Godin informe madame Dodin qu'au Familistère, les appointements sont fixés par les candidats eux-mêmes, et que les frais de chauffage ou d'éclairage de leur logement sont à la charge des employés.

Godin souhaite savoir où Clausse a enseigné et s'il peut se renseigner sur lui dans la commune où il enseigne actuellement. Il l'informe que c'est aux candidats de fixer le montant de leurs appointements, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de leur logement sont à la charge des employés.

Godin demande à Théreux, candidat à un emploi, de fixer le montant de ses appointements, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin informe Jobin que les écoles du Familistère ont leur directeur en chef et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une des classes supérieures. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin retourne à Vallois ses certificats et l'informe qu'il n'accepte pas ses services.

Godin informe Viret que les écoles du Familistère ont un chef d'institution et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une classe. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage sont à la charge des membres de l'association. Il indique que la fonction comprend 7 heures de classe par jour et que les droits à la retraite sont fixés par les statuts.

Godin annonce à madame Sulzer qu'il serait heureux de trouver une institutrice capable de s'occuper des écoles maternelles et capable en même temps de s'occuper de l'une des classes de l'école primaire. Il lui signale qu'il ne connaît pas l'institution Rama et ne peut donc apprécier ses capacités. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin annonce à madame Alexandre qu'il serait heureux de trouver une institutrice capable de s'occuper des écoles maternelles ou de s'occuper de l'une des classes de l'enseignement primaire. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin annonce à Théreux qu'il est prêt à l'accepter aux conditions qu'il lui a communiquées sous réserves d'obtenir les moyens de se renseigner sur son compte.

Godin explique à Millet que les écoles du Familistère sont fondées depuis 20 ans et ont devancé les nouvelles lois scolaires. Il l'informe que les écoles du Familistère ont un chef d'institution et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une classe. Il l'assure que la fonction lui laisserait une certaine indépendance et que les observations d'un maître de mérite ont leur place dans le comité des écoles. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin explique à Eugénie Calloch que le Familistère de Guise loge 1 200 membres d'une association industrielle et que les candidat·es aux fonctions de maîtres et maîtresses doivent exprimer leurs prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de leur logement seraient à leur charge.

Godin envoie à Ségard le manuscrit du discours qu'il a prononcé à la fête de l'Enfance du Familistère et qui doit figurer en tête du prochain numéro du journal . Il réclame une épreuve de l'article.

Godin explique à Th. Déret que le Familistère de Guise loge une population industrielle de 1 200 personnes, que les écoles sont fondées depuis 20 ans pour les enfants de 7 à 14 ans, que chaque classe a son professeur et compte 35 élèves de même âge des deux sexes, que les professeurs ont 7 heures de travail par jour et que leurs congés sont réduits à une semaine en septembre et un ou deux autres jours. Il ajoute que l'association cherche la stabilité des professeurs. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge. Il précise que les instituteurs et institutrices peuvent devenir membres de l'association. Il lui demande de lui donner les moyens de se renseigner sur lui et sur sa femme si elle est candidate à une fonction vacante.

Godin demande à mademoiselle Fennery son âge, ses références et ses prétentions salariales, compte tenu que les frais de loyer, de chauffage et d'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin envoie au préfet un croquis des écoles du Familistère et lui donne des renseignements détaillés sur celles-ci pour solliciter leur reconnaissance en tant qu'institution d'utilité publique.

Godin demande à Clausse de venir à Guise pour qu'ils puissent s'entendre. Il l'informe qu'il y a 7 heures de cours par jour dans les écoles du Familistère, que les classes comprennent 30 à 35 élèves, que le prix des loyers des logements est proportionnel au nombre de pièces et que la vie n'est pas bon marché à Guise. Il lui signale qu'il ne pourrait pas donner à Guise des leçons particulières de musique ou de dessin.

Godin répond à la lettre de Cambier du 20 août 1882 en lui envoyant un portrait photographique.

