FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Catineau a écrit à Godin le 10 septembre 1881 sur le capital nécessaire à la construction d'habitations unitaires. Le capital doit remplir ses devoirs à l'égard des travailleurs, lui répond Godin : « Un Familistère sans association avec l'industrie n'a guère de raison d'être ». Il lui indique que, suivant le bilan de l'association à paraître dans le journal Le Devoir, le rendement de la partie locative du Familistère a été de 80 000 F, soit plus de 5 %. Godin pense que si l'État construisait des habitations unitaires pour ses ouvriers, il devrait également financer leur protection sociale et la fondation d'écoles comme il le fait pour les communes. Godin explique que le Familistère prélève sur ses bénéfices pour remplir son devoir social, mais il estime que l'État devrait en prendre une part à sa charge : « L'association du Familistère est écrasée d'impôts et l'État ne lui rend rien. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la lettre de Gibout du 11 octobre, Godin lui communique des renseignements sur les écoles du Familistère : écoles libres d'une association industrielle, susceptibles d'être déclarées d'utilité publique, situées au milieu des logements de la population ; l'instituteur habite dans un des logements, paie son loyer, reçoit uniquement ses appointements mais pourrait avoir droit aux assurances mutuelles et à un pension de retraite ; les heures de classe sont de 8 à 9 h, de 10 à 1 h, de 3 à 6 h, et le jeudi après-midi est libre. Godin lui indique qu'il désirerait recruter non seulement un bon professeur mais aussi une personne capable d'organiser l'institution et de lui adjoindre une institution secondaire et un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Godin demande à Gibout de lui écrire la manière dont il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il veut connaître sa situation familiale et souhaite que Gibout lui communique ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Rétout ne puisse trouver le temps pour venir à Guise et découvrir l'association du Familistère ; il lui donne cependant les informations utiles à son voyage en train. À propos des appointements attachés à la fonction de direction des écoles du Familistère. Sur un adjoint [à la fonction de secrétaire] pouvant remplir le rôle de copiste : « Ce qui pourra être le moins agréable pour vous sera de me déchiffrer ; ma rédaction est souvent laborieuse et surchargée. » Sur les émoluments d'une femme pouvant travailler avec Rétout pour l'association du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Fabre a envoyé son titre d'épargne pour que les intérêts statutaires y soient inscrits. Godin fait observer à Fabre que les statuts prévoient que les bénéfices soient répartis selon les services rendus, que Fabre doit sa position aux services que l'association du Familistère espérait qu'il rendrait dans le futur, que ces espérances ont été déçues et que sa situation n'est pas clairement statutaire. Il demande à Fabre d'estimer ce qui lui revient et souhaite se mettre d'accord avec lui avant de porter l'affaire devant le conseil de gérance.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin déclare à Carret qu'il ne peut lui venir en aide : « C'est assez pour un homme d'avoir fondé l'association du Familistère, je ne me sens pas la possibilité d'en fonder un autre. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Égloff, candidat à un emploi, que la discrétion demandée par ce dernier l'a empêché de se renseigner sur son compte. Il précise que ses prétentions salariales ne s'opposent pas à son admission dans l'association du Familistère à condition qu'il puisse se renseigner sur ses qualités et son caractère. Il lui propose d'avoir un entretien avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Amelia Hope Whipple pour sa lettre « réconfortante » du 13 novembre 1881. Il la complimente pour être une des rares à comprendre la doctrine de la vie et le sens de l'association du Familistère. Sur l'absence regrettable des « Notions préliminaires » dans la traduction américaine de Mutualité sociale par madame Bristol. Sur le projet d'Amélia Hope Whipple de rééditer Papa's Own Girl sous un titre différent et Mutualité sociale en anglais et la proposition de Godin de lui communiquer la traduction du livre par Edward Vansittart Neale, son premier biographe. Sur le couple Howland : Godin apprécie Marie et Edward Howland, mais aurait eu du mal à communiquer avec elle en anglais si elle était venue visiter le Familistère avec madame Bristol. Il lui demande si elle sait lire le français et si elle a lu Solutions sociales. Sur la communication spirituelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Thomas Bowden Green pour sa lettre du 30 décembre 1881. Il lui indique qu'il lui fait la même réponse qu'à Francis Walter de Winton : ne sachant pas l'anglais, il ne peut lui envoyer des articles pour le futur journal de la National Thrift Society, mais accepte de le voir emprunter tout ce qu'il désire au journal Le Devoir. Pour répondre à sa demande de renseignements sur le Familistère, il lui adresse la brochure de Neale, Associated Homes, et il lui signale que The Cooperative News de Manchester a publié une étude complète de Neale sur le Familistère, que ce dernier a étudié sur place. Il décrit sommairement le système de certificats d'épargne de l'association du Familistère. Il lui adresse son livre Mutualité sociale, qui a été traduit en anglais par Louis Bristol sous le titre The Association of Capital with Labor et édité par The New York Women's Social Science Society au Cooper Institute.