Godin explique à Égloff, candidat à un emploi, que la discrétion demandée par ce dernier l'a empêché de se renseigner sur son compte. Il précise que ses prétentions salariales ne s'opposent pas à son admission dans l'association du Familistère à condition qu'il puisse se renseigner sur ses qualités et son caractère. Il lui propose d'avoir un entretien avec lui.

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement... : Godin fait des observations sur la correction des épreuves.

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement....

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement... : Godin, qui n'a reçu que les épreuves de 48 pages du livre réclame l'envoi régulier des épreuves à suivre de manière à achever l'ouvrage dans un ou deux mois.

Godin demande à Fontaine des renseignements sur deux de ses anciens élèves, Gustave Leroy et Édouard Carpentier, qui demandent à entrer dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il informe Fontaine que l'administration lui a envoyé les certificats d'études de messieurs Grandjean, Poulet, Petit et Pigeon.

Godin explique à Gallicher, candidat à un emploi, que la rémunération dépend au Familistère des capacités des personnes, et qu'elle peut varier pour la fonction en question de 350 à 600 F par mois, sans compter la part de bénéfices « qui, pour les employés de la même catégorie, a triplé cette année et l'année dernière leurs appointements ». Il lui demande ses références et ses prétentions salariales.

Godin accepte que Gasc vienne faire un essai dans la fonction d'instituteur dans les écoles du Familistère de Guise. Dans le post-scriptum, il lui annonce qu'il lui adresse 4 numéros du journal du Devoir.

Godin demande à Gasc de compléter les renseignements qu'il lui a fournis sur sa personne par des renseignements physiques et intellectuels sur sa femme et ses enfants. Il accepte de rembourser à Gasc ses frais de déplacement et ses frais de nourriture à Guise s'il ne restait pas au Familistère après la période d'essai. Il précise à Gasc qu'il pourra choisir un logement au Familistère parmi ceux qui sont disponibles.

Godin explique à Gascon qu'il souhaite recruter des employés plus jeunes que lui, et qu'il faudrait qu'il lui donne des raisons exceptionnelles pour qu'il puisse l'accepter à la fonction de directeur des approvisionnements des débits et magasins du Familistère comprenant une population de 1 200 personnes. Il lui demande ses prétentions salariales.

Godin indique à Gascon qu'il n'a pas encore pris de décision sur sa candidature à un emploi en raison de son âge.

Godin demande à Gauthier de lui indiquer le jour où il viendra à Guise pour examiner avec lui l'emploi qu'il pourrait occuper dans les Fonderies et manufactures du Familistère.

Godin a appris que Doudelle recherchait un poste d'instituteur. Il lui propose d'enseigner dans les écoles du Familistère pour une classe de 35 à 40 élèves de même âge et des deux sexes. Il lui demande s'il est titulaire du brevet supérieur ou du brevet élémentaire, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

En réponse à la lettre de Gibout du 11 octobre, Godin lui communique des renseignements sur les écoles du Familistère : écoles libres d'une association industrielle, susceptibles d'être déclarées d'utilité publique, situées au milieu des logements de la population ; l'instituteur habite dans un des logements, paie son loyer, reçoit uniquement ses appointements mais pourrait avoir droit aux assurances mutuelles et à un pension de retraite ; les heures de classe sont de 8 à 9 h, de 10 à 1 h, de 3 à 6 h, et le jeudi après-midi est libre. Godin lui indique qu'il désirerait recruter non seulement un bon professeur mais aussi une personne capable d'organiser l'institution et de lui adjoindre une institution secondaire et un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Godin demande à Gibout de lui écrire la manière dont il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il veut connaître sa situation familiale et souhaite que Gibout lui communique ses références.

Godin demande à Gillet de recueillir des renseignements historiques sur le canal des usines de Guise : sur les anciens moulins, sur la conversion du couvent des Minimes en usine et sur les droits de la ville sur le cours d'eau.

Gosselin a proposé à Godin d'employer une personne. Godin souhaite connaitre les aptitudes et les capacités de celle-ci ainsi que ses références.

Godin informe Grévirath qu'il est prêt à lui donner un emploi si ses références depuis la sortie des écoles sont satisfaisantes.

Godin annonce à Guy qu'il ne s'oppose pas à la réédition de la brochure La richesse au service du peuple et propose d'en réviser le texte. Il lui demande le nom de l'éditeur.