Godin répond à la lettre de madame Alexandre du 10 septembre 1882. Il la prévient qu'il n'aura pas le temps avant le dimanche suivant de se procurer des renseignements sur elle. Il souhaite avoir l'adresse de toutes les institutions où elle a professé et connaître son âge.

Godin avertit Ringuier que le Familistère a besoin de professeurs dans la force de l'âge formés aux méthodes nouvelles alors que la personne est un maître qui a l'âge de la retraite.

Godin annonce à Théreux qu'il retient sa candidature, l'engage à venir rapidement au Familistère mais lui fait remarquer la raideur du langage de sa dernière lettre.

Godin annonce à Moret qu'il a déjà fait son choix parmi les candidats aux emplois d'instituteurs des écoles du Familistère, et qu'il ne manque qu'une directrice d'école maternelle. Il lui demande si sa demoiselle peut venir à Guise sans lui et si, étant donné son jeune âge, elle a l'autorité et l'expérience d'une directrice. Il lui demande où elle a obtenu son diplôme, où elle a enseigné, auprès de qui il pourrait se renseigner sur elle, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin annonce à Marbac qu'il a déjà fait son choix parmi les candidats aux emplois d'instituteurs des écoles du Familistère.

Godin informe Périn qu'il va prendre des renseignements sur lui. Il lui demande s'il pense avoir les aptitudes à diriger un cours élémentaire ou un cours moyen selon les directives du dernier décret du gouvernement, bien qu'il ne soit pas élève des écoles normales. Il l'informe que les classes des écoles du Familistère sont mixtes et l'avise que les écoles du Familistère sont libres et que par conséquent l'engagement décennal ne peut s'y accomplir. Il lui demande s'il est libéré du service militaire.

Godin commande 6 paires de manchettes pour le raccommodage de chemises anciennes.

Godin a appris que l'inspecteur a proposé une directrice d'école maternelle à la commune de Gérardmer. Il souhaiterait, si elle est toujours disponible, entrer en relation avec elle pour lui proposer la direction des écoles maternelles du Familistère. Il indique à l'inspecteur qu'il satisferait les conditions de celle-ci : 1 500 F et le logement.

Godin a appris que Doudelle recherchait un poste d'instituteur. Il lui propose d'enseigner dans les écoles du Familistère pour une classe de 35 à 40 élèves de même âge et des deux sexes. Il lui demande s'il est titulaire du brevet supérieur ou du brevet élémentaire, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin a lu dans la presse que la société de Masquin ouvrait une émission d'obligations pour augmenter son capital. Godin propose à Masquin de former le capital de sa société à la condition qu'elle organise la répartition des bénéfices comme cela se fait dans la Société du Familistère dont le capital et de 4 600 000 F et dont il lui envoie les statuts.

Godin annonce à Périn qu'en raison de la jeunesse de ce dernier, il ne sait s'il doit l'accepter pour occuper un emploi d'instituteur dans les écoles du Familistère qui comprennent 5 classes dirigées par 5 professeurs. Il lui demande toutefois de lui communiquer ses prétentions salariales compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à ses frais.

Godin avertit Clausse que les embarras que pourraient lui causer l'affaire évoquée dans sa lettre du 22 septembre pourraient l'empêcher d'occuper le poste d'instituteur dans les écoles du Familistère qu'il lui avait accordé.

Godin explique à Broperon qu'il est pressé d'arrêter son choix définitif pour le recrutement des instituteurs des écoles du Familistère. Il souhaite connaître ses prétentions salariales, sa situation familiale et les adresses des personnes pouvant le renseigner sur lui.

Godin demande à madame Bourguet si elle peut le mettre en relation avec une directrice d'école maternelle capable d'appliquer les méthodes nouvelles dans les écoles maternelles du Familistère.

Godin annonce à Edmond Potonié-Pierre que le prochain numéro du journal Le Devoir contiendra le compte rendu des opérations de la Société du Familistère, et qu'il veut l'envoyer aux directeurs de rédaction des grands journaux de Paris. Il lui demande de lui communiquer les adresses de ceux qu'il connaît.

