FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 7 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur général des postes, 15 [avril 1846]
À propos d'un procès-verbal dressé par la gendarmerie de Leschelle (Aisne) à l'encontre du voiturier Chevalier pour avoir transporté un colis postal adressé par Godin vraisemblablement au domicile parisien de Véran Sabran et contenant des cheveux destinés à une magnétiseuse ; Godin demande l'indulgence pour le voiturier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Howland, 5 septembre 1880
Marie Moret affirme qu'elle a bien reçu Broom's paper ainsi que le Daily Journal de Vineland. Elle espère que « cette méchante attaque contre Mad. Bristol est maintenant chose morte et enterrée ». Moret évoque la possibilité pour Albert Kimsey Owen, ami de Bristol, de venir voir le Familistère, où il sera accueilli. Elle remercie sa correspondante de lui avoir envoyé de la documentation sur le droit des femmes dans le Mississipi, dont une partie a été éditée dans Le Devoir. Moret explique qu'elle a suivi le conseil de madame Bristol en proposant, de temps en temps, un concours dans les « Nouvelles du Familistère ». Marie Moret précise qu'il s'agit bien de Jean Macé qui est venu au Familistère et que madame Bristol a vu à cette occasion. Elle évoque ensuite le problèmes d'yeux dont est victime Marie Howland en lui proposant un remède que « notre maître », Godin, utilise lui-même pour ses problèmes de vue. Ce dernier et Marie Moret ont lu avec attention Nemesis of Fraud, la nouvelle de Marie Howland. Elle évoque de nouveau Massoulard, qui est présenté comme le traducteur de Marie Howland. Marie Moret décrit le rôle de Massoulard puis de Fabre dans leur idéal, à la fois pour le Familistère mais aussi pour sa conception des idées féministes. Marie Moret interroge Marie Howland sur la place des femmes américaines dans les études de médecine. Il s'agit d'une question lui provenant de monsieur Fabre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 2 mars 1868
Réponse à la lettre d'Arthur de Bonnard du 26 février 1868 annonçant à Godin son intention d'écrire un ouvrage sur le Familistère. Godin juge qu'il serait dommage d'écrire sur le sujet sans l'avoir visité et l'invite à séjourner au Familistère. Godin est très réticent à l'idée de communiquer à de Bonnard des statistiques sanitaires sur la population du Familistère car sa population actuelle n'est pas assez « améliorée », la comparaison avec d'autres situations, les quartiers neufs de Paris par exemple, ne serait pas appropriée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur de Rosa, 10 septembre 1867
Godin fait réponse à une proposition de son correspondant relative aux habitants du Palais social : le Familistère ne constitue pas un milieu favorable à son projet car les habitants vivent comme ils l'entendent dans leur logement, qu'ils forment une population ouvrière, et qu'ils font leur choix parmi les trois médecins qui effectuent des visites médicales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Bribosia, 20 avril 1873
Godin explique à Bribosia qu'il a sollicité une salle auprès du maire de Vervins mais que celui-ci n'a pas donné suite, jugeant que l'efficacité de la pratique de Bribosia n'était pas établie. Godin conseille à Bribosia de gagner la confiance par des faits et lui propose son concours.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au sous-préfet de Vervins, 10 avril 1873
Godin communique au sous-préfet de Vervins la lettre que lui a écrite à Versailles Bribosia, directeur de l'Institut ophtalmologique de Namur, demandant qu'on mette à sa disposition une salle à Vervins pour donner des consultations gratuites aux indigents affectés de maladies d'yeux. Godin soutient l'œuvre philanthropique de Bribosia auprès du sous-préfet et il lui signale que le ministre a en 1872 autorisé Bribosia à exercer l'ophtalmologie.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
0149.T.146r.jpg
Marie Moret essaye d'aider Pascaly avec son mal de dent en lui donnant des conseils : un très bon dentiste et la cocaïne. Sur le contenu du Devoir et la possibilité de remplacer l'article de Pascaly. Compliments de Fabre sur l'article de Pascaly.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2