FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 16 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 avril 1893
Annonce du départ des gardiens de la maison de Lesquielles et du projet de déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Franceline Alavoine a trouvé un emploi de cuisinière à Courcelles (Lesquielles-Saint-Germain) où son mari est cocher. Sur la charge que représente la maison de Lesquielles pour Marie Moret mais qu'elle ne peut ni vendre ni louer. Informe qu'elle a écrit à monsieur Picot pour le déménagement. Émilie et Marie-Jeanne Dallet heureuses de rentrer prochainement à Guise, ce qui n'est pas le cas de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 20 avril 1893
Sur le départ de Lesquielles de Julien Alavoine et de son épouse Franceline pour Courcelles le 18 mai 1893. Informe qu'elle compte déménager le mobilier de la maison vers Nîmes où elle souhaite désormais passer l'hiver. La maison de Lesquielles vidée n'aura besoin que d'une surveillance générale. Arrêt de la location des jardins potagers à messieurs Caudron et Casseleux dont il faudra reboucher les ouvertures et refaire les haies.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 24 avril 1893
Sur le départ des Alavoine en mai 1893 pour la ferme de Courcelles, la remise en état des jardins Casseleux et Caudron et le déménagement des meubles de la maison de Lesquielles à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 12 juillet 1879
Marie Moret remercie Massoulard pour les statuts de la société coopérative d'Angoulême et lui donne des nouvelles du Familistère : inventaire, adoption des carnets, économat, emploi pour Jules Pascaly, rédaction des statuts. Son appartement a été vidé et une nouvelle famille s'y est installée. Elle lui demande de ses nouvelles et évoque l'enterrement de sa nièce Lilie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 17 septembre 1879
Marie Moret informe Massoulard qu'elle a fait retenir ses meubles chez Picot en attendant que sa situation soit éclaircie. Devant les difficultés rencontrées par Massoulard, Marie Moret voulait lui dire de venir mais Godin voit les choses différemment. Massoulard n'a pas le caractère qu'il faut pour l'Association du Familistère et Marie Moret l'encourage à rester [chez Laroche-Joubert] à Angoulême.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, vers le 22 octobre 1879
Marie Moret accuse réception d'un télégramme de Massoulard annonçant son retour prochain au Familistère. Marie Moret revient sur les critiques faites à Massoulard, et les relations difficiles qu'il a entretenues avec la comptabilité lorsqu'il travaillait au Familistère. Elle lui fait part qu'Auguste Fabre, qui va venir au Familistère, avait prophétisé le retour de « l'hirondelle » [Massoulard]. Elle recommande Pascaly à sa sympathie.

