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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Desrousseaux frères, 9 décembre 1872
Godin demande à Desrousseaux frères des renseignements sur Rascol, leur représentant à Alger

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard de Pompéry, 26 juillet 1873
Godin demande à Édouard de Pompéry de le représenter, comme l'année précédente, à l'assemblée générale des actionnaires de la Société de colonisation du Texas. Il exprime le souhaite que soit recherché un moyen pour unir les principaux actionnaires afin de sauvegarder le reste du capital de la Société. Il lui transmet les pouvoirs de Jean et Virginie Griess-Traut. Dans le post-scriptum, il remercie Édouard de Pompéry pour l'envoi de son livre Le vrai Voltaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie : Godin demande à son fils Émile de lui communiquer les lettres de Jouin et Cie avant de leur répondre dans le cas où ils écriraient à l'usine ; il l'informe qu'il va écrire à Buenos Aires et il demande à Émile si la remise de fin d'année due à cette maison peut couvrir les frais d'emballage réalisés pour préparer l'expédition. Sur le torréfacteur : Godin est satisfait qu'il soit étudié et amélioré ; il juge qu'il a coûté cher et qu'il ne peut être vendu moins de 1 200 F. Sur le personnel : Godin juge bon qu'Émile augmente la rémunération de la caissière de l'épicerie. Sur l'acquisition de la propriété de Louis Laisné qui vaut 3 000 F ; il recommande à Émile de ne pas laisser croire qu'il souhaite l'acheter. Sur les mines d'Algérie : Godin demande à Émile de lui renvoyer la petite carte des mines de Mokta-El-Hadid afin de la faire voir à des gens d'Alger ; il avertit Émile de ne pas se précipiter à partir en Algérie, d'autant que Quaintenne ne lui a pas répondu ; il demande à Émile si Quaintenne a envoyé les échantillons de minerai promis ; Godin ne s'oppose pas à ce qu'Émile visite l'Algérie mais il considère qu'« il n'y a pas de motif à jeter 10 000 F au vent à l'avance ». Sur la fabrication de gaz avec une cornue imaginée par Émile : il explique à Émile que le fils d'un de ses amis députés est administrateur à la Compagnie parisienne de gaz et qu'on l'a invité à se renseigner auprès de leur usine sur le rendement en coke de leurs cornues et leur dépense de combustible pour la production de gaz ; Alfred Denisart avait prétendu que le gaz avait coûté moins que rien aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, et si ce n'est pas une erreur, il y aurait peut-être une grosse affaire à faire avec la Compagnie parisienne de gaz de Paris ; il demande à Émile de lui communiquer un état financier détaillé de la production de gaz de l'usine de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 2 avril 1873
Godin demande à Heutte et Cie d'envoyer 24 exemplaires in-18 de Solutions sociales à Emmanuel Vauchez, secrétaire du cercle de la Ligue de l'enseignement au 175 rue Saint-Honoré à Paris, en un paquet portant l'adresse de Jean Griess-Traut, commissionnaire à Alger.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 16 février 1873
Godin demande à Heutte et Cie ce que coûterait l'envoi de 34 volumes de Solutions sociales in-18 à Alger.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bounhour, 13 janvier 1873
Bounhour a proposé à Godin de représenter les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire dans le sud de la France, le centre de la France, l'Algérie et le nord de l'Italie. Godin explique à Bounhour qu'il devrait modifier l'organisation de ses voyageurs pour lui faire place en France, mais que sa proposition mérite d'être étudiée. Il lui demande des références et les maisons qu'il représenterait en plus de la sienne. Il lui signale qu'il a un représentant à Alger et suggère qu'il serait de son intérêt de se concentrer à Lyon dans un territoire comprenant la Suisse et les départements voisins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin et Marie Moret sont heureux d'avoir eu des nouvelles de Cadoret. Ils compatissent aux peines éprouvées par ce dernier à son arrivée à Alger.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carel, 18 novembre 1874