Godin demande à Vallière, candidat à l'emploi de sculpteur des modèles en plâtre, de lui communiquer ses références et ses prétentions salariales. Il précise qu'il s'agit de réaliser des modèles pour des appareils en fonte de fer.

Godin demande à Vallière de lui envoyer 200 à 300 grammes de porphyre et d'en emmener 2 à 3 kilogrammes lorsqu'il viendra à Guise.

Godin demande à Levasseur d'insérer un document dans le journal Le Courrier de l'Aisne avant le 15 octobre.

Godin commande une paire de bottines.

Godin informe Hüe-Druez que les emplois disponibles actuellement dans la Société du Familistère sont rémunérés de 250 à 500 F par mois en fonction de la capacité et de l'activité des personnes. Il lui demande de lui faire connaître les aptitudes et les prétentions salariales de son candidat.

Godin informe Jamet, candidat à l’emploi de voyageur de commerce pour l’Ouest, des Côtes-du-Nord à Bayonne, qu’il pas obtenu de réponse aux demandes de renseignements qu’il a faites à son propos. Il lui fait part des conditions accordées aux voyageurs de commerce à la commission par les Fonderies et manufactures du Familistère. Il demande à Jamet si ces conditions lui conviennent et s’il accepterait, avant de voyager, de venir à l’usine de Guise pendant quelques jours pour étudier les produits. Il lui demande également quelles sont les maisons qu’il représente. Il le prie de lui préciser l’adresse de Petitjean à Paris.

Godin informe Lacouture qu'il a reçu l'atlas mais non le traité de dessin professionnel valant ensemble 10 F.

Laval est candidat à l'emploi de sculpteur des modèles en plâtre. Godin précise que les modèles sont destinés au moulage de fonte de fer, pour des appareils de chauffage et autres objets d'ameublement le plus souvent émaillés. Il lui demande de lui communiquer ses références et ses conditions.

Godin explique à Laval que l'association du Familistère ne peut satisfaire les conditions qu'il demande. Il lui explique que l'association n'accorde que des appointements fixes et que la part des bénéfices accordée aux membres de l'association est proportionnée aux appointements. Il ajoute que chacun prend le logement à sa convenance. Il lui propose de faire un essai de 15 jours ou un mois qu'il rémunérerait sur le pied de 6 000 F par an pour 10 heures de travail par jour. Dans le cas où cette proposition ne lui convenait pas, Godin demande à Laval de lui indiquer un collègue avec qui il pourrait s'entendre.

En réponse à la lettre de Le Calvez du 3 octobre, Godin lui communique des renseignements sur les écoles du Familistère : écoles libres d'une association industrielle, susceptibles d'être déclarées d'utilité publique, situées au milieu des logements de la population ; l'instituteur habite dans un des logements, paie son loyer, reçoit uniquement ses appointements mais peut devenir membre de l'association. Godin demande à Le Calvez de lui écrire la manière dont il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il veut connaître sa situation familiale et souhaite que Le Calvez lui communique ses références.

Godin annonce à Marbac qu'il a déjà fait son choix parmi les candidats aux emplois d'instituteurs des écoles du Familistère.

Godin répond à la lettre de Mérian du 16 juillet 1882. Il lui explique qu'il avait alors déjà trouvé le directeur qu'il cherchait. Il lui demande s'il accepterait un emploi de sous-chef de fonderie aux appointements de 200 F par mois.

Godin explique à Millet que les écoles du Familistère sont fondées depuis 20 ans et ont devancé les nouvelles lois scolaires. Il l'informe que les écoles du Familistère ont un chef d'institution et qu'il ne peut lui offrir que la direction d'une classe. Il l'assure que la fonction lui laisserait une certaine indépendance et que les observations d'un maître de mérite ont leur place dans le comité des écoles. Il lui demande ses prétentions salariales et lui précise que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Godin informe Moret qu'un instituteur lui fait défaut et il lui demande s'il est possible de reprendre leurs pourparlers sur son recrutement et celui de sa fille. Il lui demande de lui indiquer le nom des communes où il a enseigné, les adresses des personnes auprès desquelles il pourrait se renseigner sur lui et de répondre aux questions de sa lettre du 18 septembre 1882 relatives à sa fille.

