FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. G Gavet, 23 mai 1861
Godin avertit E. G. Gravet que l'emploi qu'il avait en vue de créer en écrivant au directeur de l'École des arts et métiers de Châlons n'est peut-être pas ce qu'il pouvait espérer, aussi lui demande-t-il de fixer ses conditions pour entrer au service des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il précise que le logement n'est pas fourni, que chacun peut se loger comme il le désire, en ville ou dans la vaste habitation qu'il a construite moyennant un loyer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouvart, 20 septembre 1867
Godin répond à Bouvart, ancien élève de l'École des arts et métiers de Châlons, qui lui demande un emploi. Godin lui demande son classement à la sortie de l'École et lui indique qu'il ne se rappelle pas la visite qu'il aurait faite à Guise. Il l'informe que la situation des affaires ne lui permet pas de l'embaucher actuellement, surtout si ses aptitudes se limitent aux travaux de la fonderie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guy, 9 octobre 1867
Godin demande à Guy s'il connaît un élève de mérite sorti l'an dernier de l'École des arts et métiers qui pourrait devenir employé dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire en vue d'occuper un emploi de direction.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 26 mai 1872
À propos de la question de la caisse de secours. Godin reproche à Loisy de se laisser entraîner dans des intrigues. Godin juge qu'il est normal que la commission administrative s'intéresse à la caisse de secours. Il lui rappelle qu'un des principes du Familistère est le respect de la volonté exprimée par les commissions instituées. Sur un litige né de l'application d'amendes : Godin suggère à Loisy de réunir la commission de la caisse de secours et la laisser voter sur le sujet. Sur un rapport de Loisy concernant les attributions des employés de l'atelier de montage. Sur un élève de l'École des arts et métiers de Châlons à la direction de l'atelier de montage. Sur la fabrication de coquilles. Godin demande à Loisy s'il obtient des mouleurs « à la machine » plus de travail que les mouleurs ordinaires et si Lefer est en état de s'occuper de ces machines.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 18 avril 1897
Réponse à la lettre de François Bernardot du 16 avril 1897 annonçant son départ du Familistère : Marie Moret regrette ce départ ; souhaite à Bernardot succès pour l'entreprise de tonnellerie qu'il va diriger [à Nantes] et où il pourra « appliquer les principes dont vous êtes l'apôtre » ; promet de lui envoyer Le Devoir à sa nouvelle adresse. Nouvelles diverses : réception par Bernardot du portrait de Godin ; « licenciement » des élèves de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne ; sur la famille de Bernardot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Mettez, 22 avril 1873
Godin demande à Mettez des renseignements complémentaires sur son numéro de sortie de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne, sa situation familiale et ses aptitudes pour savoir s'il peut prendre la direction générale des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'invite à venir discuter avec lui à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Désiré Jules Lesguillier, 5 novembre 1874
Sur le recrutement de Belodin, sorti parmi les premiers de l'École des arts et métiers de Châlons, aux appointements de 1 800 F par mois. Godin se demande si Belodin a des aptitudes pour son industrie. « Vous me dites qu'il est excellent musicien, la tendance aux beaux-arts n'est pas toujours en accord avec les besoins de l'industrie [...] ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la suite de sa candidature du 20 juin, Godin demande à Warin s'il est diplômé de l'école de Châlons, quel est son numéro de classement et quel cursus il a suivi dans sa scolarité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Colin du 7 octobre 1885. Godin consent à réserver à Colin une place dans les ateliers de fonderie de la Société du Familistère mais souhaite recevoir ses notes de sortie de l'École avant son départ pour le volontariat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Couturat et Cie de lui communiquer des renseignements sur Louis-Victor Colin, ancien élève de Châlons, employé des leurs ateliers de fonderie et dans leurs bureaux de dessin en 1885.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daubenfeld du 27 avril 1887 sollicitant un emploi. Godin veut obtenir des renseignements sur la scolarité de Daubenfeld. Il l'informe qu'il a écrit aux quinze premiers élèves de l'année 1886 de l'École des arts et métiers de Châlons, et qu'il pourrait lui offrir un emploi avec la garantie de son aptitude industrielle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Henri Beyer qu'il s'est adressé aux élèves de l'École des arts et métiers de Châlons pour trouver des jeunes gens intelligents et actifs et que la question des appointements est secondaire. Il lui propose pour ses débuts 150 F par mois mais prédit qu'il pourrait rapidement obtenir davantage. Il le prévient que l'industrie s'exerce au Familistère sous le régime de l'association des travailleurs aux bénéfices et que cette situation réclame du personnel de direction des qualités de caractère pour faciliter les rapports entre les personnes. Il lui retourne la lettre de la direction de l'École de Châlons et sa photographie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Ricard pour sa lettre du 12 mai 1887. Il l'informe qu'un élève de l'École des arts et métiers de Châlons devrait pouvoir trouver un emploi dans l'usine de Guise au mois d'octobre prochain, s'il a les qualités d'initiative, de savoir et de caractère suffisantes pour remplir une fonction de direction.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur le temps qu'il fait. Informe qu'elle a reçu une lettre d'Abel Davaud. Détaille ce qu'elle lui a répondu et ajoute qu'elle lui a fourni Le Devoir. Prévient qu'un journal a changé son titre pour prendre le même que Le Devoir et demande ce qu'il faut faire face à cette situation. Un élève de l'école du Familistère a été reçu aux examens de l'école de Châlons. Informations diverses : lecture d'un livre, activités de John [Marie-Jeanne Dallet], lettre reçue de Fabre, reprise du travail sur les manuscrits, livre et interview de Nadia [Marie Moret ?]. S'est déplacée à Lesquielles pour la journée. Description de la nature et explication de ce qu'elle a fait avant de rentrer au Familistère.
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