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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Glatigny, Godon et Curé, 14 mars 1848
Godin écrit à Glatigny, Godon et Curé en qualité de membre actif de la Révolution de février 1848 et de représentant du centre de l'École sociétaire pour les inciter à se présenter aux prochaines élections et leur proposer un plan d'action pour faire campagne auprès des travailleurs : se servir du journal Le Courrier de Saint-Quentin, actuellement disponible, pour faire valoir leurs idées et les diffuser gratuitement dans toutes les auberges et lieux publics du département de l'Aisne. Godin les informe qu'il se rend le lendemain à Saint-Quentin pour réaliser ce projet avec Véran Sabran et qu'il les y attendra jusqu'au 16 mars. Il indique que son adresse sera au Café français.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godon, 2 avril 1848
Godin demande à Godon sa profession de foi pour les élections afin qu'il puisse lui faire ses observations. Il affirme à Godon que le mouvement de l'opinion lui semble favorable et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise. Il envoie à Godon sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires. Godin encourage Godon à se montrer actif à Laon, lui envoie le programme des travailleurs de Guise et espère qu'il fera insérer sa profession de foi et celle de Véran Sabran dans les journaux de Laon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 12 octobre 1846
Sur, semble-t-il, une affaire de contrefaçon des appareils de la manufacture Godin-Lemaire : Godin demande à Godon le renvoi des brevets et des notes qu'il lui a confiés. Sur l'accident de transport de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire survenu le 2 novembre 1845 : demande s'il doit retirer les poêles cassés du lieu où ils ont été déposés, ce qui permettrait de les réparer et de les mettre en vente au moment où commence la saison de la vente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 7 décembre 1846
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin explique à Godon qu'il a fait saisir plus de 60 poêles et cuisinières chez son contrefacteur, qu'il a transporté les objets au greffe du tribunal, que son contrefacteur y a présenté des objets sur lesquels il avait opéré des modifications, que le tribunal a nommé des experts locaux et qu'ainsi leur ami Barral n'a pas été sollicité. Godin transmet ses salutations à Glatigny.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 13 décembre 1846
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin annonce à Godon qu'Oudin-Leclère vient de lui écrire que le contrefacteur Degon a interjeté appel du jugement du tribunal nommant des experts, jugement qu'Oudin-Leclère a envoyé à Godon ; il explique à Godon que Degon et son avoué Larue cherchent à montrer que le procédé n'est pas nouveau et ainsi n'est pas contrefait ; Godin demande à Godon quels sont les droits d'un breveté pour saisir et confisquer des contrefaçons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 26 décembre 1846
Godin demande à Godon de répondre à sa lettre du 13 décembre relative au jugement [du tribunal de Vervins nommant des experts dans l'affaire de contrefaçon Degon].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 19 janvier 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin indique à Godon qu'il voudrait éviter de se rendre à l'audience du tribunal de Laon et il lui communique les renseignements en sa possession sur l'affaire Degon ; Degon a sollicité la nomination d'experts de Paris et a proposé les ingénieurs Chevallier, fabricant de fourneaux rue Saint-Antoine, et Migné ; le procureur du roi n'y était pas favorable ; Godin se méfie des experts car les fabricants d'appareils de chauffage sont ses concurrents ; il fait référence à un article de Jobard sur les brevets paru dans la Démocratie pacifique du 3 janvier 1847 ; Godin a choisi deux anciens élèves de l'École des arts et métiers de Châlons[-en-Champagne], Barbier, agent-voyer à Vervins, et Michon, professeur chez Baudouin, qui ont été nommés par le tribunal ; Godin cherche des renseignements sur le troisième expert désigné par Degon. Godin informe Godon qu'Oudin-Leclère vient d'entrer chez lui et lui dit qu'il devrait se rendre auprès de Godon à Laon le samedi suivant. Godin ajoute qu'au moment où il était question de nommer des experts de Paris et avant qu'il soit décidé à nommer des experts du pays, il avait obtenu l'accord de Barral pour servir d'expert. Il indique qu'Oudin-Leclère lui dit que Degon souhaite écarter un des experts, et il loue la loyauté de Grain aîné.