FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (25) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que l'assemblée générale de la Société du Familistère convoquée le 1er novembre 1885 a été reportée au 15 novembre. Il espère son arrivée et celle de sa fille à Guise quelques jours avant l'assemblée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Vincenzo De Castro pour l'envoi d'un chapitre intitulé « Godin e Rossi o la soluzione pacifica della questione sociale in Francia e in Italia ». Il lui demande de quel livre est tiré ce chapitre. Il lui envoie les derniers numéros du journal Le Devoir dont l'un contient le bilan de la Société du Familistère pour 1884-1885.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Illingworth du 28 octobre 1885 : il lui adresse Mutualité sociale, l'étude sociale Le Familistère et le numéro du Devoir contenant le bilan de la Société coopérative du capital et du travail. Il lui précise que l'association du Familistère a été constituée en France et en Belgique le 13 août 1880, et lui signale les articles de Neale et de Greening dans The Cooperative News. Il le remercie pour l'envoi de son ouvrage Distribution reform.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 2 novembre 1885. Sur la nomination d'un délégué. Godin fait part à Tisserant des remarques du notaire Carré sur l'emprunt hypothécaire. Sur le tarif des notaires pour un emprunt hypothécaire : Godin croit pouvoir traiter de gré à gré comme le fait la famille d'Orléans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure au maire de Guise que la Société du Familistère subvient aux besoins des 1 750 personnes qui habitent dans « ses palais » et qu'aucune d'elle ne peut ni ne doit rien demander au bureau de bienfaisance de la ville de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Raoux du 28 octobre 1885. Godin décrit à Raoux la situation des invalides du travail et des retraités au Familistère. À propos de la méthode Fröbel : Godin ne pense pas que la méthode doive être proposée aux retraités : il l'assure que le Familistère possède tous les ouvrages qu'il mentionne dans sa lettre et qu'il en fait bon usage pour le progrès des élèves. Il lui indique qu'il a reçu ses imprimés et qu'il a donné à la bibliothèque du Familistère les deux brochures dont Le Devoir accusera réception.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la brochure Caisse nationale de retraite pour les vieillards et les invalides. Il l'informe qu'il lui a envoyé cinq études sociales, et les numéros du Devoir du 11 octobre et du 25 octobre 1885. Il lui signale que sa lettre a été égarée dans les bureaux du Devoir. Il lui adresse le numéro du 8 novembre qui contient la suite de l'étude sur sa brochure commencée le 25 octobre 1885, et lui signale que le numéro contient aussi une étude sur « Les erreurs sur la réforme des impôts » et lui annonce qu'il lui enverra la suite de l'étude.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bouchez du 9 novembre 1885 : il lui semble que la personne qu'il recommande pour un emploi ne possède pas la connaissance de la comptabilité industrielle et commerciale, condition d'une embauche alors que les affaires sont difficiles.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des frais réclamés à Godin par Prélat pour le règlement de l'affaire de sa sœur et de son beau-frère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Mentrel du 9 novembre 1885 : il lui envoie l'étude sociale Le Familistère et le dernier numéro du journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Bouillot les documents joints à sa lettre du 8 novembre. Il lui fait observer que les élèves auxquels il s'est adressé sont sortis parmi les premiers de l'École des arts et métiers, et qu'il ne peut en conséquence accepter ses services.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Zimmermann les documents qu'il lui a envoyés et lui réclame son certificat d'études et son classement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Madame Legait a adressé à Godin le certificat d'études et de classement de son fils : Godin l'informe qu'il ne donne pas suite à sa demande car les notes en ajustage et en fonderie sont à ses yeux les plus importantes.