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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélémy Godin, 14 août 1847
Godin envoie à son frère 50 F et lui communique le tarif approximatif des transports de marchandises à destination de plusieurs villes. Il l'informe que l'expertise [dans l'affaire de contrefaçon Degon] a eu lieu la veille, mais que le procès-verbal des experts n'est pas encore connu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Desfontaines, 13 septembre 1849
Godin remet à Desfontaines une facture de 68 F pour la cuisinière commandée. Il lui indique qu'il est étranger aux opérations de la maison Allez et que c'est avec elle qu'il faut débattre des remises. Il lui explique qu'il ne peut consentir une remise pour un seul modèle mais est prêt à lui en accorder une à l'occasion d'une commande de quelque importance, et fait valoir que le succès de la vente de ses cuisinières à Arras ne permet pas de douter qu'elles seront appréciées à Douai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 14 avril 1861
Godin informe Collin qu'il a envoyé trois exemplaires du mémoire sur le chemin de fer à monsieur Dumesnil (?). Il évoque un voyage de Collin à Douai relatif au tracé du chemin de fer. Il explique à Collin que la Chambre de commerce de Lille est favorable à un tracé direct sur Valenciennes et Landrecies et considère que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord sert ses vues. Il relate son voyage à Dunkerque où il a assisté à une séance de la Chambre de commerce sur le sujet. Il indique qu'il espère que celle-ci n'adoptera la résolution de la Chambre de commerce de Lille « qu'autant que la Cie du nord s'engagerait à exécuter le chemin de Landrecies jusqu'à Lille » et que dans le cas contraire, elle donnera sa préférence au tracé par Guise. Godin résume la situation en exposant qu'il existe deux partis dans le Nord : celui favorable au tracé direct de Lille à Mézières et l'autre, composé de Cambrai, Douai et des charbonnages du Pas-de-Calais et du Nord, favorable au tracé par Guise. Il ajoute que « notre président » est bon juge pour déterminer le moment opportun de se rendre à Paris, et que Wallerand va stimuler la commission à Cambrai. Il exprime finalement son désir de voir la fin de l'affaire pour ne plus avoir à s'en occuper.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Boittelle, 14 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer dans le Nord et l'Aisne. De retour de Paris, Godin explique à Boittelle qu'il est urgent que les représentants des intérêts houillers du Nord et du Pas-de-Calais se concertent pour adresser au gouvernement leurs griefs sur les prétentions de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il juge que les députés du Nord (« vos députés ») croient utile de soutenir le tracé de la Compagnie du Nord plutôt que celui par Guise dans l'espoir d'obtenir le prolongement jusqu'à Lille. Godin évoque ses rendez-vous manqués à Paris avec Boittelle, chez lui ou à l'hôtel de Godin, et il relate la séance de la veille du Conseil des ponts et chaussées ajournée du fait du député Godard-Desmarest. Godin incite Boittelle à mettre à profit ce délai pour faire ses observations au Conseil des ministres ou directement à l'Empereur : « L'Empereur s'est déjà occupé de la question et je pense qu'il est de la plus grande utilité de donner des armes au gouvernement pour lutter contre la puissance de Rothschild. Et les armes du gouvernement c'est la volonté des populations. » Godin pense que le gouvernement est favorable au tracé par Guise et que le soutien des houillères que Boittelle représente peut lui être utile pour s'opposer à la volonté de Rothschild. Il rappelle que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord serait au seul bénéfice des charbonnages belges au détriment des intérêts locaux et des houillères françaises. Godin analyse le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et conclut qu'il serait préjudiciable à l'industrie houillère dans son ensemble.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lagache, 6 novembre 1861
Godin annonce à Lagache que son jardinier monsieur Stevens va se rendre chez lui et choisir des plantes et des arbustes. Il lui demande de lui faire, pour cette première affaire, les meilleures conditions possible et lui précise qu'il réglera sa facture par un effet sur Paris. Il lui conseille de s'adresser à Desfontaines, marchand de fers à Douai ou à Royaux et Beghin à Leforest pour avoir des informations sur l'expédition. Dans le post-scriptum, il précise que le montant des achats sera d'environ 800 F.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 23 mars 1862
