FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Cadoret est venu au Familistère en l'absence de Godin. Godin exprime à Cadoret le plaisir que Marie Moret a eu de le recevoir. Il regrette le départ de Cadoret mais se réjouit de son avancement et lui souhaite du bonheur dans sa nouvelle résidence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Chalou, après leur entrevue, qu'il cherche des collaborateurs industriels qui comprennent la portée de l'association et qui soient capables de s'y attacher. Mais à la lecture de la lettre de Chalou du 30 novembre 1879, il l'informe qu'il cesse leurs pourparlers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Chalou du 5 novembre 1879. Il lui fait observer qu'il manque des connaissances dans le domaine manufacturier. Il lui rappelle que ses établissements fabriquent des appareils de chauffage portatifs d'usage domestique et qu'il faut sans cesse créer des modèles nouveaux pour aller au-devant des goûts de la consommation. Godin lui indique qu'il devrait passer un temps d'étude auprès de lui, et qu'il ne peut lui offrir 650 F par mois car les employés actuellement les mieux payés gagnent 500 F par mois. Il lui explique qu'il ne peut remplir la fonction d'ingénieur, qui est occupée actuellement avec satisfaction, mais que « ce que je voudrais voir tenir maintenant, après un certain temps d'initiative, c'est le rôle que je remplis moi-même depuis les débuts de mon industrie par la création des appareils et modèles exploités par l'usine ». Il lui propose de venir s'entretenir avec lui à Guise et de le dédommager de ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Chalou qu'il a pris des renseignements sur lui, mais qu'il n'est pas le seul candidat à la fonction qu'il propose. Il lui demande de lui indiquer le minimum d'appointements qu'il accepterait.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Chalou qu'il ne peut, dans le délai qu'il lui indique, faire un choix entre les candidats qui se présentent à lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Chapron du 11 août 1879. Il lui indique que la question des appointements est secondaire mais qu'à ses débuts, il ne rendrait pas de services vraiment utiles. Il lui explique que les qualités morales lui importent davantage et qu'il cherche en ce moment des jeunes gens inventifs aspirant à la direction des grandes manufactures, et que son but est de former des hommes pour la direction d'une association comprenant plus de 1 000 personnes. Godin demande son âge à Chapron et quelles sont ses obligations à l'égard du service militaire. Il l'informe qu'il doit se rendre à la session du conseil général de l'Aisne et qu'il ne pourra s'entretenir avec lui qu'à la fin du mois d'août.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Chapron que la session du conseil général de l'Aisne est terminée et qu'il peut venir à Guise s'entretenir avec lui de la fonction qu'il pourrait remplir à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 50 F qu'il avait envoyés à Chassagne et que celui lui a retournés. Le père de Chassagne a pensé que Godin tenait sa famille pour responsable de ce qu'il pouvait faire pour lui : Godin s'étonne de cette réaction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la lettre de Chassagne du 27 juillet 1879, Godin lui indique qu'il n'a reçu que la veille la lettre du directeur de l'École [des arts et métiers] d'Aix-en-Provence qui lui donne de bons renseignements sur lui, bien qu'il ne soit que le numéro 32. Il lui explique qu'il ne cherche pas en ce moment des personnes ordinaires mais des jeunes gens inventifs aspirant à la direction des grandes manufactures, et que son but est de former des hommes pour la direction d'une association comprenant plus de 1 000 personnes. Godin demande son âge à Chassagne, quelles sont ses obligations à l'égard du service militaire. Il lui demande de confirmer qu'il ne fume pas, comme le lui écrit monsieur Michelet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 50 F à Chassagne pour payer ses frais de transport à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la demande de Chevalier, Godin lui envoie les numéros du premier tome du journal Le Devoir afin de compléter sa collection.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Courcelles a écrit le 19 février 1879 à Godin pour lui proposer de représenter les Fonderies et manufactures du Familistère en qualité de voyageur de commerce : Godin lui indique qu'il pourrait lui confier l'ouest de la France, mais qu'il doit auparavant le rencontrer et qu'il sera nécessaire qu'il fasse un stage dans l'usine de Guise avant son entrée en fonction. Il lui propose de venir à partir de samedi prochain, après la session du conseil général de l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Crémont qu’aucune affaire ne l’appelle à Vervins et qu’en conséquence il ne peut honorer son invitation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Cruchet qu'il souhaite le voir à Guise avant de décider son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il le prévient qu'il peut participer aux frais de son voyage à hauteur de 26,30 F. Godin précise que ses usines fabriquent des objets usuels, notamment des appareils de chauffage portatifs : « L'étude d'appareils nouveaux, la construction des modèles, la connaissance des moyens de moulage à leur appliquer sont les conditions essentielles de cette fabrication. » Il demande à Cruchet s'il peut se rendre utile dans ce genre d'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Daël qu'il ne donne pas suite à la demande qu'il lui a faite.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daël du 21 novembre 1879. Godin informe Daël que les Fonderies et manufactures du Familistère sont représentées dans le Nord et que ses produits se vendent dans toutes les maisons de commerce. Il ne peut en conséquence donner suite à sa proposition.