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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. G Gavet, 28 mai 1861
Godin annonce à Gavet qu'il accepte sans discuter les prétentions de ce dernier à 2 400 F d'émoluments pour entrer dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, et qu'il attend son arrivée. Godin lui propose de venir passer quelques jours à Guise avant son installation avec sa famille pour confirmer leur entente. Il demande à Gavet s'il y a en Champagne des ouvriers mouleurs qui seraient prêts à venir à Guise ; il lui indique qu'il a besoin de 100 nouveaux mouleurs dans ses ateliers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 2 juillet 1861
Godin rend compte à Cantagrel des suites qu'il donne au courrier reçu en réponse à l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il a retenu 7 candidatures dont il transmet à Cantagrel le classement par ordre de mérite en sollicitant son aide pour les juger. Cantagrel a proposé l'assistance de son ami Pernet-Vallier dans l'appréciation des candidatures. Godin présente des éléments de jugement des candidatures. Outre les mérites, il faut évaluer le caractère des candidats. En plus de la comptabilité industrielle, il y a la comptabilité de l'essai domestique : « Indépendamment des deux établissements d'industrie que je possède et dont un souffre des négligences de son administration, vous le savez, je me livre aux tâtonnements des essais pratiques d'économie sociale domestique au profit de mes ouvriers. La tâche est laborieuse et doit être atteinte avec courage et volonté pour écarter les difficultés inhérentes à tout commencement. Le contrôle et la comptabilité ont en ceci un rôle nouveau à accomplir et cette organisation va me servir de pierre de touche sur le comptable organisateur que je croirai pouvoir admettre. » Chaque candidat doit fixer les émoluments auxquels il prétend, que Godin ne discutera pas, car celui qui sera choisi doit trouver une position qui corresponde à l'évaluation qu'il fait de ses capacités. Godin note le peu de candidatures venues de province. À propos du Bulletin de la Société européo-américaine du Texas : Godin avertit Cantagrel qu'il a reçu une sotte lettre de Paulin, et il lui fait part de son étonnement que les corrections qu'il avait faites n'ont pas été prises en compte. À la suite de la lettre, sur les folios 195v et 196r, Godin établit la liste des noms adresses et qualités des 7 candidats retenus, dont A. Vigerie, résidant au 77 Grande Rue de La Chapelle ; il communique aussi à Cantagrel le texte de la lettre qu'il leur a écrite, dans laquelle il précise que l'emploi est lié à deux établissements industriels, dont l'un à Guise occupant 700 ouvriers et l'autre à Bruxelles, et à une habitation pour 400 personnes pour laquelle le travail comprend les opérations d'approvisionnement et de consommation (combustibles, comestibles, étoffes, épicerie, café, cuisine alimentaire, restaurant, etc.)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barret, 8 juillet 1861
Godin explique à Barret qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il indique à Barret qu'un obstacle s'oppose au choix de sa candidature : Barret veut des conventions écrites alors que Godin considère que la meilleure garantie de durée d'un emploi est la satisfaction réciproque de l'employé et du chef d'établissement. Il lui explique que le candidat doit fixer lui-même le montant des émoluments auxquels il prétend. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation du contrôle et de la comptabilité des manutentions de la vaste cité ouvrière qu'il a érigée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lafabrigue, 8 juillet 1861
Godin explique à Lafabrigue qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il précise à Lafabrigue les conditions de l'emploi : il est basé à Guise ; le candidat fixe lui-même le montant des émoluments auxquels il prétend ; le cautionnement n'est pas nécessaire. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation des services de la cité ouvrière qu'il a érigée sur un plan très complexe.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Vincent, 8 juillet 1861
Godin explique à Vincent qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il demande à Vincent des renseignements sur sa situation personnelle et lui précise les conditions de l'emploi : il est basé à Guise ; le candidat devra s'occuper surtout au début de l'organisation de la cité ouvrière qu'il a érigée sur un plan très complexe. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation des services de la cité ouvrière. Il ajoute que le candidat devra s'initier à la comptabilité des usines et qu'il devra effectuer des voyages à Bruxelles pour s'occuper des écritures, mais que cette partie du travail n'est pas la plus urgente.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 8 juillet 1861
Godin exprime son impatience d'obtenir une réponse à sa dernière lettre relative aux renseignements que Cantagrel pourrait lui fournir sur les candidats à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 8 juillet 1861