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Viganò du 7 décembre 1881 et de sa carte postale. À propos des articles de Charles-Mathieu Limousin sur le Familistère et sur les éventuels imitateurs de Godin. Sur une invitation de Viganò à séjourner chez lui en Italie. Godin transmet à Viganò les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Neale que l'on veut éditer Solutions sociales et rééditer Mutualité sociale en anglais aux États-Unis. Il le prévient qu'Amelia Hope Whipple, la présidente de la New York Women's Social Science Society, va lui écrire pour lui demander l'autorisation de publier la traduction qu'il a faite d'une partie du livre [les « Notions préliminaires ». Il lui demande d'envoyer la traduction à Amelia Hope Whipple au 24 Cooper Institute à New York. Il lui explique que Whipple a réuni les fonds pour envoyer madame Bristol au Familistère, et que ce voyage a été la cause de la traduction de Mutualité sociale à New York. Godin demande à Neale des renseignements sur le régime de la propriété foncière et immobilière à Londres, en Irlande, en Écosse et en Angleterre. « Ici, tout va bien, les lueurs de l'association percent petit à petit les ténèbres de mon personnel et cela suffit pour qu'il règne ici un bon état d'esprit général de satisfaction. » Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre que Marie Howland a écrite en français et l'assure qu'elle n'a pas à craindre, comme elle l'a exprimé auprès de Marie Moret, que ses lettres le dérangent. Sur la régénération du monde, le dévouement, le sacrifice de soi. Sur la prétendue sévérité des statuts de l'association du Familistère. Il informe Marie Howland qu'Amelia Hope Whipple a l'intention d'éditer prochainement Solutions sociales et Mutualité sociale et qu'il a le désir de mettre à jour l'ouvrage. Il demande à Marie Howland si des objections se sont présentées à son esprit à la lecture des premières sections du chapitre XII du livre. Sur Charles-Mathieu Limousin et son article dans le Journal des économistes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Lucinda Chandler du 4 février 1882. Sur la science sociale et la connaissance vraie des lois qui président aux besoins de la vie humaine. Il répond aux 12 questions de Lucinda Chandler sur les différents aspects de l'association du Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie la maison Colombier de lui recommander Jules Courtin pour un emploi dans la Société du Familistère de Guise. Il prie la maison Colombier de demander à Courtin de se mettre en relation avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Poulet qu'il accepte de l'employer au sein de la Société du Familistère de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à lettre de Marbeau du 12 mars 1882 : il l'informe que la fondation légale de l'association du Familistère n'a pas modifié les dispositions prises pour l'éducation et l'instruction de l'enfance, et qu'ainsi la nourricerie et le pouponnat sont toujours tels que décrits dans Solutions sociales et dans La richesse au service du peuple.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Courtin son âge et pourquoi il veut quitter un établissement dans lequel il occupe une position importante. Godin le prévient qu'il ne veut pas donner davantage que 500 F d'appointements par mois, mais il lui donne l'exemple d'un conseiller de gérance de l'association du Familistère percevant, outre ces 500 F mensuels, une part de bénéfices de 11 000 F, soit en tout un revenu de 17 000 F par an ; il précise que l'emploi auquel il aspire donne droit à l'entrée au conseil de gérance et que la part de bénéfices est versée en titres de propriété dans l'association. Il lui envoie le livre Mutualité sociale qui contient les statuts de l'association coopérative. Il lui demande quelle est sa situation familiale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Drivon du 4 avril 1882. Drivon, une connaissance de Fauvety, a le projet de fonder un journal et de se créer des ressources par ce moyen. Godin l'en dissuade. Il lui explique qu'il ne peut lui tendre la main que dans la mesure où il deviendrait un collaborateur de l'association du Familistère. Il lui demande s'il a l'intention de remplir une fonction dans l'association, quelles sont ses prétentions salariales et d'autres références que celles qu'il lui a communiquées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ollinet qu'il a répondu à la demande d'Ernest Létrier. Il précise que Létrier a pris l'engagement de respecter les statuts de l'association en devenant membre de celle-ci.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Denneulin, candidat à un emploi dans la Société du Familistère de Guise, quel est son âge et quels sont les appointements auxquels il aspire. Il le prie de lui communiquer ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Vallière qu'il l'accepte définitivement pour occuper un emploi dans la Société du Familistère, à compter du 1er juin 1882.