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Delhotel s’il peut prendre des renseignements sur lui auprès de son employeur monsieur Quentin. Il lui fait remarquer qu’il est étranger à son industrie, qui consiste dans la fabrication d’objets usuels, particulièrement d’appareils de chauffage portatifs : « L'étude d'appareils nouveaux, la construction des modèles, la connaissance des moyens de moulage à leur appliquer sont les conditions essentielles de cette fabrication. » Il demande à Delhotel s'il peut rendre des services dans ce genre d'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Depierre qu'il n'a pas l'expérience de la comptabilité industrielle. Il lui demande de compléter ses références en lui communiquant les adresses des maisons dans lesquelles il a travaillé. Il lui demande également quelle est sa situation familiale et s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Dupré qu'il a chargé Rignault de mettre en vente le dimanche suivant un terrain sur le chemin de Corbigny qu'il lui avait vendu, au cas où il voudrait se porter acquéreur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la demande d'Eldredge, Godin lui adresse deux brochures, La richesse eu service du peuple et Les socialistes et les droits du travail, où il trouvera des renseignements sur le Familistère, et trois numéros du Devoir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une demande d'emploi. Dans le post-scriptum il l'informe qu'il lui retourne les certificats qu'il lui avait envoyés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Félix que son choix s'est porté sur un autre candidat à l'emploi proposé. Il lui retourne les dessins de deux brevets d'invention, un certificat et deux lettres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Félix que l'employé qu'il recherche doit être un comptable très compétent. Il lui demande de lui communiquer ses références, son âge, sa situation familiale et s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fleutet qu'il ne pense pas qu'il puisse diriger la comptabilité de ses établissements et qu'il ne peut donner suite à sa demande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselin du 28 janvier 1880 en lui envoyant les quatre brochures qu'il a publiées pour la Bibliothèque démocratique. Godin restant débiteur de Gosselin pour la somme de 5,40 F, il propose de lui envoyer Solutions sociales ou un abonnement au journal Le Devoir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Hacokes son livre Solutions sociales pour lui faire connaître le Familistère. Hacokes a exprimé le désir de se joindre à l'œuvre de Godin : Godin lui répond que la distance et l'absence de maîtrise de la langue française rendent la chose impossible. Il ajoute que la distance entraîne à voir le Familistère sous des couleurs plus favorables que celles de la réalité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Labadie qu'il n'a pas besoin d'un homme pour la direction supérieure de ses usines, mais uniquement pour la création de modèles et la direction de la fabrication qui emploie 1 200 ouvriers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Lasserie ce qu'Amédée Moret lui a dit sur l'indisponibilité de Taconet, malade. Godin consent à étudier sa proposition de le prendre comme voyageur de commerce, mais il veut auparavant savoir si Lasserie a des engagements auprès d'autres maisons ; il fait valoir que la quantité de produits de quincaillerie fabriqués a tellement augmenté depuis le départ de Lasserie que la représentation des Fonderies et manufactures du Familistère peut être une occupation à temps plein pour un voyageur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Laylavoix qu'il souhaite le voir à Guise avant de décider son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il le prévient qu'il peut participer aux frais de son voyage à hauteur de 26,30 F. Godin fait remarquer à Laylavoix qu'il s'est occupé jusqu'ici de grosse mécanique alors que l'industrie de ses usines consiste dans la fabrication d'objets usuels, notamment d'appareils de chauffage portatifs : « L'étude d'appareils nouveaux, la construction des modèles, la connaissance des moyens de moulage à leur appliquer sont les conditions essentielles de cette fabrication. » Il demande à Laylavoix s'il peut se rendre utile dans ce genre d'industrie. Laylavoix a écrit à Godin qu'il avait des connaissances en comptabilité : Godin lui demande s'il en a suffisamment pour prendre une sous-direction dans ses bureaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Le Bail que sa préférence ira à d’autres candidats que lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leblon que ses usines fabriquent des appareils de chauffage portatifs domestiques, et qu'il faut créer des modèles nouveaux, avec des connaissances approfondies en fumisterie et une recherche d'élégance des formes, pour être en avant du goût de la consommation. Il lui demande de lui fournir des références et l'avertit qu'il devrait faire un certain temps d'étude avant de rendre de réels services. Il lui demande également de lui communiquer le montant minimum d'appointements qu'il accepterait, de lui donner son âge et lui dire s'il fait usage du tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leblon que ses établissements vont être constitués en association comprenant plus de 1 000 personnes participant aux bénéfices de l'industrie, et que la personne recrutée aura dans ses attributions le contrôle et la surveillance des conseils de l'association. Il ajoute qu'il recherche des hommes au caractère bienveillant. Il demande à Leblon de venir à Guise pour s'entretenir avec lui et il propose de payer ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la vente d'un terrain. Godin souhaite avoir une entrevue avec Lefèvre pour conclure la vente rapidement et lui permettre d'occuper des ouvriers aux travaux du chemin pendant la mauvaise saison.