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin déclare à Fauvety qu'il est satisfait par sa lettre qui lui fait espérer son concours dans sa nouvelle campagne pour l'hérédité de l'État. Sur les projets de Destrem : comme Fauvety, Godin les soutient mais sans croire à sa réussite. Comme Fauvety, Godin n'espère rien des classes dirigeantes, mais il est persuadé que leurs travaux ne seront pas perdus. Sur l'hérédité de l'État : selon Godin l'argent est le nerf de toute mesure gouvernementale ; sans argent les réformes sont vouées à l'échec : Godin donne l'exemple de la loi sur l'instruction publique et la création d'écoles ; Godin est partisan de montrer tous les avantages qui résulteraient de l'hérédité de l'État plutôt que d'adapter le projet aux vues des hommes politiques ; Godin signale à Fauvety qu'il a commencé une étude sur le sujet dans les numéros des 8 et 15 novembre 1885 du journal Le Devoir, qu'il fera paraître en brochure dans le format des études sociales.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini relative à la maison Sampson Low, qui lui demande le dépôt de son ouvrage Le gouvernement et d'en faire une distribution aux journaux. Godin pense que la distribution à la presse est une perte sèche. Il demande à Pagliardini ce qu'il a fait des exemplaires du livre qu'il a emportés. Il lui signale qu'il a déjà l'article du Harper magazine et qu'il n'a pas encore répondu à sa lettre du 7 octobre 1885. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini, à ses sœurs et à Lucy Latter. Dans le post-scriptum, il indique que Marie Moret a écrit à Lucy Latter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Zimmermann les documents sur sa sortie de l'École [des arts et métiers de Châlons-en-Champagne] et lui indique qu'il a plusieurs candidats pour l'emploi.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Foüan-Warnesson qu'il ne peut autoriser son fils à venir faire un essai dans les bureaux de la Société du Familistère de Guise avant qu'il ait pris une décision à son égard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Mignot qu’il peut venir le voir le dimanche prochain pour discuter de la possibilité de l’employer, et qu’il lui remboursera les frais de chemin de fer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Georges Carton du 17 novembre 1885 : il lui envoie pour la bibliothèque des voyageurs de commerce les 5 études sociales ainsi que Mutualité nationale contre la misère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Coucourde du 6 novembre 1885 : il lui envoie Mutualité sociale, l'étude sociale sur le Familistère et le numéro du journal Le Devoir contenant le bilan de la Société du Familistère. Il lui annonce qu'il sera heureux de le voir au Familistère lorsqu'il viendra en France.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 894,89 F à Prélat pour obtenir la quittance des créanciers de Lefèvre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bérangé du 18 novembre 1885 : il lui demande s'il est en mesure de se mettre au courant de toutes les opérations de fonderie nécessaires à la fabrication d'appareils de chauffage ; il regrette de ne pouvoir voir Bérangé en raison de son éloignement ; il l'informe que l'usine emploie 300 mouleurs et que le moulage mécanique utilise une puissance de 80 chevaux vapeurs ; il l'assure que s'il le souhaitait, il trouverait facilement un emploi de direction dans la fonderie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Gagneur que l'indication de sa lettre du 8 novembre sera publiée dans le journal Le Devoir. Il explique à Gagneur qu'il voudrait envoyer au domicile des députés de gauche son étude sur les impôts et l'hérédité de l'État, que publie . Godin demande à Gagneur s'il peut obtenir les adresses personnelles des députés de la nouvelle Chambre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Sampson Low Company du 16 novembre 1885 : il leur demande quel nombre d'exemplaires du Gouvernement ils veulent distribuer aux périodiques et quel nombre d'exemplaires de l'ouvrage ils souhaitent avoir le dépôt.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Jubert du 24 novembre 1885 : il lui explique que les affaires ne sont pas brillantes, qu'il ne peut prendre d'employés nouveaux sans avoir la certitude qu'ils rendront des services à la Société du Familistère, et qu'il ne peut faire venir son fils de Bourges car ses chances de succès sont minces.