À propos d'opérations sur les valeurs boursières détenues par Marie Moret : sur les droits de timbre sur les titres étrangers.

Sur les modalité d'acquittement des droits de timbre sur les titres étrangers.

Demande à Unzel de lui envoyer un exemplaire du tarif des enveloppes sachets, car elle s'est dessaisie au profit de la Société du Familistère de l'exemplaire qu'Unzel lui avait adressé il y a un an.

Réponse à la lettre de Philippot du 12 octobre 1898. Marie Moret ne peut fournir à Philippot des renseignements sur « l'état des esprits à Guise » car elle ne s'est jamais mêlée au monde et parce que depuis la mort de son mari elle se consacre entièrement à la préparation de la publication des « Documents biographiques » relatifs à Godin, « travail pour lequel je crains toujours que le temps et la santé me fassent défaut. » Elle communique à Philippot un imprimé sur les modalités de visite du Familistère.

Envoie un mandat postal de 3,60 F et commande 12 nœuds d'officier d'Académie.

Envoi d'un chèque de 10,25 F et d'une paire de lunette qu'il faut équiper de verres achromatiques n° 52.

Marie Moret indique à Léopold Mabilleau qu'elle communique sa lettre à Louis-Victor Colin, son véritable destinataire, actuellement en voyage dans l'ouest de la France, étant donné l'importance du sujet dont il est question.

Annonce l'envoi d'un chèque de 10,25 F à Derogy à Paris.

Adresse un bordereau au receveur de l'Enregistrement pour s'acquitter des droits de timbre sur ses titres du canton de Fribourg (Suisse).

Sur l'acquittement des droits de timbre sur les titres étrangers : demande de nouveaux conseils à monsieur Moulin. Dans le post-scriptum, Marie Moret évoque la lettre de monsieur Moulin du 13 octobre 1898 qui la remercie d'un envoi précédent : Marie Moret précise que le petit paquet de photographies (avec portraits) qu'elle lui a adressé a été préparé par Émilie et Marie-Jeanne Dallet ; elle demande à Moulin s'il lui est possible de lui envoyer un portrait carte de lui qu'elle pourrait joindre à ceux de Jules Pascaly et d'Auguste Fabre, amis communs.

Préparation du numéro de novembre 1898 du Devoir : réception d'épreuves et envoi du manuscrit de 16 pages sur la fête de l'Enfance dans la « succursale de Belgique ».

Informe son correspondant qu'elle n'a pas encore reçu le vêtement dont l'envoi était annoncé vers le 15 octobre 1898.

Marie Moret remercie Léopold Mabilleau pour sa carte et l'envoi de la copie de la lettre qu'il a écrite à Louis-Victor Colin, qui est de retour au Familistère et va lui répondre par télégramme ; elle remercie Mabilleau et ses amis pour la sympathie dont ils font preuve à l'égard de l'œuvre de Godin.

Demande une épreuve de la 16e feuille des « Documents biographiques » et avertit Chastanier que la feuille suivante n° 17 pourra être préparée après l'impression du numéro de novembre 1898 du Devoir.

Demande le catalogue du rayon où se trouvent les séchoirs à serviettes.

Demande le catalogue des articles vendus par A. W. Faber.

Renvoie les épreuves corrigées des « Documents biographiques » et de l'« Assemblée générale », et les manuscrits des articles permettant à Chastanier d'achever le numéro de novembre 1898 du Devoir. Demande un tirage de 340 exemplaires de ce numéro et d'imprimer le texte de l'« Assemblée générale » en brochure pour la Société du Familistère qui établira le bon à tirer. Demande à Chastanier de réserver à la Société du Familistère l'exclusivité de la distribution de la brochure.

Remercie monsieur Moulin pour sa réponse.

Sur le règlement d'une facture de 11,35 F pour un papier à lettres à en-tête. Commande de 200 cartes de visite. Vœux de réussite adressés à Émile Acker à l'occasion du cinquantenaire de la fondation de son entreprise et de son changement de domicile.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly à Paris.

Interroge la banque sur les droits de timbre des valeurs boursières étrangères, obligations du canton de Bâle et des chemins de fer Jura-Berne-Lucerne.