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hüe-Druez que les emplois disponibles actuellement dans la Société du Familistère sont rémunérés de 250 à 500 F par mois en fonction de la capacité et de l'activité des personnes. Il lui demande de lui faire connaître les aptitudes et les prétentions salariales de son candidat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la lettre de Mouttet du 31 mai 1882, Godin lui adresse un livre sur l'état actuel de l'Association du Familistère en plus de celui qu'il demande. Sur Swedenborg et la pratique sociale de l'amour du prochain.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Th. Déret que le Familistère de Guise loge une population industrielle de 1 200 personnes, que les écoles sont fondées depuis 20 ans pour les enfants de 7 à 14 ans, que chaque classe a son professeur et compte 35 élèves de même âge des deux sexes, que les professeurs ont 7 heures de travail par jour et que leurs congés sont réduits à une semaine en septembre et un ou deux autres jours. Il ajoute que l'association cherche la stabilité des professeurs. Il lui demande ses prétentions salariales, compte tenu que le loyer, le chauffage ou l'éclairage de son logement seraient à sa charge. Il précise que les instituteurs et institutrices peuvent devenir membres de l'association. Il lui demande de lui donner les moyens de se renseigner sur lui et sur sa femme si elle est candidate à une fonction vacante.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prie Falaize de faire le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère. Il lui demande de clore l'affaire entre son fils Émile et la Société du Familistère concernant des biens que celui-ci doit restituer : Godin explique à Falaize qu'une grande pièce de terre est encore occupée par une briqueterie que son fils a fait édifier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Falaize s'il a fait le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Tisserant du 28 décembre 1882. Tisserant est de retour à Nancy mais devra se remettre en voyage sous peu. Godin accuse réception du Progrès de l'Est contenant le travail de Tisserant, à qui il fera adresser le journal Devoir à Nancy pendant quelques semaines. Il lui indique que le prochain numéro du Devoir annonce sa nomination à la qualité d'officier d'Académie et d'officier de la Légion d'honneur. Sur le procès avec le duc de Padoue. Sur l'augmentation des salaires du personnel de la Société du Familistère et la constitution de l'assurance des retraites en 1871. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prend des nouvelles de la santé de Tisserant. Il lui envoie une carte qui lui a été adressée au Familistère. Il lui annonce que « ces dames » [Marie Moret et Émilie Dallet] lui envoient par ce courrier le texte des conférences 4, 5 et 6 faites par Drivon et relevées par Marie Moret. Il lui annonce qu'il trouvera dans le journal Le Devoir l'information que le conseil de gérance du Familistère a été complété par trois membres élus. Il lui indique que le comité de conciliation sera nommé le 15 février 1883. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin souscrit à des obligations de la Compagnie du canal interocéanique de Panama en son nom et au nom de Marie Moret, dont les versements sont à débiter du compte Godin et Cie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Foucart qu'il pense que l'association du capital et du travail qu'il a fondée pourrait connaître des difficultés après sa mort, et qu'il voudrait le consulter pour savoir s'il faut modifier les statuts de la Société du Familistère, qu'il lui envoie. Il lui propose d'aller lui en parler à Valenciennes.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Neale du 25 octobre 1883. Godin et Marie Moret remercient Neale pour sa traduction, du bilan de la Société du Familistère dans The Cooperative News du 27 octobre 1883. Il lui indique que ni lui ni Marie Moret ne connaissent madame Imogene Fales de New York.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'adresse à des personnes ayant présenté à monsieur Mazoyer leur candidature à un emploi. Godin décrit aux candidats ce que comprend la Société du Familistère : deux usines à Guise et à Laeken employant 1 500 à 1 600 personnes, et un palais d'habitation où vivent 1 800 personnes. Il leur explique qu'il veut adjoindre au conseil de gérance de la Société « une capacité apte tout à la fois aux affaires industrielles et commerciales, à la production, à la vente et à la direction générale ». Il énonce les critères de choix de la personne devant remplir cette fonction et leur demande de répondre à sa lettre en lui donnant le moyen d'apprécier leurs qualités.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prie Paul Foucart de lui fournir des renseignements sur les capacités d'un candidat à un emploi qui a été employé par lui pour des affaires contentieuses importantes. Il lui renouvelle sa demande du 8 octobre dernier au sujet d'une consultation relative à la Société du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Hergot qu'il consent à ce qu'il fasse un essai rémunéré 600 F par mois. Il lui propose de rédiger un mémoire sur la fonction d'administrateur-gérant de la Société du Familistère de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Hergot qu'il peut venir au Familistère au début de l'année et il l'avertit que sa venue n'engage pas la Société du Familistère à lui confier définitivement la fonction pour laquelle il va faire un essai.