Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 1449 résultats dans 1449 notices du site.

Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
224 bis 8 juillet 1996 Sauver ou changer.JPG
Ce numéro 224Bis a été lu aux Archives Nationales de Guinée, lors des recherches sur les numéros manquants. La numérotation était fautive, mais la date du 8 juillet 1996 l'insère entre le le 224 du 1er Juillet et le 225 du 15 juillet 1996.

Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Porte le N° 233 du 9 sept, comme le suivant : Le choc, les barbares et la justice, auquel nous avons attribué le N°234 du 16 septembre 1996, de façon arbitraire.

Auteur(s) : Sassine, Williams
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Porte le N° 233 du 9 septembre 1996, comme "l'alibi ou la Libye.  le N° 234 a été attribué arbitrairement  pour des motifs de classement.

Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Auteur(s) : Sassine, Williams
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Pas de scan pour cette Chronique saisie sur place, à Conakry.

Auteur(s) : Sassine, Williams
271. 2 juin 1997 La pauvreté n'est pas un vice.JPG

Auteur(s) : Sassine, Williams
Espace Afrique-Caraïbe
Pas de Sassine

Pas de texte ni de photocopie : un numéro du Lynx à retrouver

Auteur(s) : Sassine, Williams : absent
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Auteur(s) : Sévérine Kodjo Grandvaux
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Le Monde 26/04/2017 : la douleur indocile de Williams Sassine, l'insurgé de Guinée / Séverine Kodjo Grandvaux

Auteur(s) : Siba Fassou ; Williams Sassine
5.2. 1993-Siba Fassou_ WS, Contrat.pdf
1993.04.21 Accord entre Siba Fassou et WS pour écriture d'une pièce de théâtre avec droits exclusifs pdt 2 ans (2 ex)

Auteur(s) : Siba Fassou, mise en scène
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1995 ? Dossier de presse : Légende d'une vérité de Williams Sassine, mise en scène Siba Fassou, Théatre de Guinée; 24 feuillets reliure plastique

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Manuscrit autographe provenant du fonds Brazzaville. Inconnu lors du premier inventaire (1996), identifié lors du second (2008) sous le numéro 29 bis.
Cahier de petit format. Au milieu de la couverture beige, dessin représentant une croix entourée d’un cercle. La première page de titre est dessinée au feutre noir et soulignée au stylo bille rouge ; en haut à droite, se trouve la signature imprimée au tampon d’encre bleue, « Sony la Boutansi », corrigée à la main pour lire « Sony LaBoutansi ».
Ce manuscrit contient deux œuvres de genre différent, poésie et prose narrative, sous deux titres différents : Déjà... j’ai habité tous ces mots (DHTM) et Ces hommes qui fatiguent les chiffres.

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Les poèmes de La Vie privée de Satan et des Yeux de l’espoir (YE) figurent tête- bêche sur le même manuscrit. Une fois le premier recueil achevé, Sony Labou Tansi a retourné ce cahier de petit format comptant 74 folios afin de composer YE. Le titre du recueil, écrit en lettres capitales au feutre noir, apparaît sur la première page. Les 22 poèmes qui suivent cette page de titre présentent des ratures, à l’exception des compositions n. 10, 17 et 22. A l’instar de VPS, les textes ont tous été numérotés. Il est probable que Sony Labou Tansi a procédé de la sorte après avoir rédigé les poèmes des deux recueils. Ceux-ci sont écrits tantôt à l’encre noire, tantôt à l’encre bleue, mais dans VPS tout comme dans YE l’indication de leur numérotation est notée avec un même feutre noir.

La plupart des corrections – qu’il s’agisse des ratures ou des ajouts – sont apportées dans une encre différente de celle utilisée pour rédiger les poèmes, ce qui nous incite à formuler l’hypothèse de variantes de lecture issues de plusieurs campagnes d’écriture. La première version des poèmes n. 20, 21 et 22 semble être allographe, car la graphie y est différente de celle du poète. Tous trois font l’objet d’une reprise. Sony Labou Tansi introduit des variations et opère une fusion des poèmes n. 20 et 21. La quasi-totalité des textes est biffée par une rature d’utilisation `a l’encre bleue. Trois d’entre eux sont en partie réécrits pour figurer dans Poèmes de Sony Lab’ou Tansi, anthologie présentée aux maisons d’édition parisiennes en 1973. 

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Le nombre 12 précède le titre. La mention « 11. inventaire » fait référence à notre premier inventaire du fonds, en 1996, publié en 2003 dans le numéro 15 des Études Littéraires Africaines.

 Tous les indices matériels (même papier, même machine à écrire, et surtout le chiffre 12 figurant parmi les 10 poèmes manquants) concourent à restituer ce poème isolé et orphelin, à la 12e place qu’il avait dans le recueil d’origine. D’où Sony avait dû le distraire pour lui faire un sort à part, en le renommant « Testament » de la même encre bleue que les autres corrections manuscrites. Le fait que ce poème singulier s’ajuste exactement dans le puzzle à présent moins lacunaire (neuf poèmes perdus, un poème retrouvé) et que sa nouvelle fonction testamentaire est affirmée en toutes lettres nous donne une piste pour tenter, d’une part, de reconstituer la ténébreuse affaire des neuf disparus et, d’autre part, de restituer son titre au recueil. 

