FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 13 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 23 décembre 1847
Godin envoie 103 F, auxquels s'ajoutent 14 F versés par Véran Sabran à La Démocratie pacifique ; il renouvelle plusieurs abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et réalise des versements à la rente de l'École sociétaire en son nom et aux noms de Gosse, dont la nouvelle adresse est au Petit-Fayt près d'Avesnes dans le Nord, et de Véran Sabran. Godin communique l'adresse de son dépositaire à Paris à l'intention de Véran Sabran.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 14 mars 1848
Godin informe ses correspondants qu'il vient d'écrire à Glatigny et Godon de Laon et à Curé de Fagniers pour leur proposer de s'unir afin de s'adjoindre un journal, par exemple Le Courrier de Saint-Quentin, pour diffuser leurs idées auprès des travailleurs en distribuant gratuitement le journal dans les auberges et les lieux publics. Godin affirme qu'ils ne pourront obtenir une majorité qu'avec le concours des travailleurs, et leur annonce qu'il se rendra le lendemain avec Véran Sabran pour mettre à exécution ce projet. Il demande quels rapports ses correspondants ont avec monsieur Dufour et s'ils connaissent des personnes pouvant l'aider. Il leur indique qu'il se trouvera au Café français. Godin envoie 8 F pour l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Gosse de Petit-Fayt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 décembre 1847
Godin envoie 103 F, auxquels s'ajoutent 14 F versés par Véran Sabran, à La Démocratie pacifique ; il renouvelle plusieurs abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et réalise des versements à la rente de l'École sociétaire en son nom et aux noms de Gosse, dont la nouvelle adresse est au Petit-Fayt près d'Avesnes dans le Nord, et de Véran Sabran. Godin communique l'adresse de son dépositaire à Paris à l'intention de Véran Sabran.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérants de La Démocratie pacifique, 14 mars 1848
Godin informe ses correspondants qu'il vient d'écrire à Glatigny et Godon de Laon et à Curé de Fargniers pour leur proposer de s'unir afin de s'adjoindre un journal, par exemple Le Courrier de Saint-Quentin, pour diffuser leurs idées auprès des travailleurs en distribuant gratuitement le journal dans les auberges et les lieux publics. Godin affirme qu'ils ne pourront obtenir une majorité qu'avec le concours des travailleurs, et leur annonce qu'il se rendra le lendemain avec Adolphe Sabran pour mettre à exécution ce projet. Il demande quels rapports ses correspondants ont avec monsieur Dufour et s'ils connaissent des personnes pouvant l'aider. Il leur indique qu'il se trouvera au Café français. Godin envoie 8 F pour l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Gosse de Petit-Fayt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Manesse, 13 avril 1848
Godin indique à son cousin qu'il n'a pas retrouvé, pour y répondre, la lettre que celui-ci lui a écrite l'hiver dernier. Il l'avise que la saison est favorable pour le retour des marchandises qui lui restent, par le moyen d'un voiturier passant chaque semaine au Quesnoy en se rendant à Valenciennes. En raison de la rareté du numéraire, Godin demande à son cousin quelle somme il tient à sa disposition pour pouvoir en faire l'encaissement. Godin évoque l'enlèvement de marchandises chez son cousin par Culot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Manesse, 10 mai 1848
Godin informe son cousin Manesse qu'il revient du Fayt, où il espérait le voir, et lui communique l'état de ses affaires avec lui : Manesse a vendu des appareils à monsieur Culot pour 235,50 F et conserve de la marchandise invendue pour 418 F ; il a vendu en tout 2 274 F et il lui reste à verser 673 F en espèces à Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 22 juin 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin explique à Allyre Bureau qu'à l'occasion de son dernier voyage à Paris en février 1848, il avait confié à Jean-Augustin Barral le rapport d'une contre-expertise à examiner avec monsieur Minich, caminologue, dans le cadre d'un procès en contrefaçon intenté deux ans plus tôt, qu'il a écrit à Barral le 3 juin 1848, que sa lettre est restée sans réponse, et qu'il doit récupérer les pièces confiées à Barral car il est maintenant pressé par les experts de payer les frais d'expertise. Godin demande à Bureau de demander à Barral de lui renvoyer rapidement ces pièces. Godin demande à Bureau de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange qu'il paiera « à la prochaine réunion du congrès ».

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 12 novembre 1855
Esther Lemaire demande à Émile de lui envoyer les chansons qu'il évoquait dans sa lettre du 3 novembre 1855. Elle l'informe que Godin est à Bruxelles depuis jeudi et qu'elle ira à Esquéhéries voir la grand-mère Lemaire qu'au retour de celui-ci. Elle transmet ses compliments à Léonce Wateau, dont elle a vu le père à Guise. Elle lui donne des nouvelles de ses animaux, en particulier de son lièvre. Elle le félicite pour ses bons résultats scolaires. Elle évoque le mur d'Émile et des semailles de luzerne. Elle lui indique qu'elle n'a pas eu le temps de lire son feuilleton depuis que Fanie est guérie car elle a reçu des parents du Fayt et de Frasnoy. Elle l'informe que la fille du cousin Gosse est en pension à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 3 novembre 1856
Sur l'achat d'un cheval par Godin. Godin demande à Gosse si le cheval dont il lui a parlé est digne d'être acheté avant de se déplacer pour le voir.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bevenot, 9 septembre 1859
Sur la résiliation du bail de location de la maison de la belle-mère de Godin au Petit-Fayt. À la demande de sa belle-mère, Godin demande à Bevenot s'il consent à résilier amiablement le bail qu'avait contracté son fils défunt. Godin explique que sa belle-mère veut récupérer sa propriété qui n'est plus exploitée et qu'elle est fondée en cela à saisir la justice.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Lemaire, 26 octobre 1859
Godin explique à sa belle-mère que Jacques Collery, venu à Guise, a accepté les conditions qu'il lui avait faites au Petit-Fayt pour la vente de sa maison : prix de vente de 12 000 F et location de terrains pour 1 650 F par an. Godin précise les conditions d'amendement des sols : demi-fumure tous les 3 ans, l'année des céréales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 11 novembre 1859
Godin répond tardivement à la lettre de Gosse, car il se trouvait à Bruxelles. Il le prie de remettre à Jacques Collery une lettre l'autorisant à entrer en possession de la maison vendue par sa belle-mère

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Collery, 11 novembre 1859
Godin autorise Jacques Collery à entrer en possession de la maison et du terrain enclos vendus par sa belle-mère au prix de 12 000 F et à jouir des terrains loués pour 1 650 F. Il promet de venir prochainement au Fayt pour réaliser la vente devant notaire.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2