FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
Auguste Fabre à Hector Malot, 9 mars 1894
Fabre écrit à Hector Malot après la lecture du roman En famille. Fabre met en rapport d'une manière critique des œuvres de la littérature avec les mouvements sociaux à leur parution : Le Juif errant d'Eugène Sue [1844-1845] et sa description de la participation dans l'usine de François Hardy avec la propagande socialiste des écoles saint-simoniennes, phalanstériennes et communistes de la première moitié du XIXe siècle ; Le roman d'un brave homme d'Edmond About [1880] et sa description d'un restaurant et d'un économat avec le renouveau de la coopération en 1865-1867 ; Germinal d'Émile Zola [1884] avec le mouvement syndical ; Looking Backwards d'Edward Bellamy [1889] avec le collectivisme. Fabre compare les institutions de protection ouvrière « très sommairement décrites » dans En famille de Malot [1893] avec celles du Familistère de Guise : il conseille au romancier la lecture de l'ouvrage de Bernardot sur le Familistère. La lettre est signée : « Ate Fabre, ancien économe du Familistère de Guise ».

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
Auguste Fabre à George Noyes Miller, 2 août 1894
Commentaires sur le livre de George Noyes Miller, The strike of a sex ; au sujet du père présumé de George Miller, John Humphrey Noyes, fondateur de la communauté d'Oneida à qui Fabre a déjà écrit au sujet de ses ouvrages ; sur la correspondance entre John Humphrey Noyes et Godin et leur échange de livres. Fabre demande où il peut trouver deux autres ouvrages de Noyes et si Miller envisage de faire traduire son livre.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
Auguste Fabre à veuve Laporte, 23 juillet 1897
Demande l'épreuve de l'article sur le féminisme [qui doit paraître dans le numéro d'août 1897 du journal Le Devoir].

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
Auguste Fabre à Éloi Derogy, 12 février 1896
Envoie une paire de lunettes, achetée chez Derogy en décembre 1895 par l'entremise de Marie Moret, pour refixer un des verres.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Réponse à la lettre d'A. Chord du 15 décembre 1897 : Auguste Fabre transmet la réponse de Marie Moret qui, étant très occupée par son travail, ne peut s'occuper de ce dont A. Chord souhaiterait l'entretenir.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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La lettre d'Auguste Fabre fait suite à la visite du Familistère par Luigi Luzzatti pendant laquelle ce dernier a exprimé le désir de connaître l'origine des idées qui ont poussé Godin à édifier le Familistère. Fabre a tenu sa promesse de lui adresser par les soins de Marie Moret les « Documents biographiques » qu'elle publie dans Le Devoir depuis février 1897. Auguste Fabre signe la lettre en qualité d'« ancien économe du famillistère de Guise ».

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Demande au comte Collarini de bien vouloir communiquer à Marie Moret l'adresse de Luigi Luzzatti qui a exprimé son désir de recevoir des documents sur le Familistère à l'occasion de sa visite à Guise.

Auteurs : Moret, Marie (1840-1908) ; Fabre, Auguste (1839-1922)
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Marie Moret remercie Juliette Cros pour son nouvel envoi de pêches, lui demande de ne plus se créer d'embarras car les prunes ou poires du pays commencent à abonder, et l'assure que toute la famille, y compris Flore Moret, s'est délectée de son envoi. Elle lui adresse de la part d'Auguste Fabre un exemplaire de la brochure Le Familistère illustré. Elle lui confirme qu'Auguste Fabre quittera le Familistère le 4 septembre 1900, immédiatement après la fête de l'Enfance, pour se rendre au congrès des femmes avant d'aller la retrouver. La famille Moret-Dallet transmet son souvenir à Antoine Médéric Cros. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique à Juliette Cros qu'elle vient de recevoir un nouvel envoi de pêches splendides ; elle la remercie et lui signale qu'Auguste Fabre ose à peine toucher aux fruits pour en laisser le plaisir à la famille Moret-Dallet. Dans le message qu'Auguste Fabre ajoute à la lettre, celui-ci demande à sa fille de l'informer de la réception en bon état de la brochure Le Familistère illustré, et la prie d'envoyer des pêches à Jules Pascaly.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre est chargé par Marie Moret de répondre à la lettre du 3 février 1901 que Georges Leneveu a adressée à la Société du Familistère Colin et Cie. Marie Moret s'excuse de n'avoir répondu à la lettre de Leneveu du 10 janvier 1901 que par l'envoi le 24 janvier suivant de la brochure Le Familistère illustré, dans laquelle se trouve la liste des bibliothèques publiques de Paris possédant une collection du journal Le Devoir. Auguste Fabre indique à son correspondant que Marie Moret n'est pas en mesure de mettre autrement une collection du Devoir à sa disposition.

