À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : sur la proposition du député Alfred Micha, Marie Moret envoie à son correspondant un exemplaire des numéros du Devoir de janvier à juin 1899 en lui demandant de les confier à celle des cinq bibliothèques populaires de la ville la plus compétente pour les conserver. Elle demande à l'échevin de Liège l'adresse de cette bibliothèque pour qu'elle y fasse servir le journal régulièrement.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à la bibliothèque le numéro de mai 1899 du Devoir, journal dans lequel elle publie les « Documents biographiques de J.-B. A. Godin » qui comprennent des enseignements importants ; elle demande au bibliothécaire si sa bibliothèque souhaite conserver une collection du journal et l'interroge sur l'existence d'une institution avec salle de lecture à Amsterdam.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret remercie Alfred Micha pour sa lettre du 17 juillet 1899 ; elle l'informe qu'en raison du nombre restreint d'exemplaires du Devoir à sa disposition, elle a résolu d'envoyer à l'échevin à l'Instruction publique de Liège un exemplaire des numéros du Devoir de janvier à juin 1899 en lui demandant de les déposer dans la bibliothèque populaire de la ville la plus apte à conserver le journal ; elle lui signale qu'elle a fait le même envoi à la bibliothèque de l'Université de Liège.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à son correspondant un exemplaire des numéros de janvier à juin 1899 du Devoir sur le conseil de Charles de Quéker, et lui demande s'il souhaite que le Devoir soit adressé régulièrement à la bibliothèque dont il a la charge.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à son correspondant un exemplaire des numéros de janvier à juin 1899 du Devoir sur le conseil du député Alfred Micha, et lui demande s'il souhaite que le Devoir soit adressé régulièrement à la bibliothèque de l'Université.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à son correspondant un exemplaire des numéros de janvier à juin 1899 du Devoir sur le conseil de Charles de Quéker, et lui demande s'il souhaite que le Devoir soit adressé régulièrement à la bibliothèque de la Bourse du travail.

Marie Moret annonce à la banque l'envoi de trois chèques : de 7,60 F à Fortin et Cie à Paris, de 39 F aux Grands magasins du Louvre à Paris, et de 33,70 F à Fumouze frères à Paris. Elle sollicite l'envoi d'un nouveau carnet de chèques.

Marie Moret envoie à Fumouze frères un chèque de 33,70 F et passe commande d'articles de soin et d'hygiène : mixture dessicative, poudre de savon de Raspail, savon antiseptique, préparation pour eau quadruple Raspail, brillantine Gœmmer, camphre, camphre en grumeaux, vaseline blanche.

Marie Moret envoie aux Grands magasins du Louvre un chèque de 39 F et passe commande de quatre stores automatiques ; elle signale qu'une vis manquait dans l'envoi répondant à sa commande précédente.

Marie Moret envoie à Fortin et Cie un chèque de 7,60 F et passe commande de blocs de serviettes indispensables et de cure-dents.

Marie Moret commande 500 feuilles de papier à lettres à en-tête identique au modèle envoyé, à 11,35 F les 500 feuilles.

Marie Moret annonce à la banque l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Marie Moret remercie Juliette Cros et son mari pour l'envoi de pêches. Sur le projet de visite de Juliette Cros au Familistère : Marie Moret recommande de venir assister à la fête de l'Enfance, qui a lieu le premier dimanche de septembre ; elle indique qu'Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont actuellement occupées aux examens et seront ensuite absorbées par les préparatifs de la fête de l'Enfance ; elle espère que Juliette et son mari pourront rester au Familistère avec Auguste Fabre après la fête de l'Enfance.

Marie Moret accuse réception des épreuves de pages du prochain numéro du Devoir ; elle envoie le sommaire du numéro, ainsi que le « Mouvement des assurances » et l'« État-civil » ; elle demande l'envoi à Jules Pascaly de l'épreuve de l'article « Bibliographie », et à elle des manuscrits et la totalité des épreuves.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à son correspondant un exemplaire des numéros de janvier à juin 1899 du Devoir, sur le conseil du chef du département de l'Instruction publique et des Cultes de Lausanne, et lui demande s'il souhaite que le Devoir soit adressé régulièrement à la bibliothèque nationale de Suisse. Dans la note manuscrite à la mine de plomb sont mentionnées les bibliothèques des villes de Genève, Bâle, Zürich, Lucerne, la bibliothèque cantonale et la bibliothèque universitaire de Lausanne, probablement destinataires d'un courrier similaire.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 20 juillet 1899, et l'informe qu'elle écrit aux six bibliothèques mentionnées par lui pour leur adresser des exemplaires du journal Le Devoir.