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Mignot, qui a une expérience en construction mécanique, s'il est sûr de vouloir prendre part à des travaux de fabrication d'appareils de chauffage domestique en fonte, et il lui annonce qu'il pourrait consentir à lui proposer de faire un essai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de la veille de Boutroy : il lui annonce qu'il dispose déjà de plusieurs candidats à examiner et qu'il ne peut donc rien garantir à son fils.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Lécuyer qu'il peut venir faire un essai à Guise s'il est toujours libre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Georges qu'il s'est fait photographier chez lui vers 1875 à plusieurs reprises lorsqu'il était député. Il voudrait quelques exemplaires de l'une des photographies. Il demande à Georges s'il a conservé les clichés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Rivière du 27 novembre 1885 : il l'informe qu'il cherche à attacher à la Société du Familistère des jeunes sortis de l'école pour en faire des employés d'avenir ; il lui indique qu'il pourrait être destiné à un emploi de direction dans la fabrication des appareils de chauffage, et lui demande s'il croit avoir les aptitudes pour une telle fonction ; Godin sait que Rivière est sorti major de promotion mais voudrait connaître ses notes dans les différentes disciplines.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Zimmermann qu'il a eu tort de refuser des propositions d'emploi, car il est en concurrence avec des candidats sortis des écoles, notamment d'Angers, et il a peu de chance d'être retenu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Vaillant qu'il peut venir le jeudi 10 décembre 1885 visiter le Familistère avec ses élèves.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Mignot vienne faire un essai à Guise. Il lui indique qu'ils discuteront ensemble de son emploi en temps de crise industrielle, et qu'il n'accepte sa proposition « qu'au point de vue de l'avenir ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se défend d'avoir voulu blesser Ballue dans son étude des ressources nouvelles dont aura besoin le gouvernement, même s'il a mentionné son nom à propos de la question des impôts : « Je n'ai en vue que la critique des moyens et non celle des personnes. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Rivière que sa lettre ne répond qu'imparfaitement à la sienne et que c'est à lui de proposer ses conditions d'embauche. « Quant à moi, je suis disposé à faire aux jeunes gens qui viennent ici une situation proportionnée à leurs capacités et à leurs aptitudes ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gagneur du 5 décembre 1885. Il lui retourne le numéro 1 du journal Les cahiers électoraux. Il le remercie de lui envoyer le projet de loi Ballue. À propos du périodique Les Hommes d'aujourd'hui : « Si l'on réédite Les Hommes d'aujourd'hui, je voudrais bien n'y pas figurer sous la même forme grotesque. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Dupont de lui envoyer L'Annuaire officiel du département de l'Aisne pour l'année 1886 dès sa parution et d'en porter le montant au débit de son compte dans la Société du Courrier de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Viganò du 30 novembre 1885. Il l'informe qu'il a reçu la brochure de Vincenzo De Castro, à propos de Rossi, que le journal Le Devoir a déjà évoqué le 9 novembre 1879 et dont il sera à nouveau question dans le compte rendu de la brochure. Il lui annonce qu'il serait heureux d'échanger Le Devoir avec le Liberio operaio, dirigé comme La coopération agricole de Padoue par Wollemborg. Il compte sur Viganò pour attirer l'attention de Wollemborg et de Vincenzo De Castro sur la question de l'hérédité de l'État, que Godin considère comme le moyen d'accomplir toutes les autres réformes. Godin se déclare satisfait que Viganò ait marié sa fille à sa convenance. Il lui confirme que son ange gardien Marie Moret est toujours près de lui et continue plus que jamais à collaborer à ses travaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Lefèvre qu'il a commandé à Vervins 413,60 F de tabacs pour son compte. Il lui indique qu'il peut prendre livraison d'un poêle. Il lui adresse ainsi qu'à sa sœur ses compliments et ceux de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin passe commande de tabacs pour Lefèvre, débitant à d'Esquéhéries pour une somme de 413,60 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Béranger qu'il ne connaît pas Viseur et que ce dernier ne lui a jamais fait de propositions pour la vente de ses chevaux ou pour autre chose.