FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 janvier 1871
Godin informe Émile des événements de la guerre survenus à Guise. Les Prussiens ont réclamé le lundi 23 septembre une contribution de 500 000 F de la part du canton de Guise. Ils ont enlevé trois otages – Delorme, Devillers et Azambre – et réquisitionné 8 chevaux, dont les deux de Godin. Ils ont laissé en échange à Godin deux chevaux tués de fatigue, dont l'un, s'il se remet, pourra peut-être servir à Émile. Mercredi, une colonne ennemie venue de Landrecies a logé à Guise. Jeudi, Godin est allé à Saint-Quentin voir ses collègues otages ; il n'a pu les faire libérer et ils ont été dirigés à Ham. Godin est obligé d'organiser l'accueil de 500 blessés transportés de Saint-Quentin, qu'il faut ensuite acheminer à Landrecies.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 14 décembre 1894
Demande de transmettre ses meilleures pensées à Devillers père et Mme Piponnier. L'informe qu'il n'y a pas de neige à Nîmes mais plutôt dans les environs. Sur les neiges éternelles en Suisse. Demande à Élise Pré de lui envoyer sa feuille de dépenses dans sa prochaine lettre. Si Élise croise Venet, qu'elle lui demande des nouvelles de la maison de Lesquielles et notamment du marronnier. Marie Moret et toute sa société de Nîmes envoient à Élise et son mari leurs meilleurs compliments.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 mai 1872
Godin a reçu la lettre du préfet de l'Aisne du 19 avril 1872 lui demandant de surseoir à l'installation du docteur Devillers en qualité de médecin de l'hospice de Guise. Il lui rappelle qu'il lui avait écrit le même jour que cette mesure aurait une fâcheuse influence sur l'administration municipale et les établissements de bienfaisance de la ville de Guise. Il regrette de n'avoir pu s'entretenir de cette question avec le préfet à Laon le lundi précédent et il lui demande d'approuver la nomination du docteur Devillers en qualité de médecin de l'hospice.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 6 juin 1872
Sur l'admission du docteur Devillers dans le service médical de l'hospice de Guise. Godin communique au préfet la délibération de la commission administrative de l'hospice. Godin explique au préfet que les mesures prises permettront aux médecins en exercice de poursuivre leur activité « sans presque s'apercevoir de la présence d'un nouveau médecin ». Godin donne l'exemple des modifications faites par la ville de Péronne dans le service des médecins de son hospice.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 14 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin revient sur son engagement à la mairie de Guise depuis 1870. Il proteste contre les conditions de sa révocation et reproduit le texte de sa lettre au préfet de l'Aisne du 10 février 1874. Godin indique à Levasseur qu'en l'absence de réponse de l'administration, il souhaite la publication de sa lettre dans le journal [Le Courrier de l'Aisne].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Turquet qu'il ne peut lui donner l'autorisation qu'il demande et qu'il ne souhaite pas être à nouveau maire de Guise. Il pense que monsieur Delorme est le plus à même d'administrer la commune et indique que monsieur Devillers, en tête de la liste, refuse toute fonction. Il annonce à Turquet qu'il en parlera avec eux dans la soirée. Il estime que Delorme et Devillers pourraient être maire et premier adjoint et que monsieur Pouillard pourrait être deuxième adjoint. Sur la pétition relative au chemin de fer de Le Cateau à Saint-Erme : Godin avertit Turquet qu'il lui a envoyé, ainsi qu'à tous ses collègues de la Chambre des députés sauf Godelle, des exemplaires de la pétition avec la carte du tracé. Il lui demande de faire signer ses collègues sur un exemplaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 17 juillet 1874. Taupier se défend d'avoir mal agi en signant des bons de pharmacie pour ses enfants à la place du responsable du comité concerné ou en intervenant dans les relations entre elles des familles du Familistère. Sur les « rossignols » du rayon de madame Allart. Sur le renvoi par Émile Godin du charcutier Soyeux et de son épouse et son remplacement par Albert Défontaine, autrefois charcutier à Paris et à Étreux, précédemment employé à l'emballage. Sur le départ de madame Lambert de la buvette et de madame Rouchy de l'épicerie.
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