Marie Moret envoie à monsieur Chastanier les épreuves corrigées de pages du prochain numéro du Devoir ; elle réclame l'envoi d'une deuxième épreuve des « Documents biographiques » et demande de tirer « en épreuves seulement » dix exemplaires du chapitre XXI des « Documents biographiques ».

Marie Moret annonce à la banque qu'elle envoie un chèque de 412 F à l'Imprimerie Chastanier à Nîmes.

Marie Moret envoie un chèque de 412 F à monsieur Chastanier en paiement de ses factures des 1er juin et 1er juillet 1899. Elle retourne à l'imprimerie toutes les épreuves complémentaires du numéro d'août 1899 du Devoir. Elle rappelle à Chastanier qu'il doit tirer en épreuves dix exemplaires du chapitre XXI des « Documents biographiques » et lui demande d'effectuer un tirage de 340 exemplaires du numéro d'août 1899 du journal ; elle lui demande également de préparer la 22e feuille des « Documents biographiques ».

Marie Moret envoie un chèque de 39 F aux Grands magasins du Louvre et passe commande de quatre stores automatiques en raphia ; elle indique à son correspondant que ses stores semblent avoir du succès au Familistère.

Marie Moret écrit à Sophie Quet après avoir reçu un télégramme d'Auguste Fabre lui annonçant qu'elle est de retour à Nîmes. Elle envoie 50 F à Sophie Quet pour sa rémunération du mois de juillet 1899 et lui demande si son séjour chez ses parents s'est bien passé, si sa santé est bonne et si elle a retrouvé les choses en bon ordre dans l'appartement de Marie Moret à Nîmes. Elle demande des nouvelles de la maison de Nîmes, de la famille Thomas, des autres locataires, et de lui faire savoir, quand le magasin auparavant occupé par monsieur Dalson sera loué, si le nouveau locataire exerce une activité bruyante ou silencieuse.

Marie Moret confirme qu'elle a accusé réception du carnet de chèques commandé et informe la banque qu'elle envoie deux chèques : de 11,35 F à Émile Acker à Paris et de 39 F aux Grands magasins du Louvre à Paris.

Marie Moret envoie à Émile Acker un chèque de 11,35 F en paiement de la fourniture de 500 feuilles de papier à lettres à en-tête et lui retourne l'épreuve du papier avec le bon à tirer.

Marie Moret remercie Armand Grebel pour sa lettre du 27 juillet 1899. Elle l'informe qu'elle va envoyer à monsieur Musset plusieurs brochures et une collection des numéros du Devoir de 1893 à 1897, qui comprend les « Documents biographiques » jusqu'à l'expérience de formation des groupes et unions par Godin. Elle lui donne des nouvelles du Familistère : Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont actuellement occupées aux examens scolaires et aux préparatifs de la fête de l'Enfance, à laquelle Auguste Fabre et sa famille pourraient assister. Elle indique à Grebel qu'elle communiquera à Fabre sa promesse de photographies.

Marie Moret informe monsieur Musset qu'elle lui envoie plusieurs brochures (dont la liste est copiée à la fin de la lettre) et une collection des numéros du Devoir de 1893 à 1897, qui comprend les « Documents biographiques » jusqu'à l'expérience de formation des groupes et unions par Godin. Elle lui demande de faire part au maire de La Rochelle qu'elle a été sensible aux mots qu'il lui adressés le 15 juillet 1899 à la suite de son premier envoi.

Marie Moret demande à la banque d'encaisser pour elle le remboursement d'obligations Suez 5 %.

Marie Moret écrit à Jean-Baptiste Pierquet que la famille Moret-Dallet ne peut se promener dans les jardins du Familistère sans penser à lui. Elle lui donne des nouvelles du Familistère : il fait chaud et l'ombrage des grands marronniers est agréable ; Émilie et Marie-Jeanne Dallet préparent la fête de l'Enfance ; elle-même travaille à la publication des « Documents biographiques ». Elle demande des nouvelles de monsieur Pierquet.

Marie Moret répond à une lettre de Jules Prudhommeaux du 19 juillet 1899. Elle informe Jules Prudhommeaux, qui se trouve à Lyon et qui a écrit à Auguste Fabre avant de partir de Montluçon, que ce dernier séjourne au mois d'août chez sa fille Juliette Cros à Castelsarrasin et qu'il doit venir avec Juliette et Antoine Médéric Cros assister à la fête de l'Enfance au Familistère de Guise ; elle lui signale qu'Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont absorbées par la préparation de la fête de l'Enfance et qu'il fait très chaud actuellement à Guise. Elle évoque le service militaire que doit accomplir Prudhommeaux, le travail de révision par Prudhommeaux de la traduction du livre de Noyes, sa possible nomination à Nîmes, la nouvelle visite qu'Henri Babut a faite au Familistère il y a dix jours, et « ce brave monsieur Gouté ».