Godin explique à Barret qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin lui fait observer que ses émoluments actuels de 6 000 F sont ceux d'un employé ayant fait ses preuves dans une maison et qu'il faudrait qu'il ait une capacité avérée pour lui consentir au début un tel montant. Godin estime que 4 000 F lui permettraient d'attirer le bon candidat. Il précise que l'employé choisi devra habiter Guise et s'occuper surtout au début de l'organisation du contrôle et de la comptabilité des manutentions de la cité ouvrière qu'il a érigée. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation de la cité ouvrière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 13 juillet 1861
Godin informe Bonnevent qu'il va recevoir une invitation de Pernet-Vallier, 29 rue de Trévise, à un rendez-vous pour un entretien relatif à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sous la signature de la lettre se trouve la mention : « Il est écrit dans le même sens à tous les candidats désignés dans la lettre précédente [de Godin à Pernet-Vallier du 13 juillet 1861].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 13 juillet 1861
Godin accuse réception de la lettre de Pernet-Vallier qui lui explique le silence de Cantagrel à propos des candidats à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Pernet-Vallier lui communique les renseignements espérés sur les candidats. Il avertit Pernet-Vallier qu'il va écrire aux candidats pour leur annoncer que ce dernier va leur fixer un rendez-vous pour un entretien. Il lui communique la liste des noms et adresses des candidats avec lesquels il doit s'entretenir, outre Wagner, Bourgoin et Carbonnier : Bonnevent au 189 rue du Faubourg-Saint-Martin, Vincent au 31 rue Vieille-du-Temple, Lafabrigue au 9 rue de Rennes et Barret au 21 rue Myrha.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 22 juillet 1861
Godin remercie Pernet-Vallier pour son efficace concours dans le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe qu'il a classé ainsi les candidats d'après les notes qu'il lui a adressées : Vigerie, Wagner, Bonnevent, Branfaut, Roussilin, Nancy. Godin signale que Roussilin et Nancy sont trop jeunes pour l'emploi et peuvent être écartés sauf avis contraire de Pernet-Vallier. Il confirme à Pernet-Vallier que ses notes sur les quatre autres candidats sont en accord avec ses propres impressions. Godin demande à Pernet-Vallier d'examiner si des emplois secondaires ne conviendraient pas à certains candidats à l'emploi de comptable : chef d'expédition aux appointements de 2 000 F ou voyageur de commerce. Godin demande l'avis de Pernet-Vallier sur Vincent, dont le ton militaire pourrait nuire à la clientèle s'il était voyageur de commerce, ou sur Boileau, dont il n'est pas sûr qu'il se livrerait à l'activité des ateliers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur L. Boileau, 22 juillet 1861
Godin explique à Boileau qu'il ne l'a pas retenu pour le poste de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais il lui propose un emploi de chef des expéditions aux appointements de 2 000 F. Il lui décrit sommairement le travail à accomplir. Il ajoute que sa proposition ne sera définitive qu'après en avoir parlé avec lui et avoir fait usage des références fournies par Pernet-Vallier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 juillet 1861
Sur le recrutement de personnes à des emplois secondaires des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Cantagrel que Boileau a accepté ses nouvelles propositions. Il lui demande s'il peut obtenir des renseignements sur Allard, au 7 rue Louvois, avec lequel Pernet-Vallier a des relations, et sur un candidat proposé par Ch. Coullay au 5, rue des Batailles. Dans le post-scriptum, Godin propose à Cantagrel un perfectionnement de son « indique-fuite » [une invention de Cantagrel pour détecter les fuites de gaz].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Nancy, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Nancy du 24 juillet 1861 et lui annonce que sa candidature a peu de chances d'être retenue bien que le choix d'un candidat ne soit pas encore arrêté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carbonnier, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Carbonnier. Il l'informe que le choix du candidat à l'emploi de comptable n'est pas encore arrêté, mais il l'engage à ne pas sacrifier ses intérêts, car des candidats lui semblent avoir des chances sérieuses d'être acceptés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Vigerie. Il l'informe que le choix du candidat à l'emploi de comptable n'est pas encore arrêté, mais qu'il a pris sa candidature au sérieux et qu'il lui demandera probablement de s'entretenir avec lui à Paris prochainement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 28 juillet 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Pernet-Vallier qu'il doit écarter la candidature de Bonnevent, qui lui a fait part de son mécontentement à propos du retard mis à choisir un candidat. Il lui demande des renseignements sur Boileau et Vincent, susceptibles d'occuper un emploi de voyageur de commerce. Dans le post-scriptum, il indique à Pernet-Vallier que Nancy et Vigerie lui ont également écrit à propos du retard du choix d'un candidat, mais en termes très convenables, qu'il a laissé comprendre à Nancy qu'il était trop âgé, et il a fait savoir à Vigerie que sa candidature était toujours en cours d'examen.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bonnevent, 28 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Bonnevent, qui le presse de faire le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures du Familistère. Godin est irrité par la lettre de Bonnevent : « Les suppositions que contient votre lettre sont tout à fait gratuites et si je puis considérer qu'il y ait lieu d'abandonner nos pourparlers, cela ne se fonde que sur votre lettre d'hier. ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gaillard, 30 juillet 1861