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la vente d'un terrain. Sur les conditions du comblement du chemin de Courcelles en vue de conclure la vente.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lefranc qu'il accepte de lui fournir un emploi à l'usine et de le loger au Familistère. Il lui communique le montant de sa rémunération à ses débuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Letouzé qu'il souhaite le voir à Guise avant de décider son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il le prévient qu'il peut participer aux frais de son voyage à hauteur de 23,50 F. Godin fait remarquer à Letouzé qu'il s'est occupé jusqu'ici de grosse mécanique alors que l'industrie de ses usines consiste dans la fabrication d'objets usuels, notamment d'appareils de chauffage portatifs : « L'étude d'appareils nouveaux, la construction des modèles, la connaissance des moyens de moulage à leur appliquer sont les conditions essentielles de cette fabrication. » Il demande à Letouzé s'il peut se rendre utile dans ce genre d'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Lorgère du 22 janvier 1880. Il lui demande de lui communiquer les adresses des maisons pour lesquelles il a travaillé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Maquin qu'il suffit qu'il se présente à la caisse du Familistère avec son titre acquitté avec timbre à 0,10 F pour que le montant soit soldé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Maricot qu'il ne reçoit pas le journal Le Rots, qu'il ne peut donc apprécier ses opinions politiques et religieuses et juger s'il peut collaborer au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Maton qu'il a fait son choix parmi les candidats et il lui retourne les dessins, certificats et diplôme qu'il lui avait soumis.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Monneret du 29 janvier 1879. Il accuse réception d'un mandat de 12,50 F en paiement d'un abonnement au journal Le Devoir. Monnet a proposé à Godin de lui céder une collection de 3 000 fossiles : Godin demande quelles sont ses conditions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Monneret ses échantillons de fossiles et l’informe que le Familistère ne peut acquérir sa collection.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Mourlet a écrit le 5 avril 1880 à Godin pour lui demander si Mutualité sociale contiendra les renseignements nécessaires pour constituer une société coopérative de consommation. Il lui explique que l'Association du Familistère embrasse le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique et qu'ainsi son cadre est trop large pour que ses statuts puissent s'appliquer à une société spéciale. Il le renvoie au Devoir, auquel Mourlet est abonné, qui pourra prochainement donner satisfaction à sa demande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense que Perrault est plus spécialiste en comptabilité qu'il ne le faudrait pour l'emploi à pourvoir. Il explique que la fonction de sous-chef de la comptabilité comprend presque tout le travail de comptabilité industrielle auquel sont attachés 19 employés, dont il donne le détail, sans compter les employés des bureaux extérieurs des ateliers. Il lui confirme qu'il cherche un chef comptable véritablement expérimenté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pient qu'il ne pense pas qu'il puisse diriger la comptabilité de ses établissements et qu'il ne peut donner suite à sa demande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Stropé une paire de conserves devant lui servir de modèle pour la fourniture d'une nouvelle paire avec verres plans et une légère teinte vert émeraude.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Teilliot de Chandiat qu'il ne lui paraît pas avoir les connaissances spéciales que doit posséder l'ingénieur qu'il cherche. Il lui explique que ses usines fabriquent des appareils de chauffage et qu'il est indispensable de posséder des connaissances en fumisterie et de rechercher l'élégance des formes pour créer de nouveaux modèles. Il lui demande de lui communiquer ses références, son âge, sa situation familiale et s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Vandevyver qu'il ne s'oppose pas à sa venue à Guise mais qu'il manque de renseignements sur ses connaissances en comptabilité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Vénard a proposé à Godin de s'installer en qualité de pharmacien dans l'Association coopérative du capital et du travail : Godin accepte d'examiner cette proposition ; il indique que les frais de pharmacie du Familistère s'élèvent à 6 000 F chaque année, somme que le comité de pharmacie cherche à réduire ; il précise que cette somme ne peut pas augmenter avec des personnes venant de l'extérieur : « Le public, au contraire, voit avec jalousie et rivalité l'organisation des services intérieurs du Familistère. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'est pas opposé à l'installation d'un pharmacien au Familistère, mais il ne connaît pas Vénard et ne peut savoir s'il peut remplir d'autres fonctions comme il l'a proposé. Godin indique à Vénard qu'il existe trois pharmaciens dans la ville de Guise du fait que la région compte 22 000 habitants, et que le Familistère se fournit alternativement chez chacun d'eux. Il ajoute qu'il existe trois médecins à Guise qui viennent tous au Familistère et prescrivent des médicaments.

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