FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 3 résultats dans 19402 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Cantagrel, 17 août 1864
Jean-Baptiste André Godin évoque sa rencontre à Bruxelles avec son frère François Cantagrel, qui lui a parlé d'une lettre de son correspondant relative à des cheminées en fonte qu'il a vues chez lui rue de la Coutellerie à Paris. Godin sollicite l'avis de Joseph Cantagrel sur ce modèle de cheminée. Il lui explique combien il est difficile de commercialiser un produit nouveau et prévient une de ses objections dont son frère lui a déjà fait part. Il établit un questionnaire sur les fonctionnalités et la commercialisation de la cheminée qu'il soumet à Joseph Cantagrel. Il lui demande en outre s'il peut lui communiquer les plans et coupes des maçonneries des cheminées telles qu'elles se font à Paris, et lui donner les indications d'installation de poêles de salle à manger.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 20 janvier 1866
Godin rappelle à Cantagrel sa lettre du 9 janvier 1866 au sujet de Maurice La Châtre. Il lui annonce que Jacquet lui intente un procès et lui réclame 800 000 F. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur une lettre de Vigerie demandant à Godin s'il veut s'attacher ses services, que convoitent les partisans d'Esther Lemaire, ce qui ressemble selon Godin à une tentative de chantage ; il demande à Cantagrel d'étudier Vigerie quand il le verra. Sur le bail du magasin de la rue de la Coutellerie à la suite de la faillite de Milloche. Godin demande à Cantagrel s'il a renoncé à son article pour la revue de César Daly et s'il attend pour cela la photographie du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 mai 1866
Sur l'affaire Jacquet. À propos de l'usage d'émaux ou de vernis au plomb à soumettre par Brullé à Tardieu : Godin voudrait que Tardieu déclare que ses émaux ne sont pas plus dangereux que le « vernis plombeux » en usage dans la vaisselle commune. Il précise que la question est de savoir s'il est plus dangereux de faire un rôti dans un appareil qu'il verra chez Cantagrel, rue de la Coutellerie, que de faire un pot-au-feu ou un ragoût dans un vase en terre commune du commerce. Godin explique qu'il veut faire voir l'appareil à Tardieu. Il transmet ses sentiments d'estime à madame Brullé.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2