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 21 avril 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande à Godon de voir Deslauriers pour qu'il confirme accepter sa nomination en tant qu'expert par le tribunal de Vervins ; Godin informe Godon que trois nouveaux experts avaient été nommés par le tribunal, mais que deux d'entre eux, désigné par son adversaire [Degon] se sont désistés ; Godin demande à Godon de lui désigner des personnes susceptibles d'être experts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 24 juin 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin informe Godon que Larue a prévenu Oudin-Leclère que les experts doivent se rendre à Guise le 30 juin ; il demande à Godon d'aller voir Deslauriers pour savoir s'il peut venir à Guise le même jour. Godin adresse ses remerciements à Glatigny à propos d'une réunion phalanstérienne à laquelle il n'a pas pu assister.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 21 août 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : par l'intermédiaire de Deslauriers, Godin adresse à Godon deux mémoires qu'il a rédigés et adressés aux experts et lui demande s'ils peuvent être présentés aux juges. Dans le post-scriptum, il semble demander à Godon ses honoraires dans « l'affaire des ponts-et-chaussées ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 30 août 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin écrit à nouveau à Godon après sa lettre du 21 août 1847 restée sans réponse ; il explique que sa prévention à l'égard d'un des experts [Bouchez] était fondée, qu'il se fait accompagner à Guise par un homme d'affaires du Cateau qui est favorable à Degon ; Godin demande à Godon d'examiner les mémoires que lui a transmis Deslauriers ; dans le post-scriptum, Godin demande s'il est possible que Deslauriers et Lecointe interrogent l'expert en question sur la raison de la présence avec lui de cet homme d'affaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 9 septembre 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin répond à une lettre de Godon qui lui signale une équivoque dans le mémoire rédigé pour l'expertise ; Godin assure que les experts ne sont pas des spéculateurs [sans doute l'objet de l'équivoque] et que les spéculateurs sont ceux qui soutiennent Degon ou les concurrents de la manufacture Godin-Lemaire ; Godin ne veut pas croire que Deslauriers a pu prendre comme une insulte le passage concerné de son mémoire, et il demande à Godon de connaître la pensée de Deslauriers à ce sujet ; à la suite d'une remarque de Godon, Godin expose la question de la propriété industrielle contre laquelle il existe beaucoup de préventions ; il défend vigoureusement le caractère novateur de sa production ; il reprend l'exemple de l'étrier utilisé par Charles Fourier [dans le Nouveau monde industriel et sociétaire], un objet si simple qu'on s'étonne qu'on ait mis si longtemps à l'inventer ; Godin montre de l'assurance : « J'ai fait quelque chose dans l'industrie et pour lequel je ne désire rien sinon le bénéfice qu'il doit m'en revenir, car de l'or, il en faut par le temps qui court, même aux hommes qui travaillent à l'instauration du règne de la vérité sur la terre. » ; Godin commente la proposition de Godon de rédiger un nouveau mémoire et lui demande s'il doit l'adresser à Deslauriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 24 septembre 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin adresse à Godon un nouveau mémoire « fait avec dégoût » sur ses prétentions de propriété industrielle ; il demande son avis à Godon et prie celui-ci d'en transmettre un exemplaire à Deslauriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles, Godon, 16 octobre 1847
Godin demande à Godon de retirer pour lui à la Préfecture de l'Aisne un paquet contenant le certificat de son nouveau brevet et il désire savoir si sa demande de prorogation du brevet à 15 ans a été acceptée par le ministre. Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godon a indiqué que Deslauriers s'occupe activement de l'expertise, mais Godin se plaint de la longueur incompréhensible de la procédure ; Godin a d'autant plus hâte de connaître l'issue de l'affaire qu'il a un nouveau brevet à déposer ; « Si l'on pouvait parvenir à nier mes droits au titre d'inventeur, il serait inutile pour moi de les réclamer davantage dans la partie où j'excelle. Je laisserais faire les fabricants d'allumettes, de cigares, de pipes, etc. