FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 383 résultats dans 19519 notices du site.
Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (19) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0098.T.93r.jpg
Godin envoie à David un exemplaire de la pétition sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Il lui demande de la faire signer par les conseillers municipaux et par les principaux industriels de la commune. Dans le post-scriptum, Godin indique qu'il joint à sa lettre un deuxième exemplaire de la pétition à faire signer par le conseil municipal et les industriels de Marle.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0213.T.206r.jpg
Godin remercie Thil-Lorrain pour les articles qu'il a envoyés au Devoir. Il le prie à l'avenir de lui adresser des articles occupant seulement deux colonnes du journal, car les lecteurs sont effrayés par la longueur d'un article sérieux. Il l'informe que son dernier article a été coupé en deux pour être publié dans deux numéros. Il l'avertit que le journal refuse les polémiques et même s'attache à ne pas attaquer telle classe sociale alors qu'il prêche la fraternité : « L'association doit être pour nous un drapeau ; elle doit avoir pour objet la conciliation des intérêts et celle des opinions. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0410.T.398r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 30 septembre 1878 ; il lui reproche d'avoir passé un mois en France sans être venu le voir. Il lui annonce qu'après avoir été en conflit avec sa femme au moment de la construction du Familistère, il est en conflit avec son fils au moment où il va fonder l'association entre le capital et le travail, « c'est-à-dire entre le Familistère et son industrie ». Il l'informe que le journal Le Devoir reçoit de temps en temps des articles de Maistre au 6 Twisden Road à Londres, qui doit être professeur ; il lui demande des renseignements sur ce dernier pour savoir s'il ne s'agit pas d'un condamné politique. Il lui indique que monsieur Melotte lui écrit qu'il pourrait envoyer chaque semaine plusieurs numéros du Devoir en dépôt chez Morel au 56 Charlotte Street, Fitzroy Square, à Londres : il lui demande si la librairie est solvable. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0365.T.353r.jpg
La première partie de la lettre est illisible en raison de la mauvaise qualité de la copie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0246.T.237r.jpg
Godin s'inquiète du silence de Pagliardini ; il lui demande s'il a reçu sa lettre relative au journal Le Devoir ; il voudrait recueillir ses appréciations sur le journal qui lui est envoyé chaque semaine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0165.T.158r.jpg
Godin annonce à Pagliardini qu'il va faire paraître un journal intitulé Le Devoir. Il lui demande s'il connaît des personnes en Angleterre à qui il pourrait envoyer le numéro programme. Il le remercie pour l'envoi de journaux illustrés et il lui signale que son discours à la réunion annuelle de la Société des femmes employées dans la reliure a attiré leur attention.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0449.T.436v.jpg
Godin avertir le directeur du Comptoir d'escompte de Paris qu'il retirera 200 000 F le samedi suivant.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0194.T.187r.jpg
Godin avertit la banque que son fils Émile, dont la signature figure au bas du folio, retirera le jeudi suivant la somme de 200 000 F en billets de banque.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0025.T.20r.jpg
Godin informe Levasseur qu'il est d'accord avec les factures dont le montant s'élève à 517,81 F.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0431.T.418r.jpg
Godin informe le maire d'Étréaupont qu'il ne pourra se rendre à la réunion dimanche prochain à Étréaupont relative à la ligne de chemin de fer par la vallée de l'Oise. Godin l'assure qu'il soutient la création de la ligne de chemin de fer par Guise et par Hirson, comme en témoigne la pétition envoyée l'année précédente au ministre des Travaux publics, dont il lui envoie 10 exemplaires. Il lui envoie également 10 exemplaires de la brochure La question des chemins de fer devant le conseil général de l'Aisne. Il explique que la ligne de Guise à Hirson a été classée par le gouvernement, comme celle de Busigny à Hirson ; les deux lignes n'entrent pas en concurrence selon lui ; Il indique qu'il a lui-même soutenu la ligne de Busigny à Hirson ; il lui demande d'encourager les communes de la vallée de l'Oise à soutenir ce tracé. Godin renvoie Violette à la lecture d'une page du Journal officiel du 4 décembre 1878 relative aux chemins de fer dans l'arrondissement. Il indique enfin que la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme, qui passe par Guise et Laon, justifie le tracé par la vallée de l'Oise.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0455.T.442r.jpg
Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0292.T.282r.jpg
Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin expose au ministre la question de l'implantation de la gare à Guise, commune aux lignes de Saint-Quentin à Guise et du Cateau à Saint-Erme. Le projet initial prévoyait d'implanter la gare près de l'usine du Familistère, projet qu'il avait soutenu en tant que premier maire républicain de Guise. Après sa révocation en 1874, une nouvelle enquête fut provoquée qui aboutit à une autre implantation de la gare, dans la partie basse de la ville, éloignée d'un établissement employant 1 200 personnes ayant le tort d'être républicaines. Le raccordement de la gare existante à la ligne du Cateau à Saint-Erme nécessiterait de traverser toute la ville et de créer 12 passages à niveaux. Godin plaide pour l'implantation initiale de la gare de la ligne du Cateau à Saint-Erme, économe en argent et en distance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0079.T.74r.jpg
Godin attire l'attention du préfet sur Vasseur, instituteur de Mondrepuis depuis 22 ans, et envoyé en septembre 1877 à Étreillers près de Saint-Quentin pour cause de républicanisme, qui désire retourner à Mondrepuis.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0132.T.127r.jpg
Sur la fondation du journal Le Devoir. Déclaration de modification du titre du journal : « Familistère et association de la fabrique à Guise | Politique. Législation. Administration. Religion | Le Devoir |Travail. Industrie. Commerce. Consommation | Mutualité. Solidarité. Fraternité ». Godin ajoute qu'il a l'intention de signer le journal en qualité de gérant lorsque Massoulard en sera empêché.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0134.T.129v.jpg
Godin soutient la demande formulée par Ermantine Ollivier, dévouée à sa sœur Grimonie Ollivier, et par Eugène Blondel, dévoué à Ermantine Ollivier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0375.T.363r.jpg
Godin envoie au préfet le procès-verbal de la constitution définitive du bureau de la délégation cantonale et le tableau de répartition des communes entre les délégués.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0423.T.411v.jpg
Godin communique au préfet de l'Aisne le procès-verbal de la dernière séance de la délégation cantonale avec un tableau portant les annotations de cette dernière.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0212.T.205r.jpg
La préfecture de l'Aisne aurait égaré le dossier envoyé par Godin pour signaler les actes de dévouement d'Ermantine Ollivier de Saint-Germain près de Guise : Godin demande au préfet d'accorder son attention à cette affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0111.T.106r.jpg
Sur la fondation du journal Le Devoir. Déclaration de fondation du journal hebdomadaire Le Devoir paraissant le dimanche à Guise, dont Godin est le propriétaire, dont le gérant est Édouard Champury résidant au 38 quai de Béthune à Paris, et qui sera imprimé chez Baré à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0244.T.235r.jpg
Godin rend compte au préfet de l'Aisne de l'installation de la commission pour les concours cantonaux : quatre membres étaient présents (le maire de Guise, le juge de paix, Lefèvre, conseiller d'arrondissement, et Godin) ; Godin a été élu président de la commission ; la commission demande au préfet des précisions sur ses attributions, si elle a accès aux écoles ou si elle se contente de procéder aux examens et concours pour les certificats d'étude.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0123.T.118r.jpg
Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin communique au préfet de l'Aisne sa déclaration de création d'un journal et précise qu'il enverra prochainement l'acte de naissance et le certificat de jouissance de droits civils et politiques de Massoulard. La déclaration est copiée sur le folio 117v : journal hebdomadaire Le Devoir paraissant le dimanche à Guise, dont Godin est le seul propriétaire, dont le gérant est Martial Émile Antoine Massoulard résidant à Guise, et qui sera imprimé chez Baré à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0302.T.292r.jpg
Sur les plans d'alignement de la commune d'Aisonville-et-Bernoville : Godin, qui a été commissaire enquêteur dans l'affaire, intervient auprès du préfet à la demande de conseillers municipaux pour trouver une solution.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0325.T.314r.jpg
Requête relative à un plan d'alignement d'une propriété de Godin en face de la gare de Guise.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0129.T.124r.jpg
Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin adresse au préfet le certificat de jouissance des droits civiques et politiques d'Antoine Massoulard, gérant du journal. Godin informe le préfet que la date de 1874 s'explique par le fait que Massoulard a quitté la France à cette époque pour aller en Amérique, d'où il est revenu en septembre 1877 pour venir au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0240.T.231r.jpg
Godin attire l'attention du président de la Société musicale du Familistère sur l'abus que certains des membres de la société font de leur instrument en dehors des répétitions et concerts. Il lui explique qu'à l'occasion de la dernière Fête du Travail, les musiciens ont joué « des airs de saltimbanque » dans la rue du Familistère après le bal. Cela constitue pour lui un tapage nocturne, et il ajoute que la police aurait pu "justement intervenir". Il suggère que la société musicale introduise dans son règlement un article encadrant l'usage des instruments, faute de quoi l'administration du Familistère pourrait infliger des amendes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0234.T.225bisr.jpg
Godin accepte son inscription en qualité de membre du comice agricole de Vervins même s'il n'a pas formulé de demande en ce sens.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0234.T.225bisr.jpg
Godin informe Penant-Vandelet que devant se rendre à Paris, il ne pourra assister à la réunion du comice agricole le dimanche suivant.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0276.T.266r.jpg
Godin annonce au procureur de la République que la femme de Leclercq, responsable du service de transport de l'usine du Familistère de Guise, a soldé le débit du compte de son mari. Il lui indique que rien n'explique que Leclercq se soit constitué prisonnier alors que ses ressources personnelles permettait de résoudre facilement l'affaire.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0241.T.232r.jpg
Godin informe le sous-préfet que, retenu à Guise, il ne pourra honorer son invitation du 21 mai, qu'il espère le recevoir à Guise à l'occasion du concours agricole et qu'il le verra le lundi suivant à Laon.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0322.T.311r.jpg
Godin explique à Considerant qu'il n'a pas été indifférent à l'attention qu'il lui a témoignée et que son silence est dû à ses nombreuses occupations. Il lui demande s'il a apprécié la lecture du journal Le Devoir et s'il a conservé le même sentiment à l'égard de son œuvre.

Mots-clés :

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
0347.T.335r.jpg
Marie Moret remercie Marie Howland pour ses lettres des 2 et 19 août 1878. Elle et Godin se réjouissent du projet de visite du Familistère par Marie Howland. Elle et Godin félicitent Marie et Edward Howland d'avoir abandonné le tabac. Sur la méthode Chevé d'éducation musicale : elle a été enseignée sans résultat dans les écoles du Familistère pendant 4 ans ; les élèves doivent finalement apprendre la notation ordinaire ; Marie Moret lui envoie le traité élémentaire de la méthode ; Godin doute de la valeur de la méthode. Godin consent à échanger le journal Le Devoir avec la publication de monsieur Alden ; Marie Moret envoie à Alden le numéro 27 du journal [du 8 septembre 1878] qui contient la table analytique du premier volume. Sur la traduction de La Fille de son père : Marie Moret a tenu compte des observations de Marie Howland. Elle la remercie pour l'envoi du journal L'Évolution, qui contient l'article de son amie Augusta Cooper Bristol : « Je souhaiterais que M. Godin eût en France beaucoup d'aussi fervents amis. » Elle lui transmet les compliments de Massoulard.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