Mots-clés : ,

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 30 janvier 1888
Marie Moret informe Ganault qu'elle a été nommée la veille administratrice-gérante par 86 voix sur 90 votants et qu'elle doit communiquer le procès-verbal de la réunion à Aimé Flamant avec qui elle a parlé de l'inventaire. La réunion se passera dans la salle du conseil de gérance, attenante à son appartement et qui peut accueillir 10 à 12 personnes ; chacun ira déjeuner à l'extérieur pour prendre l'air. Sur l'évaluation des meubles meublants et autres objets de la succession Godin : Picot, le tapissier qui avait dressé le catafalque de Godin dans le pavillon central, évalue à 25 000 F les meubles meublants et leur contenu ; Godin avait fait assurer pour 50 000 F l'ensemble du mobilier et des objets. Elle l'informe que Tisserant recommande de ne faire aucune déclaration compromettante au cours de l'inventaire et de protester contre toute prétention contraire aux conventions testamentaires.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 21 mars 1897
Accuse réception des matières pour Le Devoir : état-civil et mouvement des assurances. Communique à Buridant trois lettres à remettre à madame Louis : l'une lui est destinée ; elle remettra les deux autres à messieurs Picot-Delorme et Bernier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 21 mars 1897
Communique à madame Louis deux lettres destinées à messieurs Picot-Delorme et Bernier, relatives à l'enlèvement de meubles de l'appartement de Marie Moret au Familistère : une chaise longue (à sortir par le 2e étage), une table de nuit et l'horloge de la cuisine. Demande à madame Louis de s'entendre avec Buridant pour permettre à messieurs Picot-Delorme et Bernier d'accéder à l'appartement. Marie Moret a rêvé de la mère de madame Louis : elle la rencontrait, lui serrait la main ; elle était toute gaie : Transmet les salutations d'Auguste Fabre et demande de transmettre ses salutations à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 31 mars 1897
Communique à madame Louis deux lettres destinées à messieurs Bernier et Picot, relatives à des meubles de l'appartement de Marie Moret au Familistère : Marie Moret accepte le prix de Bernier pour la réparation de l'horloge ; en attente du prix de Picot pour la garniture de la chaise longue pour laquelle elle ne veut pas faire de dépenses exagérées. Proposition de madame Louis de faire nettoyer les appartements de Marie Moret et d'Émilie Dallet avant leur retour : confier les rideaux de l'appartement de Marie Moret à laver à madame Tasserit et non à mademoiselle Gauchet ; demander à monsieur Pourrier de les dépendre ; le brossage des autres rideaux représente un gros travail pour lequel madame Louis devrait avoir de l'aide. Remercie la mère de madame Louis pour le mot qu'elle lui a écrit ; demande des nouvelles de Césaire Louis et de leur enfant. Transmet ses salutations à madame Roger et à Élise Pré. S'entendre avec Buridant pour la question du nettoyage de l'appartement.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 31 mars 1897
Informe Buridant qu'elle a écrit à madame Louis au sujet des meubles à faire réparer par messieurs Bernier et Picot et au sujet du nettoyage des rideaux de son appartement. L'indisposition de monsieur Rousselle donne un surcroît de travail à Buridant. Échanges avec le journal Le Devoir : La Revue des femmes russes et des femmes françaises et La Revue féministe.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 11 avril 1897
Émilie Dallet a écrit à Buridant à propos de la proposition de monsieur Tardier relative à son jardin. Diverses questions touchant au Devoir : arrêt d'abonnement de monsieur Arnal (Gard) ; renouvellement des abonnements de messieurs Pagel (Oise), Claude Ferdinand (États-Unis) et Irénée Priqueler (Haute-Saône) ; sur la circulaire et le journal annoncés par Claude Ferdinand. Sur la réception par Marie Buridant du petit poisson qui lui était destiné. Sur le mal dont souffre monsieur Rousselle. Le beau temps tarde à venir. Compliments à la famille Rousselle et à mesdames Louis, Allart et Roger. Réception de la lettre de madame Louis du 5 avril 1897 : Marie Moret s'est entendu avec monsieur Picot pour la chaise longue de son appartement. En post-scriptum : questions sur le nombre de récompenses exceptionnelles distribuées à la fête du Travail, et sur le déroulement de la fête du Travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 décembre 1875
Émile Godin a écrit à son père qu'il avait des griefs à l'encontre de Grebel et à Eugène André. Godin explique à son fils qu'il avait autorisé Grebel à faire le modèle en bois d'un produit nouveau, qu'il en avait informé Pernin mais personne d'autre. « Il me semble que je suis un petit peu directeur et que si l'on avait tant d'amour pour la vraie direction, on tiendrait un peu plus compte de mes avis qu'on le fait, et l'on n'adresserait pas aux autres des reproches que devraient m'être faits à moi-même s'il y avait lieu. » Godin reproche à Émile de se laisser emporter par la passion et de ne pas rechercher la concorde et la paix qui ramènent les choses à leurs vraies proportions. Godin explique également à son fils qu'il avait autorisé Eugène André à changer Edmond Louis et que si Pernin s'en est trouvé indisposé, c'est seulement parce qu'André a manqué de tact. Sur un litige de 20 F avec l'octroi : Godin reproche également à Émile de ne pas régler à l'amiable des affaires de minime importance. « Je veux bien que des demandes ne soient pas toujours fondées en tout point, mais nous avons de notre côté la fortune qui nous permet bien de faire des concessions à d'autres et il n'y a pas à toujours à être à cheval sur le dernier sou qui vous appartient. Ce qui est à soigner, ce sont les grands intérêts, mais il faut éviter de s'arrêter à des bagatelles dans lesquelles on perd son temps pour ne gagner qu'une fâcheuse réputation de mesquinerie. » Dans le post-scriptum, Godin évoque une lettre de Marle et lui demande si Picot a installé dans son futur cabinet de travail au Familistère la bibliothèque qu'il lui avait commandée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
0222.T.217v.jpg
Marie Moret informe Antoine Massoulard que Jean-Baptiste André Godin va répondre le jour même à sa lettre du 16 septembre 1879 et à sa dernière qui est arrivée quelques heures avant leur départ de Guise. Elle lui indique que Picot peut conserver son mobilier quelque temps encore. Elle est heureuse de savoir que Massoulard travaille avec plaisir à la traduction du discours de monsieur Stuart qu'elle lui a demandée. Dans le post-scriptum, elle l'informe qu'elle et Godin ne partiront pas de Paris avant dimanche.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0245.T.240r.jpg
Massoulard a fait valoir qu'il faut le juger pour l'avenir et non pour le passé. Godin accepte qu'il revienne au Familistère participer à l'association. Il lui indique que Picot pourra conserver ses meubles jusqu'à ce qu'il vienne emménager.

Mots-clés : ,

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_1999-09-059_0177v_H.jpg
Envoie 50 F pour les appointements d'avril 1898 de Buridant. Albert Patte, jeune homme pour qui Godin a obtenu une bourse il y a 11 ans, remplace désormais Buridant à la fonction d'économe du Familistère. Sur les ballots du Devoir : sauf indication contraire, ils continueront d'être livrés en gare. Demande d'échange du service du Devoir avec La Revue [de] statistique à étudier. Abonnement échu de madame Cavelier : lui servir gratuitement le journal désormais. La fête du Travail approchant, Marie Moret demande la liste des récompenses et le programme de la fête pour les publier dans Le Devoir. Si la liste est trop longue, en demandera une copie à Colin : « Je voudrais bien qu'elle fût longue, cela indiquerait une poussée des esprits vers des préoccupations bien essentielles au maintien de la prospérité de l'entreprise. » Transmet la demande d'Émilie Dallet pour l'entretien de son jardin et le règlement de monsieur Dréville. Prie Buridant de demander à madame Louis de faire réparer la roulette du pied du canapé du cabinet de travail de Marie Moret.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2