Marie Moret indique qu'elle fera légaliser sa signature pour le reçu destiné à la Compagnie du canal de Suez. Marie Moret annonce qu'elle envoie un chèque de 38,80 F aux Grands magasins du Louvre à Paris.

Marie Moret indique qu'elle est dans l'attente des stores dont on lui a annoncé l'expédition. Elle envoie un chèque de 38,80 F et passe commande de serviettes éponge et de serviettes « œil anglais ».

Marie Moret retourne à l'imprimerie l'épreuve corrigée de la 22e feuille [des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin »].

Marie Moret répond tardivement à la carte de son correspondant du 4 août 1899 à cause d'une adresse d'expédition imprécise (il y a trois veuves Godin à Guise) en l'informant que la maison [de Lesquielles] n'est ni à louer ni à vendre et qu'elle n'est pas meublée.

Marie Moret envoie à la banque le reçu destiné à la Compagnie du canal de Suez, revêtu de sa signature légalisée.

Marie Moret confirme l'exactitude de son compte dans la Société du Familistère, créditeur de 20 950,95 F.

Sur les timbres français dont doivent être revêtues les valeurs des chemins de fer suisses. Marie Moret souhaite, dans le cas où elle en serait empêchée, que sa sœur et sa nièce soient en mesure de demander à la banque de procéder à l'opération ; elle transcrit dans sa lettre deux pouvoirs à leur intention et porte ainsi leur existence à la connaissance de la banque, selon les recommandations de cette dernière.

Marie Moret adresse à la banque la demande d'échange de ses 245 obligations 3,5 % Jura-Berne-Lucerne contre 245 obligations de 1 000 F chacune de l'emprunt suisse des chemins de fer fédéraux de 1899. Elle demande des informations sur le taux des timbres français dont ces obligations et celles du Jura-Simplon de 1898 devront être revêtues.

Marie Moret fait observer aux Grands magasins du Louvre que le bâton plat de fixation des stores automatiques récemment livrés est trop court ; elle demande que cette disposition soit rectifiée pour la nouvelle commande de cinq stores automatiques en raphia de Madagascar qu'elle accompagne d'un chèque de 48,75 F.

Marie Moret annonce à la banque l'envoi d'un chèque de 48,75 F aux Grands magasins du Louvre à Paris.

Marie Moret remercie la banque pour les informations contenues dans ses courriers des 11 et 12 août 1899, en particulier la confirmation de l'échange de ses obligations Jura-Simplon contre des obligations de l'emprunt 3,5 % des chemins de fer fédéraux suisses.

Marie Moret accuse réception de la facture d'Émile Acker d'un montant de 11,35 F auxquels il faut ajouter 1 F pour le port. Elle se plaint auprès d'Acker qu'à chacune de ses commandes de papier à lettres, elle se voit réclamer les frais de port en sus de son paiement, bien qu'elle en tienne compte comme elle en fait la démonstration en exposant l'historique de ses paiements.

Marie Moret remercie Marie Dossogne pour sa lettre du 13 août 1899 et ses souhaits [à l'occasion de la fête mariale du 15 août]. Elle recommande à Marie Dossogne de se garantir contre les effets du soleil par le moyen de rideaux, stores ou jalousies, et lui signale que les Grands magasins du Louvre vendent de bons stores automatiques en raphia de Madagascar à 9,75 F la pièce. Elle envoie un billet de 100 F à Marie Dossogne. Elle lui confirme qu'Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont occupées par les préparatifs de la fête de l'Enfance et qu'elle-même est absorbée par la publication des « Documents biographiques ».

Marie Moret envoie à l'imprimerie 44 pages de manuscrit des « Documents biographiques » pour le prochain numéro du Devoir. Elle lui signale que Jules Pascaly, en vacances à Génolhac dans le Gard, enverra ses articles à l'imprimerie. Elle demande qu'avec les épreuves et manuscrits des « Documents biographiques » lui soit envoyé un tirage de la 22e feuille du tiré à part des « Documents biographiques ».

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à la bibliothèque de l'Université d'Amsterdam les numéros du journal Le Devoir de janvier à juillet 1899 et informe son correspondant que le journal lui sera désormais régulièrement adressé.

À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret envoie à la bibliothèque de la Chambre de commerce de Paris les numéros du journal Le Devoir de janvier à juillet 1899 et informe son correspondant que le journal lui sera désormais régulièrement adressé si, comme elle l'espère, il pourra y être collectionné et relié. Elle signale à l'attention de son correspondant que Le Devoir publie des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin », dont on peut tirer des enseignements sociaux de première utilité.