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jules-Charles Godon, 2 novembre 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin répond à la lettre de Godon du 23 octobre 1847 et lui fait part de son incompréhension quant à la réserve de Godon à son égard. Sur l'expertise des produits de Godin et de Degon : Godin est persuadé qu'elle est de mauvaise foi ; un des experts aurait déclaré qu'il serait satisfait de voir Godin, qui fait 50 à 60 000 F de bénéfices par an, échouer dans ce procès, qu'il fera alors des poêles, que 20 000 F de dommages et intérêts seront alloués à Degon, et que le procès-verbal d'expertise sera rédigé pour empêcher Godin de faire appel ; Godin demande à Godon comment empêcher les conclusions de l'expertise et en obtenir une nouvelle. Le post-scriptum indique que Godin va communiquer à Godon les bulletins des souscripteurs de Laon à la rente de l'École sociétaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 21 décembre 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin informe Godon que les experts sont venus à Guise le samedi précédent, qu'il pensait qu'il serait donné lecture du procès-verbal de l'expertise le dimanche à deux heures à l'hôtel de la Couronne, mais qu'ils étaient déjà partis quand il est arrivé ; Godin craint que l'expertise soit conduite dans la précipitation ; Godin demande à Godon de transmettre à Deslauriers un brevet retiré de la préfecture pour le joindre au dossier que celui-ci lui renverra. Godin salue Glatigny « auquel je vois que le courage ne manque pas pour conduire la ville de Laon dans la voie du garantisme ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jules-Charles Godon, 8 janvier 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin informe Godon qu'il a écrit à Deslauriers pour savoir si le rapport d'expertise serait bientôt envoyé et qu'il n'a pas reçu de réponse ; il se plaint de la lenteur des experts et demande à Godon comment faire avancer l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Jacques-François Glatigny, Jules-Charles Godon et Curé, 14 mars 1848
Godin écrit à Glatigny, Godon et Curé en qualité de membre actif de la Révolution de février 1848 et de représentant du centre de l'École sociétaire pour les inciter à se présenter aux prochaines élections et leur proposer un plan d'action pour faire campagne auprès des travailleurs : se servir du journal Le Courrier de Saint-Quentin, actuellement disponible, pour faire valoir leurs idées et les diffuser gratuitement dans toutes les auberges et lieux publics du département de l'Aisne. Godin les informe qu'il se rend le lendemain à Saint-Quentin pour réaliser ce projet avec Adolphe Sabran et qu'il les y attendra jusqu'au 16 mars. Il indique que son adresse sera au Café français.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 2 avril 1848
Godin demande à Godon sa profession de foi pour les élections afin qu'il puisse lui faire ses observations. Il affirme à Godon que le mouvement de l'opinion lui semble favorable et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise. Il envoie à Godon sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires. Godin encourage Godon à se montrer actif à Laon, lui envoie le programme des travailleurs de Guise et espère qu'il fera insérer sa profession de foi et celle d'Adolphe Sabran dans les journaux de Laon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 4 juillet 1848
Godin annonce Godin qu'il lui adresse par un messager la somme de 100 F pour payer l'annuité du brevet du 15 juillet 1846 et qu'il récupérera le récépissé à l'occasion de son prochain voyage à Laon. Il transmet ses salutations à Jacques-François Glatigny.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 8 avril 1849
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin a appris que l'audience de son procès en appel a été repoussée et il presse son correspondant pour qu'elle ait lieu rapidement. Il lui explique que Degon cherche toujours à montrer que Godin a divulgué ses brevets de 1840 et 1844 avant d'en faire la demande, c'est pourquoi Degon demande aux commerçants les factures de marchandises qu'ils ont achetées. Godin concède que « ceci est fondé jusqu'à un certain point », rappelle à son correspondant qu'ils ont discuté du sujet à l'occasion de la première visite de Godin, qu'ils étaient d'accord pour dire qu'il n'est pas nécessaire de faire la demande d'un brevet avant la mise en circulation du perfectionnement, mais qu'il existe des avis contraires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 26 novembre [1845]
