Rémi Ville, 23 octobre 1863
Godin explique à Rémi Ville qu'il a renoncé à lui confier une mission au Luxembourg. Il lui fait part de son mécontentement après qu'il ait appris que Rémi Ville a perçu ses appointements à Laeken, bien qu'il n'ait pas été autorisé à en faire la demande. L'usine de Laeken l'a informé le 18 octobre qu'il avait fait 6 380 F de vente et dépensé en frais 1 200 F, soit 20 % du chiffre d'affaires : Godin lui demande de réduire les frais pour la suite du voyage.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Delloye, Tiberghien et Cie, 11 décembre 1863
Godin remet des valeurs sur diverses villes des Pays-Bas et au Luxembourg d'un montant total de 1712,80 F. Il demande à la banque d'acquitter auprès de la Société de charbonnage de La Louvière et de la Paix un mandat de 275,80 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Piette, 7 janvier 1868
Sur les effets de la crise industrielle et commerciale de 1867. Godin explique à Piette que son industrie repose sur la prévision et le calcul car il fait fabriquer pour des besoins éventuels. Il raconte qu'au début de 1867, l'apaisement de la guerre d'Allemagne avait créé un climat propice aux affaires et qu'il avait donné une grande activité à la fabrication de ses produits, mais que tout d'un coup l'affaire du Luxembourg a créé de l'incertitude et qu'ensuite les affaires de Rome ont effacé la confiance, si bien qu'un tiers de la production de l'usine est restée en magasin. Il poursuit en expliquant qu'avec la rigueur de l'hiver et la cherté des subsistances, il a résolu de maintenir l'activité de la fabrication pour permettre aux ouvriers de traverser la saison la plus dure. Il indique qu'il devra ensuite réduire le nombre des ouvriers et réduire les heures de travail : « Mais je ne baisserai jamais les salaires, cela est à mes yeux un grave abus dont malheureusement trop de chefs d'industrie profitent et qui dans tous les cas établit une concurrence dépréciative qui prolonge les crises et les souffrances de la classe ouvrière car les produits faits au rabais augmentent l'encombrement, ils peuvent plus tard être vendus à prix réduit, par conséquent, ils sont cause de la prolongation de l'avilissement des salaires. Ou s'il n'en est pas ainsi, ils tournent au profit du fabricant et ne sont cette fois qu'une spéculation sur la misère du travailleur [...] » Il mentionne un avis paru dans Le Journal de l'Aisne conseillant à l'administration et au préfet de créer des chemins de fer vicinaux, quitte à recourir à l'emprunt ; Godin déclare qu'il serait souscripteur.
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