FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 5 résultats dans 19495 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 15 février 1873
Sur les faits relatifs à Loisy. Sur la caisse de retraite et des orphelins : à propos des discussions sur les 2 % du montant des salaires versés par Godin ; sur un secours à attribuer à Anceau fils et l'usage des fonds de la caisse. Sur une demande de prolongation d'un mois de travail par Chimot : Godin craint qu'il en profite pour continuer à travailler contre les intérêts de l'usine et il exige qu'il se tienne au bureau de dessin et pas ailleurs dans l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Oyon, 11 mars 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin informe Auguste Oyon que les plaidoiries des avocats ont duré trois jours et que le procureur impérial aura la parole le mardi prochain. Godin a bon espoir « et si les juges pouvaient voir le Familistère du même œil que vous, mon procès serait gagné et terminé en toute assurance ». Il lui indique que Cantagrel l'emmènera voir Barrier qui va éditer sa brochure. Godin n'a pas d'observations à faire à sa brochure. Il lui explique que Jules Favre a émis devant la cour l'opinion que contient sa lettre au sujet du rapport de Victor Duruy [sur l'enseignement primaire obligatoire et gratuit] : le Familistère a réalisé son programme et ses vœux. Godin veut presser la publication de la brochure et lui indique qu'il s'entendra avec Barrier pour le paiement des frais qu'elle entraîne. Dans le post-scriptum, Godin demande à Oyon s'il doit lui retourner à Paris les polices d'assurance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Oyon, 4 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin explique son silence par ses déboires judiciaires. Il remercie Oyon de s'être fait le champion du Familistère à la rue des Saints-Pères et voudrait connaître les objections qu'on a pu faire à sa fondation. Il l'informe qu'on a parlé de sa brochure à l'Empereur, qu'on lui a demandé des notes pour le colonel Favé pour que celui-ci puisse éventuellement satisfaire la curiosité de l'Empereur. Il évoque la propagande du Familistère. Il demande à Oyon le montant de l'assurance du « second Familistère ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Blanzy et Cie, 9 décembre 1866
Godin répond à la lettre du 8 décembre de Blanzy et Cie. Godin communique à Blanzy et Cie les statuts de la caisse de secours de l'usine du Familistère. Il précise que 12 à 15 000 F sont distribués chaque année par la caisse sans réclamation notable et que les mouvements de la caisse sont affichés dans l'établissement. Il leur rappelle que le dépôt de Paris de Blanzy et Cie lui avait autrefois refusé des plumes pour les besoins des écoles du Familistère et il leur en demande la raison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Roberts, 11 août 1866
Godin remercie Roberts pour les ouvrages qu'il lui a expédiés et pour l'envoi accompagnant sa lettre du 3 août. Godin fait une brève description des logements, des magasins, de la crèche et des écoles du Familistère, et il donne des chiffres de la rentabilité du capital qui y est investi. Il lui indique le but du Familistère, qui est de faire des locataires les actionnaires de leur propre maison. Il évoque les conférences données à la population et le conseil composé de 12 membres.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2