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Le dispositif paratextuel de cette deuxième version de L’Acte de respirer (AR2) est quasiment semblable à celui de la première : page de titre de graphisme analogue (bicolore bleu/rouge), une pleine page pour la brève dédicace au poète Édouard Maunick signée SLT – à cette différence près : ici (AR2) « combat » et là (AR1) « lutte » –, et une introduction conséquente, particulièrement développée, qui permet de dire que cette version est bien postérieure. Seul l’ordre d’apparition des trois éléments diffère, la dédicace s’intercalant ici entre le titre et l’introduction, alors que AR1 la mettait en troisième position.

Comme dans AR1, les poèmes de cette version sont tous écrits à l’encre noire avec quelques variantes de lecture à l’encre bleue, et sur le recto des feuillets. Ils sont au nombre de sept, numérotés non plus en chiffres romains, mais en toutes lettres pour les « un » et « deux », puis tous les suivants en chiffres arabes. 

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Le titre est écrit en lettres capitales avec un feutre noir et un stylo bleu. Le pseudonyme utilisé pour signer ce manuscrit – Sony-Lab’ou-wa-Lab’ou Tansi – est souligné. Une « Maxi-préface », qui s’étend sur quatre folios, s’achève par un poème. Une dédicace signée « Sony » apparaît sur la page suivante : « À tous ceux qui sont morts ou bien vivent pour une cause qui n’est pas une cause ». Le dernier élément du paratexte de La Vie privée de Satan (VPS) est une « Mini-préface » également signée « Sony ».

Les 36 poèmes du recueil figurent sur le recto des pages, tête-bêche avec ceux des Yeux de l’espoir, et ont sans doute été écrits avant ces derniers. Les textes n’ont pas de titre, mais tous portent un numéro. Il est probable que les indications La Vie privée de Satan, « Maxi-préface», « Mini-préface », ainsi que les numéros des poèmes ont été ajoutés après leur composition. En effet, le paratexte a été écrit avec un stylo noir et les poèmes dans une encre bleue, alors que les indications qui les accompagnent ont été notées à l’aide d’un même feutre noir. A la différence des manuscrits précédents, les changements d’encre sont très peu nombreux1. 14 poèmes sont biffés par une rature d’utilisation. Sept textes font l’objet d’une reprise dans l’anthologie Poèmes de Sony Labou Tansi, présentée dans les maisons d’édition parisiennes au cours de l’ été 1973.

Les initiales «Y. E» ont été reportées à côté des poèmes nos 33 et 35 avec un feutre bleu. Une fois son recueil achevé, peut-être Sony Labou Tansi les avait-il destinés à intégrer Les Yeux de l’espoir ? Une feuille volante a été insérée dans le manuscrit. Son bon état contraste avec les pages jaunies et parfois tachées du cahier. On y lit le fragment d’un poème composé bien plus tard et qui figure dans les recueils Ici commence ici et L’Acte de respirer. Sony Labou Tansi consacre les cinq dernières pages du cahier à l’écriture du deuxième chapitre du roman Ces Hommes qui fatiguent les chiffres, dont deux versions se trouvent à la BFM. L’écrivain utilise un stylo noir à l’exception de la mention chapitre inscrite à l’encre bleue. Les ratures sont peu nombreuses et l’on remarque sur la dernière page un ajout qui semble ne pas avoir de liens avec le roman : « (Laissez passer – je m’en vais voir ma chute.) Chasseurs d’illusions, homme avorté – ». Rien n’indique que ces fragments romanesques et poétiques aient été composés à la même période que VPS

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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lettre et dessins

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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10 feuilles de format courant (21 x 29 cm), chacune portant au recto un poème numéroté (2, 5, 6, 9, 10, 11, 13, 15, 19, 20), envoyées par l’auteur à J.-M. Devésa. Celui-ci, avec l’autorisation écrite de Yavelde, la fille aînée de Sony, publie dans son essai biographique[1], les six derniers poèmes sans leurs numéros d’ordre, précédés de cette notice :

 "À l’automne 1994, un courrier de Sony Labou Tansi adressé à l’auteur contenait ces poèmes, non titrés, simplement numérotés, ne portant aucune indication quant au recueil d’où ils avaient été extraits. Chaque texte était dactylographié sur une seule et unique page. L’ensemble, constitué de doubles obtenus au carbone, est relativement ancien si l’on en juge par l’état du papier ; il comporte quelques corrections de la main de l’écrivain."

 Pour établir le texte de la présente édition génétique, J.-M. Devésa nous a gracieusement transmis en janvier 2015 une copie numérique non seulement des six poèmes déjà publiés, mais aussi des quatre restés inédits, soit la moitié de ce recueil dont on peut raisonnablement supposer qu’il comptait au moins 20 poèmes. L’autre moitié est toujours portée disparue (il manque les poèmes 1, 3, 4, 7, 8, 12, 14, 16, 17, 18).


[1] J.-M. Devésa, Sony Labou Tansi. Écrivain de la honte et des rives magiques du Kongo, Paris, L’Harmattan, 1996, 379 p. ; pp. 337-355.

Auteur(s) : Sony Labou Tansi
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Collection : Ici commence ici
Auteur(s) : Sony Labou Tansi
Fac-similé _Ici commence ici_.pdf
Manuscrit du fonds des éditions CLÉ à Yaoundé (Cameroun). Le recueil tel qu’il a été publié comprend 17 poèmes numérotés et sans titre. La 1ère de couverture, qui nous a été transmise dans un document sous format Word daté 13/01/2009, comporte un dessin scanné et une légende tapuscrite : « Pauvre Humanité / Elle souffre de blanc », signée SLT.
Nous n'avons pas eu accès au brouillon de ce recueil, l'éditeur n'ayant pas consenti à nous en transmettre une copie d'usage.

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2