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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 décembre 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin souhaite que les termes de l'expertise, incomplète et peu véridique, soient éclaircis. Il estime que le résumé additionnel de l'expertise est entaché de nullité pour diverses raisons, et notamment parce qu'il méconnaît ce qu'est une invention : si les experts pensent que toutes les cuisinières se valent parce qu'elles ont des portes, des fours et des couvercles, alors il faudrait considérer que le palais de justice de Vervins est pareil à la première maison venue car il a des portes et des fenêtres, et qu'une machine à moissonner ne serait pas une invention car elle aurait des roues et des engrenages comme toute machine. Godin croit que le rapport d'expertise fait à Guise peut servir à établir la contrefaçon. Il pense qu'il faut expliquer ce qu'est une invention brevetable et pourquoi la loi protège l'invention, et « qu'on brevète valablement tous les ans plus de 20 genres de fourneaux, qu'on brevète de même des serrures, des couvercles de pipes, des canes de parapluies, des chapeaux, des cols cravates, des allumettes, etc., etc. pourvu qu'il y ait dans leur ensemble ou dans la manière de les faire l'objet d'une conception nouvelle utile à la société. » Il décrit en détail les innovations de ses brevets de 1841, 1844 et 1846 reconnues comme telles par l'expertise et considère que la ressemblance entière des appareils de Degon, que constate l'expertise, vaut contrefaçon. Il ajoute que les cuisinières en tôle de Minich et Nozal présentées par Degon n'ont rien à voir avec les siennes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Meunier-Buissart, 4 janvier 1861
Godin demande des renseignements sur la réputation et le caractère de Delachevardière, qui est l'un des deux hommes qui ont essayé d'éclairer la ville de Fourmies au gaz, dont l'un se nomme Delachevardière, qui a quitté l'affaire en 1853 et qui est candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Mahy-Piette, 4 janvier 1861
Godin demande des renseignements sur la réputation et le caractère de Delachevardière, qui est l'un des deux hommes qui ont, à partir de 1849, essayé d'éclairer la ville de Fourmies au gaz, dont l'un se nomme Delachevardière, qui a quitté l'affaire en 1853 et qui est candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Mahy-Piette, 30 janvier 1861
Godin remercie Mahy-Piette pour les renseignements qu'il lui a fournis dans sa lettre du 9 janvier 1861. Godin lui demande de lui communiquer sous forme de tableau des informations sur les établissements industriels de Fourmies : force des machines à vapeur, nombre de broches et de métiers, nombre d'ouvriers, nature de la production.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Collin, Denis et fils, 31 janvier 1861
Sur le tracé du chemin de fer par Guise et sur l'industrie à Fourmies. Godin demande à Collin ce qui se fait à Aubenton au sujet du chemin de fer. Il lui rappelle que Collin lui avait promis de lui fournir une statistique de l'industrie à Fourmies, dont il a besoin pour faire imprimer une étude comparée du tracé du chemin de fer par Guise et la vallée de l'Oise avec le tracé de Landrecies à Bazuel par Le Nouvion, La Capelle et Hirson. Godin précise que la zone de Guise comprend 70 199 habitants et que celle du Nouvion comprend 49 026 habitants, que les communes situées à moins de deux kilomètres du tracé par Guise sont au nombre de 26 peuplées de 29 000 habitants tandis que celles situées sur le tracé par le Nouvion sont au nombre de 9 peuplées de 12 000 habitants, qu'il y a 600 habitants par kilomètre sur le tracé de Guise contre 300 habitants par le tracé du Nouvion, et que la meunerie le long du tracé du Nouvion est trois fois moins importante que le long du tracé de Guise. Il ajoute que l'étude du tracé par Landrecies n'a pas été faite et que le tracé est presque en ligne droite de Landrecies à Hirson en passant par Le Nouvion et La Capelle. Il conclut en félicitant Collin de sa nomination dans la commission d'enquête.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 3 février 1861
Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin remercie Collin pour sa lettre du 1er février 1861 qui contient des informations complètes sur l'industrie à Fourmies et il accuse réception de la liste des moulins du dessus d'Origny, dont il ne peut se servir dans l'étude restreinte qu'il réalise : « Pour nous, le rôle qui nous convient est de démontrer que le seul train possible est celui par Guise, ce qui fait ensuite un puissant motif d'adopter la ligne par Aubenton. » Il informe Collin qu'une réunion importante a eu lieu à Guise la veille, au cours de laquelle a été prise la résolution de faire circuler dans toutes les communes son étude des tracés des lignes de chemin de fer et de recueillir des signatures sur une pétition. Il annonce qu'une commission de 11 membres choisis dans l'assemblée se réunira le 7 février pour examiner la marche à suivre. Il communique à Collin un croquis des tracés des lignes de chemin de fer. Dans le post-scriptum, Godin exprime le désir de recevoir les tracés des lignes de chemin de fer par Aubenton et Signy-le-Petit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 15 novembre 1875
Godin explique à Eugène André que Letème a quitté l'atelier de fonte malléable parce qu'il avait des exigences salariales trop élevées et qu'il a installé à son compte un atelier de fonte malléable à Fourmies. Godin estime que c'est un homme de peu de consistance mais n'empêche pas Eugène André de l'employer à une direction d'atelier. Il l'informe qu'il a demandé à Alphonse Grebel de cuivrer des petits objets pour faire des expériences. Sur le travail sur des chandeliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'acquisition d'un terrain à La Capelle pour réaliser un sondage. Godin informe Mambour que les terrains qu'il lui a signalés pour réaliser un sondage ne lui conviennent pas car ils sont trop proches de La Capelle. Godin lui indique qu'il lui faudrait un terrain situé à 1 000 ou 1 500 m de La Capelle sur le chemin de Fourmies, sur la route nationale ou sur le chemin de Papleux.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'acquisition d'un terrain à La Capelle pour réaliser un sondage. Mambour propose à Godin un terrain de monsieur Camus situé sur la route de Fourmies ; Godin indique à Mambour qu'il aimerait bien avoir le choix avec un terrain situé route d'Avesnes ou route de Papleux.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Henri de Hulster que le terrain qu'il a choisi pour réaliser un sondage se trouve près de La Capelle. Il lui indique qu'on se rend à La Capelle par le chemin de fer d'Avesnes jusque Fourmies ou depuis Avesnes par la route nationale. Godin souhaite que le contrat qui le lie à Henri de Hulster soit signé avant que ce dernier se déplace. Il lui demande s'il peut se contenter d'un terrain de 8 ares.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin atteste que Desse est entré en relations avec lui à la suite d'une offre d'emploi parue dans Le Petit journal et il assure Desse qu'aucune personne de Fourmies n'est intervenue auprès de lui à ce sujet et qu'il ne connaît pas monsieur Delatte.

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