0281.T.271r.jpg
Marie Moret annonce à Marie Howland que l'édition en volume de la traduction de Papa's Own Girl restituera le texte complet du roman sans les coupes qui ont été faites dans les chapitre VII à XIII du feuilleton du journal Le Devoir pour pouvoir offrir le roman en entier aux lecteurs au cours de la première année. Marie Moret indique qu'elle répond en partie aux lettres que Marie Howland a écrites à Godin le 7 avril et le 4 mai avant que ce dernier ne lui dicte une réponse. Marie Howland a lu avec émotion dans Le Devoir la conférence du 4 mai 1878 de Godin aux ouvriers de l'usine : Marie Moret explique que les difficultés qu'il affronte sont le lot des novateurs ; elle loue le génie et la force morale de Godin. Elle livre un portrait de Godin : « Quant aux moyens de distraction et de repos, imaginez-vous qu'il ne s'amuse de rien de ce qui plaît aux autres hommes. Il ne fume pas, n'aime ni les cartes, ni les échecs, ni le billard, ni mille choses dont, en conséquence, j'ignore les noms. Le théâtre le fatigue ; les conversations oiseuses lui pèsent ; la promenade ne lui est bonne qu'en voiture. L'unique distraction qu'il puisse prendre, c'est la conversation entre gens sympathiques et notre cercle est très restreint. » Elle ajoute qu'il joue avec ses deux nièces les plus âgées, de 3 et 6 ans, qui l'appellent oncle André. Sur Albert Brisbane : il n'est pas venu au Familistère ; à la différence de Godin, il ne versa pas un sou des 25 000 $ qu'il avait promis à la Société de colonisation du Texas ; Brisbane se sentirait humilié devant Godin et il ne faut pas compter qu'il vienne au Familistère. Sur le journal Le Devoir : Godin éprouve le besoin d'élargir le cercle de ses auditeurs devant l'insuffisance de son personnel ; il pense que ses articles sur les caisses nationales de prévoyance publiés dans les numéros 16, 17 et 19 du Devoir seraient plus intéressants à traduire en anglais que sa conférence, comme l'ont fait en partie déjà des journaux anglais et américains. Sur l'appréciation de Marie Moret par Marie Howland : Marie Moret compare Marie Howland à Clara Forest [le personnage de Papa's Own Girl], dont le cœur déborde d'amour. Sur la traduction de la lettre d'amour du comte de Frauenstein à Clara Forest : le plus grand soin sera apporté à la traduction. Sur Massoulard : il a appris l'existence du Familistère à New York dans un article réactionnaire de La revue des deux mondes. Marie Moret remercie Marie Howland pour l'envoi du Harper's magazine dont Le Devoir a reproduit l'article sur l'école normale de New York. Sur Kate Stanton : elle a obtenu la dignité de docteur-médecin ; elle est rieuse comme Émile Godin, a un esprit fin mais superficiel. Elle retourne à Marie Howland l'article de monsieur Fields, « Une visite à l'auteur de La Fille de son père » et elle espère que Marie Howland puisse venir en Europe et au Familistère. Elle le prévient que Godin ne supporte pas l'odeur du tabac, qu'elle ne pourrait pas fumer près de lui, et qu'il estime que le tabac affaiblit l'intelligence. Sur la traduction de Papa's Own Girl : Massoulard informe Marie Howland qu'il n'endosse aucune responsabilité dans la traduction en raison des remaniements effectués au texte des chapitres VII à XIII du roman dans le journal Le Devoir ; elle précise que ces chapitres ont été rétablis dans le texte de Massoulard pour l'édition en volume, et qu'elle fait maintenant la révision du texte aidée d'une autre personne ; elle l'assure que Massoulard est resté son ami et celui de Godin. Elle transmet ses compliments à Edward Howland.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
0307.T.297r.jpg
Marie Moret envoie à Marie Howland les quatre premières feuilles de La Fille de son père. Elle explique les changements faits au texte dans la traduction : Daniel au lieu de Dan, préjugés au lieu de religion dans le titre du chapitre XIII, une citation du Nouveau Testament. Elle assure Marie Howland que le roman est apprécié par les lecteurs du journal Le Devoir. Elle présente ses compliments à Edward Howland.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2