Interroge Neymarck sur les droits de timbre des valeurs boursières étrangères, obligations du canton de Bâle et des chemins de fer Jura-Berne-Lucerne.

Envoie un mandat postal de 44 F pour son réabonnement annuel au Journal de Genève. Annonce qu'elle demandera en novembre que le journal lui soit adressé dans le midi de la France.

Réponse à une lettre de Gustave Brocher par l'envoi d'imprimés. Indique à Gustave Brocher que François Bernardot a quitté le Familistère il y a deux ans pour fonder une maison d'industrie à Nantes et qu'il pourra obtenir davantage de renseignements auprès de Louis-Victor Colin, administrateur-gérant de la Société du Familistère depuis un an.

La lettre d'Auguste Fabre fait suite à la visite du Familistère par Luigi Luzzatti pendant laquelle ce dernier a exprimé le désir de connaître l'origine des idées qui ont poussé Godin à édifier le Familistère. Fabre a tenu sa promesse de lui adresser par les soins de Marie Moret les « Documents biographiques » qu'elle publie dans Le Devoir depuis février 1897. Auguste Fabre signe la lettre en qualité d'« ancien économe du famillistère de Guise ».

Copie d'une carte postale par laquelle Marie Moret remercie le comte Collarini [de lui avoir communiqué l'adresse de Luigi Luzzatti].

Demande au comte Collarini de bien vouloir communiquer à Marie Moret l'adresse de Luigi Luzzatti qui a exprimé son désir de recevoir des documents sur le Familistère à l'occasion de sa visite à Guise.

Confirme son télégramme à Chastanier du 22 octobre 1898 lui demandant de commencer par achever le prochain numéro du Devoir. Envoi du manuscrit de 6 pages de l'article « Une visite au Familistère » pour le numéro de novembre 1898 du journal ; un nom manque dans le manuscrit, qu'elle espère pouvoir compléter.

À propos de l'acquittement de droits de timbre sur les titres suisses détenus par Marie Moret : elle envoie à la banque les documents obtenus auprès d'un « agent de l'enregistrement français » [monsieur Moulin à Épernay]. Sur l'erreur de date du certificat de dépôt des obligations Fribourg et Soleure de Marie Moret : 1888 au lieu de 1887. À propos des obligations Jura-Berne-Lucerne et Jura Simplon, et du rachat des chemins de fers par la Confédération helvétique. Remercie la banque des informations contenues dans sa lettre du 21 octobre 1898. La lettre est suivie de la copie d'une notice détaillant les modalités d'acquittement des droits de timbre des titres boursiers étrangers sans présentation des titres eux-mêmes à l'administration de l'Enregistrement.

Nouvelles du Familistère : visite d'Auguste Fabre, désormais à Paris. « Modification » demandée par Marie Moret [dans son logement de Nîmes] en voie de résolution grâce aux bons soins de Sophie Quet. Envoi à Sophie Quet d'un billet de 50 F pour ses appointements d'octobre 1898.

Sur l'acquittement par la banque des droits de timbre des obligations des cantons de Fribourg et de Soleure : signaler à Marie Moret les éventuelles divergences du receveur de l'Enregistrement par rapport aux informations qu'elle a communiquées à la banque.

Demande à Chastanier d'ajouter le nom de Gentili di Giuseppe [à l'article « Une visite au Familistère » dans le numéro de novembre 1898].

Commande d'enveloppes sachets de différentes tailles et envoi d'un mandat postal de 5 F.

Remercie Luzzatti pour la bienveillance et la sympathie dont il a fait preuve à son égard lors de sa visite du Familistère. Demande à Luzzatti l'adresse à laquelle elle pourrait envoyer les exemplaires du Devoir promis par Auguste Fabre [lettre d'Auguste Fabre à Luigi Luzzatti, 27 octobre 1898] et lui servir régulièrement le journal ; elle ne souhaite pas adresser ces exemplaires à l'adresse de Paris communiquée par le comte Collarini pour ne pas l'embarrasser pendant son voyage. Marie Moret unit en pensée le nom de Luigi Luzzatti à ceux de Jean-Baptiste André Godin et d'Edward Vansittart Neale.