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte le concours que lui propose Colfavru en faveur de l'hérédité de l'État. Il lui indique que le projet de loi déposé le 26 juin 1884 par Giard, Henri Maret, Laguerre et Tony Révillon pour l'établissement de la mutualité nationale par l'hérédité de l'État s'inspire de son livre Le gouvernement et de la pétition publiée sous le titre Mutualité nationale contre la misère avec l'aide des ressources de l'hérédité de l'État. Il plaide pour imposer l'idée de l'hérédité de l'État à la Chambre des députés. Dans le post-scriptum, il lui demande s'il a reçu les numéros du traitant des impôts et de l'hérédité de l'État.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Rivière que les appointements pour un élève sortant des études sont de 1 500 F à 2 000 F selon qu'il est employé à la fabrication, où il passe son temps à acquérir des connaissances, ou en qualité de dessinateur, emploi dans lequel il est immédiatement utile. Godin désire que Rivière s'initie à tous les travaux de l'établissement pour pouvoir prendre un poste de direction par la suite, à la condition qu'il ait un caractère lui permettant de diriger du personnel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Frémont qu'un poste d'instituteur sera vacant au mois de janvier suivant dans les écoles du Familistère. Il lui demande s'il veut l'occuper.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Gagneur qu'il n'y a pas de fête au Familistère au début de janvier, que les fêtes ont lieu en mai et en septembre, mais qu'il sera bienvenu avec ses collègues au Familistère. Il lui signale qu'il enverra à Cinqualbre un portrait de lui dès qu'il aura une photographie convenable.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hénin qu'il avait sollicité l'été dernier une place dans les écoles du Familistère. Il lui demande s'il pense avoir l'aptitude à enseigner à une classe d'école primaire élémentaire composée de garçons et de filles de 7 à 8 ans, et il l'invite à venir en discuter avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Lasne de représenter la Société du Familistère à la Chambre consultative de la Fédération coopérative. Il lui indique qu'il accepte les résolutions des sociétés coopératives de Nîmes sur les questions à l'ordre du jour, dont Le Devoir a publié un résumé, sous quelques réserves qu'il présente. Il annonce à Lasne qu'il propose une résolution relative à la nécessité d'une organisation administrative de la Fédération des sociétés coopératives.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Marie Howland a écrit le 8 décembre à Marie Moret pour demander à Godin de rédiger une lettre sur le projet de colonisation de Sinaloa destinée à être publiée dans son journal. Il la prévient que sa lettre n'est pas faite pour être publiée. Il lui rappelle que dans sa réponse du 18 mai 1885, Marie Moret lui avait déjà fait part de son avis sur son projet de colonie, qu'il juge voué « à un avortement pire que celui dont Considerant nous a donné le spectacle au Texas ». Godin lui présente les difficultés de cette entreprise, qu'il compare à celle de la colonisation du Texas, et il la dissuade de la mettre en œuvre. À propos de Solutions sociales : il lui confirme qu'il a offert 1 000 F à Lovell pour l'édition américaine, que Lovell a accepté, mais qu'il ne lui a pas envoyé les corrections à faire au texte, la voyant absorbé dans son projet de colonisation. Dans le post-scriptum, il lui signale qu'il a envoyé un numéro du Devoir à monsieur Alden de New York.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Janus que les machines qu'il a envoyées n'étaient pas accompagnées d'instructions, sauf une confiée à Bruxelles à madame Deynaud. Il lui demande de lui en envoyer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'atelier de bonneterie du Familistère. Godin émet des réserves sur la proposition de collaboration de Contadeur : la reconnaissance des personnes qui ont lancé l'industrie au Familistère et ont formé 20 ouvrières ; l'augmentation des frais généraux ; l'absence de débouchés à Paris comme le montre la liquidation de la société de Contadeur ; le prix de la collaboration de Contadeur et son âge. Godin lui demande de répondre à ses objections.

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