Auteurs : Fabre, Auguste (1839-1922) ; Moret, Marie (1840-1908)
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Auguste Fabre est chargé par Marie Moret, absorbée par la rédaction des « Documents biographiques », de répondre à la lettre du 8 février 1901 que Jean-Baptiste Noirot lui a écrite, de l'en remercier et de transmettre son meilleur souvenir à lui et à sa famille. Fabre envoie à Noirot un exemplaire du Familistère illustré. Il lui indique qu'il peut en envoyer un exemplaire à Émile Zola si Noirot lui communique l'adresse de celui-ci. Fabre demande à Noirot si c'est lui qui a envoyé à Marie Moret un exemplaire des numéros des 1er et 30 janvier 1901 du journal La Rénovation. La note manuscrite sur la copie de la lettre, de la main de Marie Moret, indique qu'un deuxième exemplaire du Familistère illustré a été envoyé à sa demande à Jean-Baptiste Noirot le 15 février 1901.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre est chargé par Marie Moret de répondre à la lettre du 13 février 1901 que Pierre-Henri Raymond Duval lui a écrite. Fabre envoie à Duval un exemplaire de la brochure Le Familistère illustré, et lui précise que la biographie de Godin rédigée par Marie Moret est publiée depuis 1891 dans le journal Le Devoir, dont des collections se trouvent dans les bibliothèques publiques recensées dans la brochure. Fabre informe Duval que Marie Moret ne peut contribuer à la souscription qu'il propose car tous ses moyens sont consacrés au journal Le Devoir.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre est chargé par Marie Moret de répondre à la lettre de Louis Bertrand du 4 avril 1901. Il fait référence au numéro d'avril 1898 du journal Le Devoir pour indiquer à Bertrand que Godin loua en 1853 des ateliers à Forest avant d'installer son industrie à Laeken en 1858. Il lui signale que des détails sur l'usine de Laeken se trouvent dans la brochure Le Familistère illustré que Fabre a envoyée à Bertrand le 7 mars 1901. Fabre profite de l'occasion pour rappeler à Bertrand sa demande du 7 mars 1901 de photographies de la Maison du peuple de Bruxelles pour servir à des conférences avec projection. Il lui demande en outre s'il sait si Edward Anseele a reçu à Gand la brochure Le Familistère illustré qu'il lui avait envoyée.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre rappelle à Blanche Edwards-Pilliet qu'il l'a rencontrée à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889 grâce à l'avocat Léon Giraud, et qu'il l'avait à nouveau sollicitée à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 pendant le Congrès des femmes organisé par La Fronde. Fabre sollicite un entretien et indique à Blanche Edwards-Pilliet qu'il sera à Paris du 22 au 24 septembre 1901. Il lui explique qu'il s'occupe depuis longtemps de « questions sociales expérimentales » et qu'il a enquêté sur une expérience portant sur l'hérédité humaine qui a duré trente ans, dont il voudrait lui parler. Il demande à Blanche Edwards-Pilliet d'envoyer sa réponse chez Jules Pascaly.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 30 septembre 1899 lui signalant que seule la bibliothèque cantonale de Lucerne est à-même de conserver les collections du Devoir selon le désir de Marie Moret. Elle annonce écrire, sur sa recommandation, à la bibliothèque cantonale de Lucerne pour y servir Le Devoir à titre gratuit, en commençant par le numéro de septembre 1899 et le remercie d'avoir proposé de remettre à la bibliothèque cantonale les numéros reçus du Devoir de janvier 1899 à août 1899.
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