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au Comptoir d'escompte de lui communiquer la liste des titres qu'il a en dépôt à la banque. Il lui demande de souscrire le 12 février à l'emprunt de 3,5 % : 900 F au nom d'Émilie Dallet et 1 200 F au nom de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Paul Foucart : le numéro du 5 septembre 1880 du journal Le Devoir contenant la reproduction de la publication faite dans le Courrier de l'Aisne avec l'enregistrement et la légalisation de la signature du rédacteur en chef ; la copie de l'extrait du Moniteur belge du 30 août 1880 comprenant les noms des signataires de l'acte de fondation de la Société du Familistère ; le dernier bilan de l'association du Familistère paru dans Le Devoir du 14 octobre 1883. Il lui signale qu'il lui a envoyé la veille Mutualité sociale, Mutualité nationale et le prochain numéro du journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Briquet du 20 avril 1884 relative au coût de remise en état par la Société du Familistère d'un logement occupé depuis 15 ans.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin doute que le jeune dont lui parle Nicot, qui ne sait ni bien parler ni bien écrire le français puisse convenir aux emplois supérieurs offerts par la Société du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une modification à faire aux statuts de l'association du Familistère : comprendre dans le partage des bénéfices les 25 % affectés au fonds de réserve ; augmenter à 6 millions le capital de la Société ; réduire à 4 % (au lieu de 12 %) sa part dans les bénéfices de la Société ; augmentation du nombre de conseillers de gérance. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 13 et 14 juin 1884. Il lui annonce que Bernardot a répondu à sa lettre relative à Boucher et qu'il lui retourne une lettre de Pouillet. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la suite de la lettre de Crétien du 2 juin 1884, Godin lui envoie des bulletins. Il l'informe que la Société du Familistère dispose de tous les capitaux dont elle a besoin, qu'il n'est pas possible d'y placer des fonds, et qu'elle ne peut accepter des membres qui ne lui apportent pas un concours utile dans ses opérations. Il le dissuade de venir au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une décision judiciaire : Godin se plaint d'être condamné à payer des dommages et intérêts à celui qui l'a volé parce qu'il est un socialiste novateur. Sur la modification des statuts de l'association du Familistère destinée à la préserver des ambitions de ses héritiers : Godin informe qu'il doit résoudre des difficultés légales avant de faire appel à Tisserant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 19 septembre 1884. Il lui indique que le journal Le Devoir sera échangé avec Le Patriote de l'Est. Sur une modification des statuts de l'association du Familistère destinée à prévenir la dissolution de la Société du Familistère par son fils. Sur les honoraires dus à Pouillet pour ses plaidoiries au tribunal d'Amiens et à celui de Nancy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Thouvenin-Lesieur que le certificat d'épargne dont il parle dans sa lettre du 21 novembre n'est pas cessible ni endossable, et qu'il ne peut être vendu que sur autorisation du conseil de gérance de la Société du Familistère à la demande de monsieur Chevyer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant qu'il fait désormais expédier le journal Le Devoir à sa nouvelle adresse au 26, rue de Toul. Il lui adresse un exemplaire des statuts de la Société du Familistère ; il lui promet de lui envoyer prochainement les modifications aux statuts envisagées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Landrieux que la Société du Familistère n'a pas de maison de retraite mais qu'elle fournit une pension nécessaire à l'existence aux vieillards et aux invalides du travail qui sont membres de son association.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Peynet-Robin du 6 janvier 1885 lui demandant des renseignements sur l'organisation pratique de la participation des ouvriers aux bénéfices. Godin lui répond que ce qu'il a fait pour deux usines employant 1 500 personnes ne peut se comparer avec une participation aux bénéfices de 5 ouvriers comme l'envisage Peynet-Robin. Il lui conseille de calculer les bénéfices de son atelier et de rédiger une convention avec ses ouvriers. Il lui envoie une étude sociale sur la Société du Familistère de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Jannon que les statuts de la Société du Familistère, qui embrasse toute l'étendue des besoins et services d'une population de 2 000 personnes, ne peut s'appliquer à une petite société coopérative de consommation. Il lui fait des recommandations pour l'administration d'une telle société coopérative.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 11 février 1885. Godin propose à Tisserant de venir séjourner au Familistère pour approfondir les questions relatives à la modification des statuts de la Société du Familistère. Godin lui indique qu'il pourrait indemniser le temps consacré par Tisserant à cette affaire.
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