Sur l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin retourne à Carel les pièces réclamées dans sa lettre de la veille. Godin lui avoue qu'il n'a jusqu'ici pas cherché à se renseigner sur lui en raison des difficultés à obtenir des informations d'Alger. Il l'invite à venir le voir à Guise avant le 25 novembre, et lui demande de réaliser une étude de la comptabilité des services décrits dans deux circulaires jointes à la lettre qu'il lui envoie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rascol, 26 novembre 1872
Godin répond à la lettre de Rascol du 19 novembre 1872 : il lui demande comme il traite les affaires à Alger pour les maisons qu'il représente.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Annonce la réception du camée en parfait état mais veut le faire arranger. Souhaite offrir les médaillons à son frère et Flore Moret. Possède déjà les revues présentées à la bibliothèque. Marcel Laporte les menace depuis plusieurs jours. Piponnier a un troisième enfant. Baptême des enfants d'Émile Godin à venir. Pascaly est souffrant depuis plusieurs jours.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 13 décembre 1894
Sur la carte de Marcel Laporte, « cet ignoble personnage », désormais jointe à son dossier : madame veuve Émile Godin a dû recevoir la même. Demande à Flore Moret de remercier Élise Pré de sa part car elle a pris du retard dans sa correspondance à cause du Devoir. Sur le beau temps à Guise comme à Nîmes. Transmet les hommages de Fabre et prie Flore de la « tenir au courant de ce qui pourrait survenir encore de la part de l'animal d'Alger. »

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 22 novembre 1894
Donne des nouvelles de son séjour à Nîmes. Jeanne Dallet peint des chrysanthèmes. Sur le mauvais temps à Paris et les rhumatismes de Pascaly. Sur la réception d'une lettre « de cet animal de Marcel Laporte » envoyée d'Alger à Lesquielles-Saint-Germain : « ce malheureux détraqué » y profère des injures à l'encontre de Marie Moret ; Marie Moret compte sur l'intelligence d'Élise Pré pour ne pas lui dire où elle se trouve. Joint un télégramme à cette lettre pour que Flore Moret la prévienne si Laporte arrive à Guise. Précise qu'elle préviendra la police en cas de besoin. Joint à sa lettre une lettre d'Émilie Dallet qui lui est adressée.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Dequenne, 25 juillet 1891
Communique à François Dequenne la demande de Michel Lavira, ancien représentant de l'usine du Familistère, pour obtenir à prix réduit ou à titre gracieux une cuisinière destinée à la Bouchée de pain à Alger.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 29 février 1888
Marie Moret annonce à Ganault qu'elle envoie à Offroy et Cie des coupons de titres de rente pour en encaisser le montant et en créditer le compte de Godin. Sur la modification des statuts de l'Association du Familistère : Tisserant doit lui confirmer la légitimité de la modification de l'article relatif au titre d'associé ; elle le prévient qu'elle lui soumettra ainsi qu'à Tisserant le projet de lettre qu'elle va écrire à Vavasseur sur ce sujet. Elle l'informe que Bernardot est allé à Vervins et a vu Falaize à propos de la succession de Godin : elle a écrit à Falaize que seul Ganault, en qualité d'exécuteur testamentaire, a le pouvoir de lui donner des instructions sur la succession de Godin. Elle demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 25 février 1888 relative au mausolée de Godin. Sur le chantage exercé par Marcel Laporte : Marie Moret raconte à Ganault que Marcel Laporte, fils naturel prétendu d'Émile Godin, a demandé si une part lui avait été réservée dans le testament de Godin, qu'il est venu à Guise lui apporter une lettre de menaces en vue d'obtenir quelque chose ainsi qu'un article de lui contre Godin refusé par le Nouvelliste et qu'il a écrit une nouvelle lettre de menaces à son retour à Alger ; elle demande à Ganault comment empêcher le chantage exercé par Laporte ; elle rapporte que la veuve d'Émile Godin aurait proposé 1 000 ou 2 000 F à Laporte pour récupérer des lettres par lesquelles Émile lui aurait promis 10 000 F ; elle précise que Laporte est employé à la compagnie du chemin de fer Paris, Lyon, Méditerranée et se demande s'il faut saisir le procureur de la République ou avertir son employeur. Elle transmet à Ganault le souvenir d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.
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