FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 26 juillet 1861
Godin répond à une lettre de Vigerie. Il l'informe que le choix du candidat à l'emploi de comptable n'est pas encore arrêté, mais qu'il a pris sa candidature au sérieux et qu'il lui demandera probablement de s'entretenir avec lui à Paris prochainement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 3 mars 1862
Godin autorise Vigerie à consacrer le temps nécessaire à étudier, avec l'aide d'Alexandre Brullé, les causes des pertes subies par l'usine de Laeken. Sur le compte particulier de Godin à l'usine de Laeken : les quelques meubles ont peu de valeur, et seule la calèche n'appartient pas à l'usine ; les achats ont été faits par madame Godin. Il informe Vigerie qu'il a terminé les tarifs et que les voyageurs sont partis, aussi Vigerie peut-il rester à Laeken le temps nécessaire. Il transmet ses salutations à madame et monsieur Brullé. Dans le post-scriptum, il demande à Vigerie de rappeler à Brullé qu'il doit lui communiquer son besoin en fonte pour passer commande à Cambier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 8 juin 1862
Godin annonce à Vigerie qu'il n'a pu lui répondre avant son départ de Paris. Il lui demande de ne pas perdre son temps à acheter des fournitures pour le Familistère – brosses, éponges, balais de crin et caoutchouc pour lier le papier monnaie – qu'il est possible d'acheter auprès des fournisseurs de l'usine. Il lui remet un plan de cartonnier à faire réaliser chez les Ébénistes associés et lui demande de s'occuper du mobilier de l'asile du Familistère. Il l'informe que madame Piétremont lui a écrit qu'elle ne pourrait pas venir avant un mois et il juge que ce retard nuit à l'éducation des enfants. Il lui demande de s'entretenir avec elle de la manière de meubler l'asile et lui rappelle que des porte-tableaux ont déjà été fabriqués à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 août 1862
Godin envoie à Vigerie une lettre de Delcourt qui ne semble pas avoir renoncé à un emploi. Godin invite Vigerie à aller voir Allez frères pour leur demander le jour de leur visite [à Guise]. Il lui demande d'aller voir Morel qui « ne peut détacher de l'ouvrage complet de la marbrerie les planches qui se rattachent à l'ameublement intérieur des habitations » et propose de lui envoyer d'autres ouvrages pouvant servir de modèle. Dans le post-scriptum, Godin engage Vigerie à aller voir Rogier et Mothes au 20, cité Trévise à Paris pour leur proposer de faire exécuter leurs appareils dans l'usine de Guise, en particulier leur émaillage, et leur demander de lui expédier deux appareils

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 24 août 1862
Sur la nouvelle organisation de l'usine de Laeken. Godin explique à Vigerie que ce n'est pas à Brullé, qui va partir, de prendre des mesures nouvelles. Il indique que Brullé va s'occuper des ventes tandis qu'André ordonnera toutes les dépenses, et qu'il prie André de l'informer des deux procès en cours à Bruxelles. Il demande à Vigerie s'il reste assez de sable de moulage à Laeken pour l'hiver, et de lui communiquer un état du personnel de l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 29 août 1862
Sur la nouvelle organisation de l'usine de Laeken. Godin demande à Vigerie de faire les modifications nécessaires sur le plan comptable pour pouvoir contrôler les opérations depuis Guise. Vigerie l'a informé que l'usine de Laeken dispose d'un stock de charbon pour deux ans : c'est un exemple de mauvaise gestion qui aurait pu être évité si Godin avait été consulté pour l'approvisionnement. Godin recommande de restreindre la fabrication aux produits les plus vendus en Belgique ; il signale que le prix de la fonte diminue en France et en Belgique. Godin explique à Vigerie qu'André peut transformer ce qu'il juge utile, mais qu'il doit préalablement l'informer. « Il faut enfin quand j'irai à Laeken que je ne vois rien de mes yeux dont je n'ai été instruit à l'avance. » Sur l'augmentation du prix du moulage : Godin recommande une augmentation modérée du salaire des mouleurs car celui-ci n'est pas aussi élevé dans les Flandres qu'en France et qu'il n'est pas besoin actuellement d'attirer des ouvriers. Godin indique que les chaudières devront être émaillées chez Doloye-Masson. Il souhaite qu'André lui adresse un rapport sur l'état de l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 6 mars 1863
Godin fait part à Vigerie de son accord avec les changements proposés par ce dernier pour l'usine de Laeken. Il lui annonce qu'il se rendra à Bruxelles le lundi suivant par le train de trois heures avec son fils Émile.

