Godin présente les conditions qu'il souhaite négocier avec l'Office de publicité pour la vente de son dernier livre : 33 % au lieu de 40 % du prix de vente fixé à 10 francs pour la première édition in-8°. Il demande à Eugène André de lui présenter ces conditions et d'obtenir une confirmation par écrit.

Godin demande à Toinon et Cie s'ils ont envoyé des exemplaires de son livre à Armand Le Chevalier et à mademoiselle Guillaumin. Il le presse d'envoyer des exemplaires à monsieur Borrani au 7, rue des Saints-Pères à Paris, pour l'Office de publicité à Bruxelles. Il se plaint des lenteurs de Toinon et Cie.

Godin interroge Toinon et Cie sur le brochage de son livre. Il leur demande d'en livrer 100 exemplaires chez Guillaumin et chez Le Chevalier, 50 exemplaires à Borrani pour l'Office de publicité à Bruxelles et 20 exemplaires à lui-même. Il souhaite obtenir un volume spécimen de l'édition in-18° du livre.

Godin regrette le mariage de M. Demeur qui va retarder la propagande de son livre dans la presse belge. Il s'en remet à Eugène André pour régler les affaires de l'usine de Guise : il lui conseille de revendre un vieux cheval et lui fait confiance pour l'achat d'une voiture et d'un cheval. Godin se trouve à l'établissement hydrothérapique de Bellevue pour se soigner.

Godin demande à Coulon de lui rendre le service, en raison de son état de santé, de faire insérer dans les grands journaux une offre d'emploi pour un ingénieur connaissant l'outillage d'une fonderie aux appointements de 400 F par mois. Il lui demande également de lui envoyer à Bellevue les réponses à l'annonce. L'annonce est copiée sur le folio 97v.