FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Constant Cavenne, 7 septembre 1846
À propos d'une séance de magnétisme administrée à madame Avet le 6 septembre : observations sur la méthode pour réduire les souffrances de la patiente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 3 avril [1846]
Sur des cheveux de Godin. Godin indique à Véran Sabran que monsieur Harel demeure, lui semble-t-il, au 26, rue Boucherat à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Constant Cavenne, 7 [septembre 1846]
À propos d'une séance de magnétisme administrée [par Godin ?] à madame Avet le 6 septembre. Observations sur la méthode pour réduire les souffrances de la patiente : « Si j'avais à recommencer, j'agirais d'abord sur l'esprit avant que d'agir sur le corps en magnétisant au moins pendant cinq minutes du regard. Je lui prendrais ensuite les mains cinq minutes, je lui poserais mes mains cinq minutes sur la tête, cinq minutes sur les épaules, ayant une montre pendue en face de moi pour me rendre compte du temps et des différentes phases de la séance afin de modifier dans la séance suivante suivant mes remarques. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 6 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin décrit à Arthur de Bonnard les effets du médicament que celui-ci lui a envoyé et qu'il a ingéré le samedi 1er mars 1856 : depuis le 2 mars, Godin ressent de fortes douleurs dans les jambes puis à la tête, ainsi qu'au dos et aux reins. Il précise que dans la nuit du 4 mars, il n'a trouvé le sommeil que grâce au magnétisme exercé par sa femme sur lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 10 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin répond à Arthur de Bonnard, qui lui a adressé le 9 mars un nouveau médicament en remplacement du précédent, qu'il y a méprise, car il a déjà pris les 8 doses du premier médicament. Godin explique à de Bonnard qu'il souffre moins depuis le jour même et pense que ses douleurs proviennent d'une affection du système nerveux « qui me constitue presque tout le corps à l'état de crampe permanente ». Il demande à Bonnard de lui préciser la nature physique et chimique des remèdes homéopathiques dont les faibles doses ont produit de si grands effets ; et de lui faire part des effets qu'il attend du nouveau médicament. Godin ajoute que la santé de sa femme est bonne et demande enfin s'il n'y a pas d'inconvénient à suivre le traitement par correspondance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 19 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin rend compte à Arthur Bonnard de l'évolution de son état de santé : il a ressenti des douleurs dans la poitrine qui étaient cause d'une toux ; les douleurs dans les jambes et dans la poitrine s'estompent, mais l'irritation se porte sur les bronches. Il demande à de Bonnard de le prévenir des effets des médicaments qu'il prescrit. Dans le post-scriptum, Godin confirme à de Bonnard que celui-ci lui a prescrit un régime alimentaire, mais il demande si l'homéopathie juge inutile de prendre d'autres précautions hygiéniques que celles concernant l'alimentation. Dans le texte copié sur le folio 8r, Godin explique que le travail de rédaction [du courrier] a la propriété d'exciter son affection de poitrine, mais n'en est pas la cause ; il ajoute que le brouillard semble le faire souffrir et qu'il est dans un état de plénitude après ses repas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 19 mars 1856
À propos d'une maison d'habitation à Guise pour Jacques-Nicolas Moret. Godin annonce à son cousin qu'il vient de visiter une maison convenable près de son établissement de Guise, dont le loyer est de 300 F, qui comprend 5 pièces habitables, un grenier, une cave, une pompe, un beau petit jardin donnant sur la rivière. Il lui demande de lui faire savoir quand sa liquidation se réalisera pour pouvoir réserver la maison si c'est encore possible. Il informe Jacques-Nicolas Moret qu'en raison de son mauvais état de santé, il n'a pas répondu à Jules et Charles qui lui demandaient un emploi, qu'il ne peut leur offrir, et il le prie de l'excuser auprès d'eux. Il ajoute qu'il est encore d'une santé fragile et attend le retour du printemps pour se rétablir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 31 mars 1856
Godin informe Arthur de Bonnard sur l'évolution de son état de santé après avoir pris les médicaments envoyés par ce dernier : les douleurs nerveuses aux jambes et aux bras ont diminué, mais sont toujours présentes ; les hémorroïdes le font toujours souffrir ; sa poitrine est toujours irritée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 12 avril 1856
Godin informe Arthur de Bonnard de l'évolution de son état de santé : les douleurs de ses membres ont disparu, mais n'ont pas retrouvé toute leur agilité ; avec le retour du brouillard, la toux sèche, la fatigue de poitrine et les douleurs sous les omoplates ont réapparu. Il demande à Arthur de Bonnard si la meilleure médication ne serait pas « un séjour prolongé dans un pays dont l'état atmosphérique serait différent ». Il ajoute sous sa signature que les sécrétions de la bouche ont une saveur saline depuis quelques jours et que les hémorroïdes sont toujours sensibles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Diguit, 1er septembre 1856
Godin informe Diguit qu'à la suite de sa consultation avec madame Diguit le 16 août 1856, sa santé s'est améliorée, mais une glande est apparue sous l'aisselle gauche, douloureuse, qu'il ne parvient pas à dissiper par des cataplasmes. Il demande à Diguit si madame Diguit consentirait à correspondre avec lui en attendant la prochaine consultation à Paris.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 23 juillet 1867
À propos d'une médaille et de plaques émaillées à présenter aux visiteurs de l'Exposition universelle. Émile Godin informe Cantagrel que son père se porte mieux grâce au beau temps et à un traitement hydrothérapique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 23 octobre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos de la disparition de pièces du dossier du procès. Godin pense que Jules Favre plaidera au procès à Metz. Il annonce à Cantagrel que son fils Émile est à Paris. Il l'informe que sa santé se rétablit et qu'il est heureux que celle de Cantagrel se soit améliorée sous l'influence de l'eau froide. À propos d'une invention de Cantagrel relative au chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin tempère les éloges enthousiastes de Marie Howland à l'égard de sa personne. Sur les difficultés du perfectionnement de l'humanité. Sur le livre de Marie Howland et l'appréciation du Familistère par les fouriéristes : « Ne pouvant lire votre livre, peut-être ai-je été conduit par certains passages traduits isolément à subir l'effet de certaines impressions nées de la façon dont le Familistère est apprécié par les disciples de Fourier qui ont persisté à croire le maître infaillible et à considérer sa théorie comme étant la science sociale. Quoiqu'ils revendiquent le Familistère comme une suite des travaux du maître et de son école, ce que je ne veux en aucune façon contester, il n'est pas moins vrai qu'au demeurant, on me considère un peu comme un hérétique pour ne pas avoir admis la théorie des passions et n'avoir pas réalisé le travail attrayant par groupes et séries. » Godin explique que le dévouement et le sacrifice, et non l'attrait et le bonheur individuel, sont les principes de son action. Il fait la critique de la théorie fouriériste. Sur la vie d'outre-tombe : Godin affirme qu'il a dépassé Fourier dans la connaissance des rapports entre l'existence matérielle et la vie d'outre-tombe. Sur les résistances au Familistère et à l'Association : il annonce à Marie Howland que Marie Moret va lui envoyer la copie d'une transcription de sa dernière conférence, et qu'elle pourra ainsi comprendre qu'il peut être sujet à la mélancolie et au découragement. Sur la maladie d'Edward Howland : Godin recommande à Marie Howland d'imposer les mains sur son époux pour hâter sa guérison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Boëns a écrit le 17 octobre à Godin à propos d'un livre sur l'hydromagnétisme. Godin lui répond qu'il ne peut lui donner de conseils à ce sujet.
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