Auteur : Blanchard, O.
O. Blanchard à monsieur A. Vigerie, 26 février 1864
Communique la copie d'une lettre du Comptoir qui renouvelle sa confiance dans la maison J. Delloye, Tiberghien et Cie de Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 2 mars 1864
Godin informe Vigerie que la documentation utile aux voyageurs – circulaires, tarifs et albums – est en cours d'édition. Il envoie à Vigerie un bulletin contenant des informations sur deux maisons de Hollande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin s'attendait à recevoir une lettre de Vigerie, annoncée par « Le Frère ». Il est question de l'application des nouveaux tarifs des produits Godin-Lemaire en Belgique et des remises à consentir sur le prix des marchandises. Sur la vente d'une partie de la propriété de Laeken : Godin veut connaître le prix des terrains et demande à Vigerie de s'en informer auprès d'un boucher propriétaire dans le quartier de l'usine. Sur un certain « V » que Godin juge de peu de mérite. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : à propos d'un agent mystérieux au service des ennemis de Godin : Godin prie Vigerie de demander à Louis d'abandonner son travail pendant deux ou trois jours et de s'informer à son sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 7 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin joint une lettre de monsieur Ackermans, un client, et indique que les remises d'été ne peuvent être en Belgique différentes de celles consenties en France. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : il demande des nouvelles des renseignements attendus sur l'agent mystérieux envoyé de Guise à Laeken : selon Godin, il ne peut s'agir que de Telliez ou Delabarre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 9 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin annonce à A. Vigerie que madame Vigerie a bien reçu ses compliments. Il est question de l'établissement des tarifs des produits Godin-Lemaire en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 10 mars 1864
Sur le tarif de la manufacture. Il est question de l'identification de l'individu suspect venu à Bruxelles enquêter sur la relation entre Marie Moret et Godin : Godin ne croit pas que la personne désignée à Vigerie soit la bonne personne. Godin a appris de Marie Moret que madame Vigerie s'ennuyait beaucoup de l'absence de son mari. Dans le post-scriptum, Godin donne un remède que monsieur André doit appliquer pour soulager ses yeux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 25 juin 1864
Jean-Baptiste André Godin explique à Vigerie qu'il est absorbé par son procès en séparation et qu'il ne peut consacrer du temps qu'aux affaires indispensables. Toutefois, il lui annonce qu'il va faire achever la cheminée et qu'elle sera expédiée à Bruxelles où il la trouvera à son arrivée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 juillet 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin suppose que Vigerie n'a pas reçu la lettre qu'il lui a écrite le 25 juin à l'hôtel de l'Étoile d'Amsterdam car il a, dit-il, appris indirectement le commencement de son procès. Il l'informe que Favre et Hébert ont plaidé pour la première fois, mais que le jugement n'est attendu que dans trois semaines. Godin espère que les foyers et la nouvelle cheminée sont arrivés à Laeken et il attend le retour de Vigerie pour qu'il lui dise quelle impression les objets ont fait sur les poêliers de Bruxelles. Il l'informe que madame Vigerie est arrivée la nuit dernière et était déçue de ne pas le trouver à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1865
Jean-Baptiste André Godin regrette de devoir à nouveau s'absenter au moment où le tarif de la manufacture doit être imprimé. Il prie Vigerie de rentrer rapidement de Laeken. Il lui envoie la somme de 500 F qu'il a demandée. Il est question d'un Victor et d'un Baptiste, qui pourrait être renvoyé.
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