FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteurs : Moret, Marie (1840-1908) ; Dallet, Marie-Jeanne (1872-1941)
Marie Moret à Émilie Dallet, 25 mai 1892
Au sujet des évènements suivant le départ d'Émilie Dallet et Flore Moret à Paris : Marie Moret et Marie-Jeanne Dallet doivent traverser un troupeau pour rentrer à la maison de Lesquielles. En deuxième partie de lettre, Marie-Jeanne s'adresse à sa mère, lui demande de faire attention et de faire part de ses sentiments à « Tante Victoire, à Cousine Adèle et à Eugénie ».

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émilie Dallet, 25 mai 1892
Amitié et tendresses à sa sœur.

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Auteur : Dallet, Émilie (1843-1920)
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Émilie Dallet voudrait des perles deux fois plus grandes que celles que lui a envoyées Jeandé : 1 000 perles blanches et 1 000 perles bleues de 12 mm de diamètre pour faire de petits bouliers compteurs.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme sa lettre de la veille 6 juin 1900 et accuse réception des deux télégrammes l'informant de la bonne arrivée d'Émilie Dallet à Corbeil. Marie Moret invite sa sœur et sa nièce à ne pas s'attarder sur leur correspondance avec elle : il lui suffit de savoir qu'elles vont bien. Elle donne de ses nouvelles : tout va bien à Guise, même brouillard que la veille ; elle échange avec Gaston Piou de Saint-Gilles au sujet de découvertes scientifiques pour « Matière, mode de mouvement ». Le courrier apporte la lettre de « Ti » datée de la veille, une lettre du Bon Marché que Marie Moret joint à celle-ci et un paquet d'imprimés adressés à Marie-Jeanne Dallet. La deuxième partie de la lettre est la réponse à la lettre de Marie-Jeanne Dallet du 6 juin 1900. Marie Moret a transmis la lettre de remerciements de Marie-Jeanne Dallet à Louis-Victor Colin tout en le priant de presser l'envoi d'un cliché à Genève où sa brochure est en cours d'impression. Marie Moret fait la même recommandation que précédemment, d'abréger ses lettres puisque « les particules s'en dégagent... indéfiniment. » Elle accuse réception des impressions envoyées par Marie-Jeanne, déplore le temps « d'un gris de Novembre » mais se réjouit que le « Docteur » soit auprès d'elles à Corbeil. Sur Léon Quent et sur le départ de plusieurs personnes du Familistère pour Paris à la Saint-Médard. Marie Moret espère voir Flore Moret et Héloïse à cette occasion.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de l'édition de la brochure Le Familistère illustré à Genève : Marie Moret confirme sa lettre de la veille, 7 juin 1900 ; elle a reçu une carte de Louis-Victor Colin adressée à Marie-Jeanne Dallet, la prévenant qu'il a demandé à monsieur Waton de Saint-Étienne d'envoyer au plus vite à la Société des arts graphiques de Genève la planche sélectionnée par Marie-Jeanne ; Marie-Jeanne peut donc contacter la Société des arts graphiques de Genève pour donner l'autorisation de reproduction de la planche dans la brochure, de la part de la Société du Familistère et de « Made Vve Godin ». Marie Moret espère que sa nièce et sa sœur s'amusent et se reposent, le temps est moins gris mais toujours froid, les fleurs embaument les jardins et les pompiers et les musiciens sont revenus au Familistère. Elle continue sa lettre à 10 h du matin. Elle accuse réception de la lettre d'Émilie Dallet, ne peut accorder plus de temps à sa correspondante et la prie de ne pas s'y consacrer longtemps non plus. Elle déplore que le temps se gâte. Accaparée par son travail, Marie Moret ne peut dire à sa sœur si elle a senti que celle-ci était en train de lui écrire la veille ; « Ces choses sont si délicates qu'il faudrait n'avoir qu'elles en tête pour les suivre comme il faudrait. » Enfin, elle demande des nouvelles d'Eugénie Louis, d'Adèle Herbron et de Marie-Jeanne Dallet à qui elle transmet sa tendresse.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme sa lettre de la veille. En rentrant d'une promenade avec Héloïse et Flore Moret, Marie Moret a trouvé un télégramme de sa sœur et de sa nièce la prévenant de leur nouvelle adresse : hôtel de Thionville et de Chartres, au 60, rue de Bourgogne à Paris. Une lettre de Jules Pascaly signale que l'hôtel est au numéro 58 de la rue, ce que confirme une vérification dans l'« Évangile Bottin », et qu'il existe également un autre Hôtel Thionville à Paris. Marie Moret espère que cette lettre parviendra bien à sa destinataire. Donne des nouvelles : elle est occupée par son travail et ne fait rien d'autre ; a bien reçu la carte de Marie-Jeanne Dallet, qui parle de promenade au bord de la Seine et de la chaleur, et la lettre d'Émilie Dallet ; ne peut déterminer l'heure de rédaction de la lettre d'Émilie Dallet ; a conversé avec Héloïse de sa famille, de philosophie et de sciences. Elle transmet son souvenir à [Lorraina] et remercie Émilie des nouvelles de leur entourage parisien. Elle la prévient du départ de Jules Demolon et de sa famille à la campagne. Elle espère que Marie-Jeanne Dallet voit ce qu'elle désire et elle demande des précisions sur l'hôtel où elles résident.
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