FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à la famille Ducruet les remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre pour leurs vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et leur adresse les leurs en retour. Santé et travail vont bien à Nîmes et au Familistère bien que Louis-Victor Colin vienne de perdre son père. Elle complimente Henri Buridant dont sa correspondante a peut-être des nouvelles et qui occupe en son absence l'ancienne chambre du couple Ducruet au Familistère près de la sienne. Marie Moret compatit aux deuils de la famille Ducruet et présente son souvenir à ses membres.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à la famille Hanquet les remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre pour leurs vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et leur adresse les leurs en retour. Sur la « gentille » lettre d'Alfred Hanquet du 31 décembre 1899 qu'Auguste Fabre conseille de « garder avec soin ». Elle espère que la santé de madame Hanquet sera rétablie malgré le rude hiver et partage sa joie de la bonne marche des affaires de l'usine, rapportant une plus grosse part à son correspondant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret et Émilie Dallet remercient Henri Buridant pour ses divers envois. Marie Moret demande à son correspondant de trouver dans un des tiroirs de la grande bibliothèque de son bureau au Familistère, deux photogravures sur métal, portraits de Godin publiés dans Le gouvernement et La République du travail, et de les lui envoyer. Elle préconise un emballage supplémentaire pour leur expédition car elles sont délicates à manier, ainsi qu'un envoi en colis postal valeur recommandée de 500 F ou 1 000 F, selon qu'Henri Buridant trouve les deux plaques ou une seule.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à la banque l'ouverture d'un compte bancaire au nom de Marie-Jeanne Dallet, domiciliée au Familistère de Guise, et d'y virer 1 000 F depuis son propre compte courant.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur le mariage prochain de la fille de Marie Dossogne, Aline, avec monsieur Bonnet : Marie Moret espère que Marie Dossogne trouvera en lui un bon fils ; Émilie Dallet et elle l'accompagnent en pensée jusqu'au mariage. Elle lui demande l'âge de sa fille, s'ils ont réussi à avoir le consentement du père et si quelque chose pourrait entraver l'évènement. Marie Dossogne et sa famille étant malades, Marie Moret lui envoie un chèque de 150 F pour l'aider.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre de Marie Dossogne du 25 février 1900 expliquant que rien ne devrait entraver le mariage de sa fille Aline Dossogne. Elle lui envoie à nouveau 150 F dont 50 F d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des divers envois d'Henri Buridant et le remercie pour ses renseignements concernant la voie ferrée de raccordement de l'usine à la gare de Guise et la construction de la passerelle. Au sujet du journal Le Devoir, elle explique vouloir rémunérer monsieur Houdin à hauteur de 0,50 F l'article pour la préparation du « Mouvement des assurances » et de l'« État-Civil » car « tout travail du reste mérite salaire. » Elle prie donc son correspondant de remettre 4 F à monsieur Houdin pour les articles parus depuis janvier 1900 et de lui indiquer le numéro de l'appartement de monsieur Houdin au Familistère afin qu'elle puisse le contacter si besoin. Sur le compte financier du Devoir : au 13 janvier 1900, le compte était créditeur de 138 F mais les abonnements n'ayant pas rapporté assez, Marie Moret envoie 100 F à Henri Buridant pour éviter d'être à découvert à la fin de mars 1900. Elle félicite Marie et Victoire Buridant pour le rétablissement de leur santé et transmet les pensées de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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N'ayant pas été prévenue par Sophie Quet qui n'a pas osé la déranger dans son travail, Marie Moret s'excuse d'avoir raté la visite de madame Guiraut à qui elle devait remettre le linge d'Auguste Fabre et lui propose de repasser le lendemain 16 mars 1900.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet les remerciements de la famille Moret-Dallet pour les divers envois d'Henri Buridant. Plusieurs points concernant le journal Le Devoir : Marie Moret s'occupera des étiquettes ; le numéro de mars 1900 est parti en retard de Nîmes ; elle souhaite offrir à monsieur Houdin l'ouvrage de son choix parmi ceux disponibles. Marie Moret préfèrerait déposer la collection du Devoir à la bibliothèque municipale de Saint-Quentin plutôt qu'à la Société de la libre pensée, ne sachant si elle pourra la conserver. Elle se réjouit de la bonne marche des affaires des magasins et comptoirs du Familistère sous la responsabilité d'Henri Buridant. Sur la crise de croissance de Marie Buridant qui fragilise sa santé. Elle remercie son correspondant de leur avoir donné des nouvelles de monsieur Franqueville et transmet l'approbation d'Émilie Dallet pour l'utilisation de scolymes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre datée du 9 février 1900 et la prévient du prochain retour de la famille Moret-Dallet au Familistère : elle confie aux bons soins de sa correspondante la préparation de leurs appartements et la prie de lui signaler toute observation qu'elle aurait à faire à ce propos. Elle signale qu'elle va répondre à une lettre de Buridant.