Godin annonce à Moret qu'il a déjà fait son choix parmi les candidats aux emplois d'instituteurs des écoles du Familistère, et qu'il ne manque qu'une directrice d'école maternelle. Il lui demande si sa demoiselle peut venir à Guise sans lui et si, étant donné son jeune âge, elle a l'autorité et l'expérience d'une directrice. Il lui demande où elle a obtenu son diplôme, où elle a enseigné, auprès de qui il pourrait se renseigner sur elle, et quelles sont ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à sa charge.

Nihour a répondu le 10 décembre à une offre d'emploi [parue le 10 décembre 1882 dans ] en indiquant qu'il a étudié la question des phalanstères. Godin lui demande de lui communiquer les documents qu'il a rédigés à ce sujet. Il lui adresse une circulaire destinée aux candidats aux emplois offerts. Il lui demande des renseignements sur son compte.

Godin prie Nihour de lui fournir des références à l'appui de sa candidature à l'emploi de comptable. Il précise que les appointements attachés à la fonction de chef de la comptabilité sont de 400 F par mois sans compter les avantages liés à la qualité d'associé de l'association du Familistère et de membre de son conseil d'administration.

Godin informe Ollinet qu'il a répondu à la demande d'Ernest Létrier. Il précise que Létrier a pris l'engagement de respecter les statuts de l'association en devenant membre de celle-ci.

Godin répond à la lettre de Pagny du 27 novembre 1881 : il annonce à Pagny qu'il prend connaissance des observations et rectifications envoyées à la rédaction du journal Le Devoir sans s'engager à les publier.

Godin explique à Pesant, candidat à un emploi, que la rémunération dépend au Familistère des capacités des personnes, et qu'elle peut varier pour la fonction en question de 350 à 600 F par mois, sans compter la part de bénéfices « qui, pour les employés de la même catégorie, a triplé cette année et l'année dernière leurs appointements ». Il lui demande ses références et ses prétentions salariales, son âge et sa situation familiale.

Godin accepte d'employer Pfitzinger dans les bureaux de la Société du Familistère pour 200 F par mois.

Godin confirme à Pfitzinger qu'il peut entrer en fonction le 1er mai 1882.

Godin informe Pfitzinger qu'il ne pense pas qu'il ait les qualités requise pour occuper un des emplois vacants dans la Société du Familistère. Il juge qu'il devrait suivre une préparation et se livrer auparavant à l'étude de son industrie. Il lui demande quelles sont ses prétentions salariales et la référence de la dernière maison dans laquelle il a été employé.

Godin demande à Guérard de lui envoyer la facture de l'installation des sonneries électriques dans son appartement.

Godin annonce à Guérard qu'il accepte son devis pour l'installation d'un système de sonneries électriques dans son appartement.

Godin informe Poulet qu'il accepte de l'employer au sein de la Société du Familistère de Guise.

Sur le mobilier scolaire des écoles du Familistère : Godin indique à Prudot que le prix des bureaux varie de 22 à 30 F selon le type ; il l'informe qu'il devra préciser l'âge des élèves concerné·es dans le cas d'une commande de mobilier.

Godin envoie à Rousset un mandat postal de 12 F pour un abonnement d'un an au Moniteur de la céramique.

Godin annonce à Sabathier qu'il accepte sa candidature à un emploi dans la Société du Familistère de Guise et qu'il peut entrer en fonction aussi vite que possible.

Godin informe Sabathier que sa rémunération sera de 400 F par mois. Il l'avertit qu'il devra attendre le mois de juin pour être accepté en qualité de membre des conseils et d'associé de l'Association coopérative du capital et du travail. Sur le logement de Sabathier et sur une indemnité de déplacement.

Godin explique à Simon, candidat à un emploi, que la rémunération dépend au Familistère des capacités des personnes, et qu'elle peut varier pour la fonction en question de 350 à 600 F par mois, avec une participation aux bénéfices annuels. Il lui demande ses références et ses prétentions salariales.

Godin annonce à Théreux qu'il est prêt à l'accepter aux conditions qu'il lui a communiquées sous réserves d'obtenir les moyens de se renseigner sur son compte.

Godin annonce à Théreux qu'il retient sa candidature, l'engage à venir rapidement au Familistère mais lui fait remarquer la raideur du langage de sa dernière lettre.