Godin fait des recommandation pour la composition et la mise en page du prochain numéro du journal Le Devoir, qui comprendra le rapport de la gérance de la Société du Familistère.

Godin demande à Clausse pourquoi il n'est pas encore arrivé au Familistère.

Godin demande à Broperon de répondre à sa lettre du 29 septembre 1882.

Godin presse Broperon de venir enseigner dans les écoles du Familistère. Il lui demande si sa femme a déjà enseigné.

Godin annonce à Maistre que le journal Le Devoir ne peut publier ses derniers articles qui ne sont pas en harmonie avec les théories sociales défendues par Le Devoir et auraient dû aborder la question de l'amour et du mariage du point de vue de la société de l'avenir et non de la société actuelle. Il lui retourne les manuscrits de ses articles 2, 3, 4 et 5.

Godin assure Clausse que le poste d'instituteur dans les écoles du Familistère est toujours à sa disposition si son affaire connaît une issue favorable. Il lui demande s'il doit attendre le 15 octobre pour prendre une décision.

Godin informe Moret qu'un instituteur lui fait défaut et il lui demande s'il est possible de reprendre leurs pourparlers sur son recrutement et celui de sa fille. Il lui demande de lui indiquer le nom des communes où il a enseigné, les adresses des personnes auprès desquelles il pourrait se renseigner sur lui et de répondre aux questions de sa lettre du 18 septembre 1882 relatives à sa fille.

Godin demande à Edmond Potonié-Pierre de collectionner les journaux qui parleraient du bilan de la Société du Familistère contenu dans le dernier numéro du Devoir.

Godin demande à Levasseur d'insérer un document dans le journal Le Courrier de l'Aisne avant le 15 octobre.

Godin prie Falaize de faire le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère. Il lui demande de clore l'affaire entre son fils Émile et la Société du Familistère concernant des biens que celui-ci doit restituer : Godin explique à Falaize qu'une grande pièce de terre est encore occupée par une briqueterie que son fils a fait édifier.

Godin explique à Leymarie que le numéro du journal du Devoir [contenant le bilan de la Société du Familistère] avait été déjà expédié aux directeurs des journaux quand il lui a fait la proposition de le distribuer, mais qu'il le remercie de son intention. Il le remercie également de lui avoir fait adresser la revue d'astronomie de Camille Flammarion.

Godin informe Geldart qu'il arrivera à Bruxelles le lendemain pour participer à la Conférence internationale et soutenir la fondation d'associations nationales d'arbitrage et de paix. Il propose d'y lire un travail sur la paix, pages extraites du livre Le gouvernement et les droits de l'homme qu'il fait éditer en ce moment. Il précise qu'il se rendra directement au Palais de la Bourse à son arrivée et il voudrait savoir à quel hôtel est descendu Hodgson Pratt.

Godin remercie Vézier pour l'envoi de quatre registres d'appel journalier pour école primaire, mais lui fait observer que les écoles du Familistère comprennent cinq classes.

Sur la déclaration d'utilité publique des écoles du Familistère.

Godin informe Muzeau qu'il peut lui offrir la direction d'une classe des écoles du Familistère aux appointements qu'il souhaite. Il lui communique des informations sur les écoles : 5 classes mixtes de 35 à 40 élèves ayant chacune son professeur ; programme de toutes les classes concerté entre les maîtres. Il lui demande de venir immédiatement et propose de lui allouer la somme de 250 F pour ses frais de déplacement.

Godin envoie à James Bishop les ouvrages Mutualité sociale, dont la traduction en anglais de madame Bristol est incomplète et contient des erreurs, La richesse au service du peuple et deux numéros du journal Le Devoir, qui contiennent le bilan de l'association du Familistère. Il accuse réception du volume envoyé par Bishop.

Godin demande à Falaize s'il a fait le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Godin demande à Gauchet des informations sur la population qu'il pourrait avoir à loger à Laeken. À propos d'une visite mensuelle de Bourgeois à Guise. Sur les modèles d'une cuisinière et de poêles.