Godin annonce à Gaillard que sa candidature a peu de chances d'être retenue bien que le choix d'un candidat ne soit pas encore arrêté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chenard, 30 juillet 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Chenard que son éloignement, le fait qu'il occupe déjà un emploi, et que son désir d'occuper des fonctions plus paisibles alors que l'emploi auquel il prétend demande une grande activité d'esprit, ne plaît pas en faveur de sa candidature. Toutefois, étant donné l'insistance de Chenard, Godin lui signale que son choix n'est pas arrêté et il lui demande son âge et le chiffre des émoluments auquel il aspire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur F. Minot, 1er août 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Minot qu'il fait partie des trois candidats parmi lesquels il doit faire un choix. Il lui demande de lui exposer quelle part il compte prendre dans chacune de ses fonctions, qui comprennent le contrôle et le redressement de la comptabilité de son usine belge, la surveillance et la division des fonctions des employés de bureau de l'usine de Guise, le contrôle de toutes les opérations des bureaux de la même usine, ainsi que l'organisation définitive de la comptabilité du Familistère « et des moyens à introduire pour la sûreté de toutes les opérations dans les achats et ventes variées qui s'y font de façon à me présenter tous les mois un rapport avec tableaux synoptiques de la situation ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 7 août 1861
Godin répond à une lettre de Dolot du 31 juin 1861. Godin refuse l'offre de services de Dolot auquel ne convenait pas la situation que lui avait faite Godin. Il lui explique que l'entreprise que Dolot veut entreprendre (en concurrence de Godin semble-t-il) lui sera fatale, et qu'il ne veut consentir à aucun dépôt. Il lui indique qu'ouvrir un magasin à Lille ou Paris pourrait être profitable, mais que son aide ne peut offrir de garantie à la réussite d'une entreprise mal gérée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Coullay, 7 août 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin juge que les appointements auxquels prétend Coullay sont trop élevés au regard des autres candidatures, bien qu'ils soient justifiés par la position qu'il occupe actuellement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Stevens, 17 août 1861
Godin informe Stevens qu'il lui accorde l'emploi de jardinier qu'il a sollicité, aux appointements de 100 F par mois comme il le désirait dans sa lettre du 29 juillet 1861. Il précise que Stevens devra faire les frais de son logement et de sa nourriture dans les dépendances de l'usine. Il précise également que le jardinier ne tirera pas profit personnellement de son travail, tout devant servir à l'amélioration de la condition de l'ouvrier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Théodule Nique, 20 août 1861
Godin informe Théodule Nique que sa candidature à l'emploi de jardinier n'a pas été retenue malgré ses bons certificats et son livret. Au bas du folio se trouve la mention manuscrite : « Il demandait 800 F pour tout appointement ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 29 août 186
Godin confirme à Dolot qu'il n'a pas l'intention de lui concéder un dépôt ni consacrer du temps à faire des affaires avec lui, mais qu'il ne repousse pas l'idée d'accepter ses services s'il n'est pas obligé de s'y engager personnellement. Il lui indique qu'il ne peut lui confier la position occupée par monsieur Poirier et qu'il ne peut qu'attendre une occasion favorable.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Mazene, 29 août 1861
Godin annonce à Mazene que sa candidature à l'emploi de chef des expéditions des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire pourrait être retenue. Godin lui demande des renseignements sur sa situation personnelle et de lui communiquer à nouveau, mais de façon lisible les adresses des références qu'il a fait valoir et d'ajouter celle de monsieur Bernard. Il précise que la fonction requiert des habitudes d'ordre et de classement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur F. Minot, 4 septembre 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond à deux lettres de Minot des 21 et 25 août 1861. Il lui explique que le retard de sa réponse est dû au fait que l'un des candidats est venu à Guise et qu'il a été choisi pour occuper l'emploi auquel Minot prétendait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Wagner, 4 septembre 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond à une lettre de Wagner du 12 août 1861 qui lui annonce qu'il ne pourra venir à Guise que le 8 septembre suivant. Godin lui explique que son choix se porte sur un autre candidat.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Roussilin, 4 septembre 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond à une lettre de Roussilin du 27 août 1861. Il lui explique que le retard de sa réponse est dû au fait que l'un des candidats est venu à Guise faire un temps d'épreuve et qu'il a été choisi pour occuper l'emploi auquel Roussilin prétendait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 12 septembre 1861