Sur les suites judiciaires à donner à l'affaire de l'accident de transport survenu la nuit du 2 novembre 1845 sur la route de Guise à Leschelle (Aisne) : Godin donne des détails supplémentaires sur la scène de l'accident ; il indique qu'il a pris l'affaire à son compte plutôt qu'en charger le destinataire des marchandises ou le voiturier dont la solvabilité est douteuse, et qu'il souhaite faire condamner l'entrepreneur des travaux ayant causé l'accident à indemniser la marchandise ; Godin donne le détail des pertes. Dans le post-scriptum de la lettre, Godin rappelle à Godon qu'il est une connaissance de monsieur Glatigny et il exprime sa conviction fouriériste : « Dites-lui que j'attends avec impatience l'avènement de la solidarité qui doit unir un jour tous les membres de la grande famille humaine et qui empêchera ces conflits d'intérêts semblables à celui dont je viens de vous entretenir. Les temps approchent. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 6 décembre 1845
Souffrant, Godin a été empêché de s'occuper de sa correspondance pendant plusieurs jours. Sur l'évaluation des dommages causés par l'accident de transport survenu la nuit du 2 novembre 1845 : Godin établit la valeur du matériau des appareils brisés pour estimer une indemnité qu'il préférerait obtenir par négociation plutôt qu'en justice. À propos d'une brochure de Godon et de son intérêt pour la cause sociétaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 16 [décembre 1845]
Sur le recours auprès du préfet relatif à l'accident de transport survenu la nuit du 2 novembre 1845 : Godin communique à Godon le nom de ceux qu'il croit être les entrepreneurs des travaux ayant causé l'accident tout en regrettant que l'administration ne puisse les communiquer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 9 [février 1846]
Sur l'indemnisation par l'entrepreneur Dagobert Espigneaux-Tordeux de La Capelle des marchandises brisées lors de l'accident de transport survenu la nuit du 2 novembre 1845 sur la route de Guise à Leschelle (Aisne) : Godin a refusé d'accepter la somme de 188 F remise par un huissier « pour châtier un peu l'entrepreneur de ses mauvais procédés à mon égard ». Sur les progrès de la théorie sociétaire auprès de la population de la région :  « Nous entrons ici en phase d'apostolat. Des expositions publiques paraissent parfaitement goûtées des habitants de nos campagnes. Nous ne désespérons pas que bientôt cette idée sera dominante chez la plupart et qu'elle doit fait germer en eux une espérance et une foi commune. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 15 avril 1846
Félicitations adressées par Godin à l'auteur des Conseils sur la Royauté à Mgr le comte de Paris. Sur la propagande phalanstérienne. Godin indique que Véran Sabran lui a dit qu'il avait vu Godon et Glatigny au banquet du 7 avril. Paiement d'honoraires de Godon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 26 [août 1846]
Sur un procès en contrefaçon intenté par Godin. Godin rappelle à Godon qu'il lui a déjà parlé de l'affaire et qu'il a chargé Oudin-Leclère, avoué à Vervins, de s'en occuper. Godin explique que le contrefacteur a été employé dans ses ateliers, qu'il emploie un ancien ouvrier de la manufacture pour reproduire des objets brevetés et qu'il prétend que ces objets ne sont pas couverts par les brevets ou qu'il y a apporté des modifications. Godin juge que cette affaire est capitale pour son industrie ; il fait appel à leur communauté d'idées pour demander conseil à Godin. Godin indique qu'il part en Belgique et sera de retour le mardi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godon, 31 [août 1846]
Invitation à une rencontre : Godin semble évoquer l'affaire de contrefaçon industrielle décrite dans sa lettre à Godon en date du 26 août 1846. À propos de l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie Godin-Lemaire à Guise et des difficultés causées par l'administration : Godin demande à Godon s'il peut l'aider. Godin indique à Godon qu'il l'attendra à l'hôtel de la Couronne à Guise le mercredi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godon, 12 [octobre 1846]
Sur, semble-t-il, l'affaire de contrefaçon des appareils de la manufacture Godin-Lemaire : Godin demande le renvoi des brevets et des notes qu'il lui a confiés. Sur l'accident de transport survenu le 2 novembre 1845 : demande s'il doit retirer les poêles cassés du lieu où ils ont été déposés, ce qui permettrait de les réparer et de les mettre en vente au moment où commence la saison de la vente.
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