Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Pétilleau d'achever les devis estimatifs des constructions faites depuis 1863 à l'usine et au Familistère. Il le prie de presser Émile d'établir les devis pour l'outillage et les aménagements faits dans l'usine depuis 1863. Sur les expériences sociales du Familistère. Godin demande à Pétilleau d'obtenir de Denisart la liste des ouvriers inscrits pour les améliorations faites dans le travail et il souhaite avoir la liste des sommes qui viennent d'être réparties aux employés. Il lui demande enfin de retrouver parmi les papiers rapportés par Marie Moret de Versailles la liste des membres de la commission vicinale du canton de Guise et de la lui envoyer.

Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Pétilleau de lui donner des nouvelles du travail préparatoire à l'expertise. Sur les difficultés causées par Esther Lemaire à l'expertise. Godin informe Pétilleau que Georges Coulon ne s'occupe plus de l'affaire et qu'il doit s'adresser dans les cas pressants à Cresson au 41, rue du Sentier [à Paris]. Sur les canaux. Godin veut obtenir l'état de la situation financière du canal de la Sambre à l'Oise en plus de celui de la Sambre canalisée pour connaître le montant des bénéfices réalisés par chaque compagnie au cours des sept dernières années. Sur l'énormité du montant du rachat des canaux. Godin joint à sa lettre un état des bénéfices nets des compagnies du canal de la Sambre à l'Oise et de la Sambre française canalisée de 1861 à 1871 et il estime à 64 354 000 F le montant du rachat des voies d'eau.

Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Sur les frais de procès à payer par Godin. Godin s'étonne de l'état des frais présenté par Pétilleau dans la mesure où Corneau a perdu son procès et qu'il a déjà payé en appel 2 000 F et les frais du procès. À propos de brevets d'invention. Sur le rachat des canaux.

Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le rôle d'Émile Godin, d'Alphonse Grebel, de Lesne et de Pétilleau dans la préparation de l'expertise de la valeur de l'usine, sur la susceptibilité de Pétilleau et sur ses difficultés à répartir le travail. Sur l'affaire Pagès. Sur l'affaire Thiébault.

Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur l'expertise de la valeur des usines.

Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin recommande à Pétilleau de signifier à Esther Lemaire le résultat de l'expertise des pertes occasionnées par le bris de la machine à vapeur [faisant partie de la communauté de biens]. Il l'autorise à porter la moitié de la somme au compte d'Esther Lemaire.

Sur des opérations financières dites opérations de report.

Godin accuse réception de la lettre de Pétilleau du 2 juillet 1873, relative à des propositions d'investissement : Godin a des réticences car il veut l'assurance d'avoir toute quiétude sur les opérations. Sur un projet de circulaire relative aux avaries subies par les marchandises dans le transport par chemin de fer : Godin craint que la mesure proposée mécontente les clients.

Godin répond à la lettre de Pétilleau du 5 juillet 1871. Avant de le recruter en qualité de secrétaire, Godin demande à Pétilleau des renseignements sur lui, en plus du nom de Grimpard et Govazé donné comme référence.

Godin demande à Pétilleau s'il peut venir le voir à Bellevue pour s'entretenir avec lui de l'emploi qu'il pourrait occuper. Il lui indique comment se rendre à Bellevue par le chemin de fer depuis Versailles.

Godin a reçu la lettre de Pétilleau du 11 août 1871 au moment où il quittait Versailles pour le Familistère, pour y trouver repos et santé. Pétilleau est toujours décidé à trouver un emploi au Familistère après avoir lu Solutions sociales : Godin l'invite à venir à Guise dès que possible et lui rappelle que ses appointements seront de 250 F par mois.

Godin informe Pétilleau que les vacances [de l'Assemblée nationale] approchent et l'invite à se rendre à Guise où il se trouvera lui-même.