À propos de Pernet-Vallier. Godin informe Cantagrel qu'il pense confier à Pernet-Vallier des affaires. Il demande à Cantagrel de remercier Pernet-Vallier de l'avoir aidé à faire le choix de Vigerie pour le poste de comptable des Fonderies et manufactures du Familistère, qu'il est heureux d'avoir rencontré pour le seconder dans la tâche qu'il s'est fixée. Godin demande à Cantagrel de publier dans les journaux une nouvelle offre d'emploi. Sur le Familistère : Godin demande à Cantagrel de lui indiquer le moyen de réunir une collection de livres pour un cabinet de lecture, de façon à donner une lecture variée et attrayante ; Godin soumet à Cantagrel l'acquisition des œuvres de Balzac illustrées par Furne, un Traité d'astronomie à l'usage des gens du monde par Arago, et il lui demande conseil pour la littérature contemporaine, qu'il connaît peu ; il remercie Cantagrel de l'aider à constituer une « collection de livres les plus propres à faire sortir la masse de l'ornière des préjugés tout en ayant le mérite de l'attirer », ce qui justifie son désir d'avoir des livres illustrés, qu'on aime à revoir. Sous la signature de Godin, au bas du folio 226v, se trouve le texte d'une offre d'emploi pour la direction des fonderies et du travail de 300 mouleurs, et pour le travail d'outillage mécanique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Baresvit, 23 septembre 1861
Godin écrit à l'un des experts d'un procès en contrefaçon, dont le rapport lui a donné raison en tous points. Il lui explique que le tribunal d'appel n'a pas tenu compte du rapport d'expertise ni de plusieurs autres affaires déjà jugées en sa faveur depuis 20 ans, qu'il a en conséquence laissé tomber d'autres brevets dans le domaine public, et qu'il a renoncé alors à faire breveter ses inventions, ce qui n'a pas empêché ses manufactures d'occuper 900 ouvriers. Il poursuit en indiquant que la concurrence est la cause de désorganisation dans ses ateliers, car les contrefacteurs viennent embaucher les ouvriers formés dans sa manufacture. Godin a désormais l'intention de faire breveter une industrie nouvelle, celle de l'application à la fonte d'émaux à l'imitation du marbre et de l'application de couleurs à reflets chatoyants d'or et d'argent, mais il sait que son brevet sera contesté. Il demande à son correspondant s'il est possible de placer un brevet sous le patronage de l'opinion des corps savants et s'il veut bien se charger de cela.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 28 septembre 1861
Godin informe Cantagrel que l'annonce d'offre d'emploi lui a valu déjà 15 lettres qui ne satisfont pas son besoin de comptables. Il évoque la candidature de Vannaisse, qui se présente comme homme d'action et comme phalanstérien : « Quoique cette qualité ait infiniment perdu de son prestige à mes yeux, elle ne peut être malgré cela une cause d'écart [...] ». Godin explique à Cantagrel qu'il pourrait remplacer le responsable actuel de l'économat du Familistère qui perçoit 2 000 F d'appointements. Godin décrit la fonction. Il indique à Cantagrel que Vannaisse habite au n° 37, rue Notre-Dame-de-Lorette, qu'il a 35 ans, qu'il est marié et qu'il a un enfant ; il demande à Cantagrel des renseignements complémentaires. Dans le post-scriptum, il réclame la note des frais de la publication de l'offre d'emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un destinataire inconnu, 30 septembre 1861
Godin informe son correspondant que l'emploi qui va se trouver vacant dans la direction du travail des fonderies donne actuellement lieu à un traitement de 200 F par mois, et qu'il ne comprend pas les soins de l'outillage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rigaud, 30 septembre 1861
Godin répond à une offre de services que pourrait rendre le fils de monsieur Rigaud de Chaumont. Godin explique à Rigaud que son fils, âgé de 20 ans, est trop jeune et dépourvu de l'éducation industrielle pour remplir des fonctions de direction manufacturière d'une grande usine. Godin lui demande également de considérer la distance entre Guise et Chaumont et le désir légitime de son fils de retrouver le toit paternel après un temps d'épreuve.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Macabux, 2 octobre 1861
Godin explique à son correspondant qu'il a surtout besoin en ce moment d'un directeur de fonderie et il décrit les fonctions de l'emploi et ses obligations. Il lui demande si cela correspond à ses aptitudes et à quels appointements il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Mercier, 2 octobre 1861