Commande plusieurs ouvrages : Almanach de la coopération pour 1899 à l'Union coopérative, 1, rue Christine à Paris ; Vie d'hôtel par Henry Gréville ; Sophie par Champol, Henri Gautier éditeur à Paris .

Commande de différents articles : cure-dents ; papier indispensable ; enveloppes à bulles. Demande le catalogue complet de Fortin et Cie.

Commande de deux séchoirs à serviettes.

Remercie Adèle Herbron pour sa lettre affectueuse du 30 octobre 1898. Sur la propagation des idées utiles : cas de monsieur Henry et de monsieur Bourbon. Envoi à Adèle Herbron de deux exemplaires de l'ouvrage Les frontières de la physique par de Rochas. Invitation de Marie Moret à une visite de la famille d'Adèle Herbron : Marie Moret a trop à faire avec la publication des « Documents biographiques ». Envoi du dernier numéro du Devoir qui comprend le récit de la fête de l'Enfance, dont s'occupent Émilie et Marie-Jeanne Dallet. Le post-scriptum évoque un projet de voyage d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet à Corbeil.

Envoie la somme de 0,75 F en timbres postaux et commande le prochain numéro de L'Indicateur des chemins de fer dans lequel paraîtront les horaires du service d'hiver sur les réseaux de chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée et du Nord.

Demande à Marchand de venir voir dans une remise la voiture dont Marie Moret ne fait plus usage, pour en faire l'évaluation financière et lui dire s'il en serait acquéreur. Dans un post-scriptum manuscrit à la mine de plomb, Marie Moret fixe l'heure et le jour du rendez-vous, en présence de monsieur Hanquet.

Réponse à la lettre d'Isanie Ducruet du 30 octobre 1898 : sur la santé de Maria et sur le voyage d'Isanie et Joseph Ducruet en Savoie. Demande à Isanie de solliciter l'avis de Joseph Ducruet sur le prix de 350 F proposé par monsieur Marchand pour l'acquisition de la voiture de Marie Moret. Départ prochain de la famille Moret-Dallet dans le Midi. Envoie avec sa lettre un Almanach de la coopération.

Envoie 0,25 F pour recevoir la première édition du Petit Temps du 30 octobre 1898, supplément du Temps, qui contient la relation de la visite de Luigi Luzzatti au Familistère.

Accuse réception de la lettre d'Émile Acker du 21 octobre 1898 : Marie Moret dans l'attente des épreuves des cartes de visite commandées.

Annonce l'envoi d'un chèque de 32,15 F aux Grands magasins du Louvre.

Envoie un chèque de 32,15 F et commande trois châles en laine Cachemire et une paire de jambières en laine noire mérinos.

Envoie à Chastanier des épreuves corrigées des pages du numéro de novembre 1898 du journal Le Devoir, lui demande de lui adresser dix exemplaires de ce numéro sorti de presse, ainsi qu'un exemplaire à Jules Pascaly au 41, avenue de Saxe à Paris, et fixe le tirage à 340 exemplaires. Elle demande à Chastanier de s'occuper ensuite de la brochure du compte rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère et d'en adresser l'épreuve à celle-ci.

Sur la correction de 1888 en 1887 de la date du certificat de dépôt des obligations de Fribourg de Marie Moret.

Sur une discordance d'horaire du train quotidien de Paris Nord à Vintimille dans l'Indicateur des chemins de fer du 3 au 6 novembre 1898.

Réponse à la lettre du 29 octobre 1898 de Juliette Cros : Marie Moret envoie une nouvelle brochure à sa correspondante, l'Almanach de la coopération pour 1899. Elle s'excuse de la brièveté de sa lettre car elle n'a pas dormi la nuit dernière (« c'est mon gros mal coutumier ») et elle prépare son voyage dans le Midi. Projet de voir Juliette Cros à Nîmes en janvier 1899.

Sur une discordance d'horaire du train quotidien de Paris Nord à Vintimille dans l'Indicateur des chemins de fer du 3 au 6 novembre 1898.