Godin demande à Oudin-Leclère de lui adresser l'original d'une assignation délivrée à Dubrulle le 2 septembre 1861 par Delgrange, huissier à Douai.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Talon, 23 mars 1862
Godin informe l'avocat Talon qu'il lui adressera le lendemain toutes les pièces du compte Dubrulle et que l'huissier Delgrange, qui a signifié à Dubrulle l'assignation du 2 septembre 1861, pourra lui remettre l'original de celle-ci.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delgrange, 23 mars 1862
Godin demande à Delgrange de remettre l'original de l'assignation faite au nom de Godin à Dubrulle-Chevalier à l'avocat Talon, s'il ne l'a pas envoyé à Oudin-Leclère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin informe Ganault que la commission d'étude du projet d'école normale de Laon est allée visiter l'école normale en construction à Douai et a été désappointée : l'architecture est splendide mais tout y est arriéré du point de vue de l'enseignement. Il lui annonce que la commission estime à la suite de cette visite que le mieux serait de confier la construction de l'école normale à un architecte du département, et qu'elle envisage de demander à deux architectes, Georges Ermant et Cherrier de Saint-Quentin, de faire des études provisoires. Godin demande à Ganault ce qu'il pense de Georges Ermant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin informe le préfet que lui-même, Malézieux, Soye, Leroux, Maréchal, Ringuier et Fischer, membres de la commission d'étude du projet d'école normale de Laon, sont allés visiter l'école normale en construction à Douai, et qu'ils ont été accueillis par le recteur de l'académie, l'inspecteur d'académie de Lille, le directeur de l'école normale et l'architecte. Il indique que l'architecture est en briques rouges et blanches. Il fait part des réserves de la commission sur l'exiguïté des salles, sur le manque de rigidité des planchers des dortoirs en raison de la grande portée des poutres sans colonnes de soutien, sur la trop grande surface des fenêtres des dortoirs, cause de courants d'air, et sur l'inadéquation des moyens de ventilation. Il explique que la commission estime que l'école normale de Douai n'est pas un modèle pour le département de l'Aisne et qu'elle est partisane de demander à l'architecte Georges Ermant de nouvelles études. Godin interroge le préfet sur les crédits nécessaires à ces études et sur la tenue prochaine d'une réunion de la commission pour faire le choix d'un architecte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin pense qu'en raison de la dissolution de la Chambre, Henri Martin, sénateur, ne pourra pas assister à la réunion du vendredi suivant de la commission d'étude du projet d'école normale. Il lui adresse la copie du rapport qu'il a rédigé sur la visite de la commission de l'école normale de Douai. Il l'informe que le point important de la prochaine réunion de la commission sera le choix de l'architecte. Entre Cherrier de Saint-Quentin et Georges Ermant, Godin exprime sa préférence pour ce dernier. Godin demande à Henri Martin de s'entretenir de ce sujet avec Malézieux, Soye, Turquet et Ganault avant la réunion.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Larue les noms de personnes susceptibles de remplir la fonction d'expert dans son affaire de licitation : Meurant, architecte à Douai et président de la Société des architectes du Nord, de Molins, directeur de forges, et de Boisset, ingénieur directeur des mines de l'Escarpelle à Douai, et Grosrenaud, ingénieur à Saint-Étienne, qu'il doit écarter en raison de la distance qui le sépare du tribunal. Godin pense que Meurant remplacerait utilement l'expert décédé. Il demande à Larue s'il est possible qu'il rencontre le président Delattre à Vervins le samedi suivant.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaiterait savoir si la bibliothèque de Clermont-Ferrand, à qui le service du Devoir est régulièrement et gratuitement adressé, est en mesure de collectionner et de relier le journal, ainsi que la date du premier numéro de la collection en leur possession.
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