Godin informe A. Mercier que l'emploi bientôt vacant dans la direction du travail des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, aux appointements de 200 F, comprend la direction de la fusion et du mélange des fontes et le soin de la bonne exécution de toutes les pièces, ainsi que la distribution du travail pour mettre en rapport la fabrication avec le mouvement de la vente selon les indications des bureaux et du magasin, et enfin la direction du personnel de la fonderie. Il précise que la fonction requiert une présence à l'atelier en même temps que les ouvriers et les contremaîtres. Godin demande à Mercier ses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Briquet, 2 octobre 1861
Godin informe Briquet qu'aucun emploi n'est disponible dans la manufacture.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chedevile, 2 octobre 1861
Godin informe Chedeville que ses aptitudes ne correspondent pas à celles d'un candidat aux emplois offerts dans l'annonce parue dans les journaux. Il lui propose un emploi plus secondaire, celui de la direction des magasins et des expéditions de l'usine de Guise aux appointements de 125 F par mois. Il précise que la fonction requiert une présence pendant toutes les heures de travail de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Havard, 3 octobre 1861
Godin répond à Havard, candidat à l'emploi de direction de la fonderie de la manufacture ; il décrit les fonctions et les obligations de l'emploi. Il lui demande de lui faire part de ses réflexions avant tout déplacement à Guise et à quels appointements il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 4 octobre 1861
Godin demande à son correspondant s'il a des aptitudes à la direction d'un personnel ouvrier important, s'il a des connaissances en fonderie de seconde fusion et s'il est capable d'exerce la surveillance du travail dans des ateliers de fabrication. Il précise qu'un caractère facile est une condition nécessaire à la direction des ouvriers. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Perre, 4 octobre 1861
Godin informe madame Perre que les appointements attachés à l'emploi qu'il offre en ce moment dans son usine n'ont rien à voir avec ceux de la personne candidate. Il indique que celui-ci pourrait prétendre à un emploi supérieur dans son usine s'il réunissait une capacité de direction manufacturière à celle de bon administrateur et s'il était doté d'un caractère facile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 4 octobre 1861
Godin questionne Lambert sur ses aptitudes à la direction de la fonderie de son usine de Guise, et il lui demande à quels appointements il prétend pour cet emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Lombard, 4 octobre 1861
Godin questionne Jules Lombard sur ses aptitudes à la direction de la fonderie de son usine de Guise et sur son caractère, et il lui demande à quels appointements il prétend pour cet emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Caron, 4 octobre 1861
Godin informe monsieur Caron qu'il n'a pas d'emploi de comptable à lui offrir. Il lui demande de lui faire part de ses aptitudes, ses habitudes de travail et les appointements auxquels il prétend, dans le cas où une autre fonction lui conviendrait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fréminet, 5 octobre 1861
Godin demande à Fréminet des renseignements sur Laval-Brasseur, qui a cessé ses affaires à Sedan.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur de Saussaye, 5 octobre 1861
Godin répond à un candidat à l'emploi de direction de la fonderie de l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande s'il a les aptitudes pour l'emploi et s'il a un caractère facile pour se faire accepter par un personnel nombreux d'ouvriers et de contremaîtres. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur Latard, 5 octobre 1861
Godin précise à son correspondant que l'emploi à pourvoir dans son usine diffère de celui qu'il occupe actuellement. Il lui demande s'il a des connaissances en fonderie de fer et s'il a une expérience de la direction d'un personnel ouvrier nombreux. Il lui demande des renseignements sur sa situation personnelle et le montant des appointements qu'il prétend obtenir

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Picard, 5 octobre 1861
Godin demande à Picard des renseignements sur sa situation personnelle et ses capacités professionnelles pour la direction de grandes fonderies. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir et lui précise que le logement serait à sa charge.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rigaud, 7 octobre 1861
Godin invite Rigaud à faire le voyage jusque Guise pour qu'il puisse s'entretenir avec son fils de l'emploi que celui-ci pourrait occuper dans l'usine des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Potel, 10 octobre 1861
Godin demande à Potel des renseignements sur sa situation personnelle et ses capacités professionnelles dans la direction d'une fonderie avant d'accepter qu'il fasse un essai. Il lui demande quel est le montant des appointements qu'il prétend obtenir.
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