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Louis-Victor Colin en son nom, celui d'Émilie Dallet et d'Auguste Fabre, pour l'envoi de trois albums et de trois notices. Elle le remercie également des informations contenues dans sa lettre du 10 mai 1900 et transmet les salutations de toute la famille.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Flore Moret de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Une personne attendra Marie-Jeanne Dallet pour la conduire à Corbeil chez des parents où elle prévoit de rester quelques jours pour visiter l'Exposition universelle et faire des promenades. Émilie Dallet l'y rejoindra plus tard, une fois réglées ses affaires au Familistère. Marie Moret, quant à elle, préfère rester « tout à son travail ». Elles ne seront donc que deux à arriver à Guise et Marie Moret prie Flore Moret de se joindre à elles pour le dîner. Elle l'informe qu'elle prévient Eugénie Louis et transmet les salutations d'Auguste Fabre, d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Eugénie Louis de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle va écrire à Henri Buridant pour lui demander de lui avancer si besoin les frais nécessaires à la préparation de leur appartement, qu'elle confie à ses bons soins. Flore Moret est invitée à partager leur repas à leur arrivée mais elles ne seront que trois car Marie-Jeanne restera à Paris dans leur famille pour visiter l'Exposition universelle. Elle prévient sa correspondante de l'arrivée de colis et de malles au nom de Buridant. Marie Moret et Émilie Dallet se réjouissent de revoir bientôt Eugénie Louis et Marie-Jeanne Dallet lui transmet son cordial souvenir. Toute la famille et Auguste Fabre lui envoient, ainsi qu'à mesdames Roger et Allart, leurs meilleures pensées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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La lettre de Marie-Jeanne Dallet du 26 mai 1900 est bien parvenue à Émilie Dallet, Marie et Flore Moret qui l'ont lue avec excitation. Marie Moret donne des nouvelles d'Émilie Dallet qui lui a écrit pour la première fois la veille, 27 mai : son sommeil est bon, « son estomac est d'une gouverne facile ». Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Marie Moret imagine qu'elle se sent comme chez elle chez « cousine Adèle » ; elle se voit à Paris faire les courses aux Grands magasins du Louvre, tout en gérant ses papiers et gérer les urgences au Familistère. Elle demande à sa correspondante l'heure d'arrivée à Corbeil du télégramme envoyé par Flore Moret samedi 26 mai, parti du bureau du Familistère à 5 h. Elle l'informe avoir écrit à Jules Pascaly et au « Principal » pour les prévenir de l'arrivée des membres de la famille Moret-Dallet au Familistère ou à Corbeil. Marie Moret écrit qu'elle doit retourner à ses papiers et souhaite à Marie-Jeanne Dallet de s'amuser à l'Exposition. Avant de terminer cette lettre, Marie Moret relit la lettre de sa correspondante, lui souhaite également « bon tout » et lui fait remarquer la bienveillance d'Émilie Dallet qui n'a pas fait déclouer les caisses de Marie-Jeanne Dallet pour ne pas être tentée de les ranger en son absence. Dans le post-scriptum, elle signale l'arrivée de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet et l'informe qu'Émilie Dallet a vu Héloïse et lui a transmis son amitié. La deuxième partie de la lettre fait suite à la lecture de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet : Marie Moret et Émilie Dallet s'étonnent vivement que leur télégramme du samedi 26 mai, informant Marie-Jeanne de leur bonne arrivée à Guise, ne lui soit pas parvenu. Elles se désolent de l'inquiétude que cela a pu lui causer et Marie Moret lui annonce envoyer au plus vite un télégramme (pour lequel elle va demander un accusé de délivrance) confirmant leur arrivée et l'envoi prochain de cette lettre. Dans le post-scriptum de cette deuxième partie de la lettre, elle accuse réception du télégramme de Marie-Jeanne Dallet daté du 28 mai leur demandant des nouvelles.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Marie-Jeanne Dallet datée du 29 mai 1900 adressée à sa mère, et confirme la lettre envoyée par Émilie Dallet du même jour. Le temps est gris et froid à Guise mais Émilie Dallet et elle se projettent dans la description des promenades de Marie-Jeanne Dallet et lui souhaite de continuer de s'amuser « à plein cœur. » Marie Moret revient sur sa lettre du 28 mai dans laquelle transparaissait sa vive émotion [de n'avoir pu rassurer Marie-Jeanne Dallet de leur bonne arrivée à Guise] mais qu'elle souhaite désormais oublier pour que sa correspondante passe de bonnes vacances. Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Adèle Herbron, cousine de Marie Moret, s'occupe bien d'elle ; visite « aux Beaux-Arts ». Marie Moret donne ensuite des nouvelles du Familistère : réception d'une lettre de Jules Pascaly, sa femme est toujours souffrante ; rencontre avec Héloïse qui transmet ses affectueuses pensées à Marie-Jeanne Dallet et discussion autour de « Matière, mode de mouvement » ; lecture des numéros de la Revue générale des sciences pures et appliquées parus depuis janvier 1899.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Sophie Quet un billet de 50 F pour régler ses appointements de juin 1900. Elle lui demande de ses nouvelles, et des nouvelles d'Auguste Fabre à qui elle a écrit il y a deux jours et encore de madame Pintard. Le temps est mauvais à Guise depuis 15 jours. Marie Moret rappelle à Sophie Quet qu'elle compte sur elle pour entretenir leur appartement à Nîmes.
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