Envoie un chèque de 25 F pour l'abonnement du journal Le Devoir à la Société des gens de lettres.

Envoie un chèque de 36,75 F pour la commande de vinaigre de Pennès, de poudre de camphre, de poudre de savon de Raspail, de brillantine et de vaseline.

Envoie un chèque de 6,35 F en règlement de la facture envoyée le 20 décembre 1894. A pris note de l'indication concernant les goupilles de cristal. En post-scriptum, accuse réception des produits.

Accuse réception des bottines dont elle espère être contente à l'usage et envoie un chèque de 53,85 F pour solder la facture.

Envoie un chèque de 10 F pour solder la facture du 18 décembre 1894. Demande un accusé de réception.

Demande l'envoi à Nîmes de 2 000 F en billets de banque français à prélever sur son compte. Demande des renseignements sur la réputation de la banque Offroy et Cie.

Envoie un chèque de 43 F pour solder la commande du 16 janvier 1895.

Accuse réception des objets commandés le 16 janvier 1895 et envoie un chèque de 47,75 F pour solder la facture. Signale qu'une des boites de savon poudre a été mal emballée.

Remercie Em. Terquem de ses renseignements sur les machines à écrire mais préfèrerait une machine silencieuse. Souhaite recevoir bientôt Zugassent's discovery. Sur un défaut d'édition de l'ouvrage The Life, times and labours of Robert Owen. Envoie un chèque de 7,60 F pour la commande de 4 ramettes de papier pelure glacé et collé.

Envoie un chèque de 6,85 F pour une commande de 6 blocs serviettes indispensables.

Envoie un chèque 18,85 F pour une commande de pots de pommade Barral.

Envoie un chèque de 37,05 F pour solder la facture du 27 février 1895.

Accuse réception des bottines commandées le 8 mars 1895 mais les trouve encore justes en largeur. Demande à ce que la paire de pantoufles commandée le 21 mars 1895 soit plus large. Une fois ces dernières reçues, elle commandera une deuxième paire de bottines. Envoie un chèque de 50,85 F pour solder la facture du 25 mars 1895.

Envoie un chèque de 20,50 F pour la commande de vinaigre de Pennès, de brillantine, de brosses à dents et de pommade Barral, à expédier à Nîmes.

Envoie un chèque de 10,70 F pour la commande de 2 mètres de tulle pour voilettes ainsi que les échantillons des tulles qui ont été envoyés.

Envoie un chèque de 6,85 F pour une commande de 6 blocs serviettes indispensables.

Envoie un chèque de 58 F pour le renouvellement annuel de son abonnement au Temps.

Accuse réception des pantoufles commandées le 21 mars 1895 et envoie un chèque de 35,85 F pour solder la facture. Se plaint des pantoufles, trop courtes et pas assez larges. Commande une nouvelle paire de bottines qui devront respecter les mesures indiquées sous peine de voir leurs rapports cesser, à expédier à Nîmes avant le 17 mai 1895 ou au Familistère après cette date.

Moret autorise, en tant qu'administratrice gérante de la Société du Familistère, légataire à titre universel de Jean-Baptiste André Godin, la veuve d'Émile Godin à toucher la somme de 111 188,75 F, reliquat du compte de Jean-Baptiste André Godin dans la Société du Familistère. Cette somme pourra être reconsidérée lors du partage définitif.

Marie Moret transmet les consignes qu'elle a données à Offroy et Cie concernant ses valeurs Panama dans son courrier du 19 janvier 1887.

Marie Moret transmet les consignes qu'elle a données à Offroy et Cie dans son courrier du 26 janvier 1887 concernant ses valeurs Suez à immatriculer en son nom comme épouse séparée de biens de Godin.

Marie Moret envoie un chèque de 476,95 F et passe commande de plusieurs pièces de linges de maison.

Marie Moret envoie un chèque de 54 F et passe commande de douze paires de gants.

Envoie un chèque de 73,35 F et commande de plusieurs produits (trousse dentaire, brillantine de Gœmmer, brosses à dents, eau orientale, poudre orientale) ainsi qu'un Manuel annuaire de la santé.

Envoie un chèque de 81,20 F et commande plusieurs produits (alcool camphré, eau sédative, ammoniaque…) ainsi qu'un Manuel annuaire de la santé.

Envoie un chèque de 45,55 F et commande plusieurs articles : démêloirs, brosses à cheveux, brosses à peigne. Elle demande le prix d'autres articles : ciseaux, cure-oreilles, rasoirs et sollicite l'envoi du catalogue.

Marie Moret envoie un chèque de 40,75 F et commande un miroir identique à celui commandé précédemment.

Marie Moret envoie un chèque de 259,15 F et passe commande de coussins, tabourets et tapis de table.

Marie Moret accuse réception du corsage bleu réparé et envoie un chèque de 100 F sur Offroy et Cie ; elle retourne aux sœurs Piat des dessins de jaquettes et les échantillons de gris.

Marie Moret remercie son correspondant pour les documents sur la construction du canal maritime de Manchester, à propos duquel elle avait sollicité Johnston. Puisque la souscription aux actions du canal est close, elle voudrait savoir s'il existe un marché des valeurs du canal de Manchester comme il en existe un pour le canal de Panama ou celui de Corinthe, renseignement que son banquier n'a pas encore obtenu d'Angleterre.

Marie Moret informe Fourcy qu'elle a chargé la banque Offroy et Cie de lui remettre 10 000 F, remboursables à vue et bénéficiant d'un intérêt de 2 %.

Envoi d'un chèque de 564 F sur la banque Offroy et Cie en règlement d'une facture.

Envoi à Piat sœurs d'un chèque de 367,25 F.

Marie Moret annonce à Ganault qu'elle envoie à Offroy et Cie des coupons de titres de rente pour en encaisser le montant et en créditer le compte de Godin. Sur la modification des statuts de l'Association du Familistère : Tisserant doit lui confirmer la légitimité de la modification de l'article relatif au titre d'associé ; elle le prévient qu'elle lui soumettra ainsi qu'à Tisserant le projet de lettre qu'elle va écrire à Vavasseur sur ce sujet. Elle l'informe que Bernardot est allé à Vervins et a vu Falaize à propos de la succession de Godin : elle a écrit à Falaize que seul Ganault, en qualité d'exécuteur testamentaire, a le pouvoir de lui donner des instructions sur la succession de Godin. Elle demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 25 février 1888 relative au mausolée de Godin. Sur le chantage exercé par Marcel Laporte : Marie Moret raconte à Ganault que Marcel Laporte, fils naturel prétendu d'Émile Godin, a demandé si une part lui avait été réservée dans le testament de Godin, qu'il est venu à Guise lui apporter une lettre de menaces en vue d'obtenir quelque chose ainsi qu'un article de lui contre Godin refusé par le Nouvelliste et qu'il a écrit une nouvelle lettre de menaces à son retour à Alger ; elle demande à Ganault comment empêcher le chantage exercé par Laporte ; elle rapporte que la veuve d'Émile Godin aurait proposé 1 000 ou 2 000 F à Laporte pour récupérer des lettres par lesquelles Émile lui aurait promis 10 000 F ; elle précise que Laporte est employé à la compagnie du chemin de fer Paris, Lyon, Méditerranée et se demande s'il faut saisir le procureur de la République ou avertir son employeur. Elle transmet à Ganault le souvenir d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Marie Moret informe Ganault qu'Offroy et Cie ont encaissé les coupons de rente 2 % et en ont crédité le compte de Godin mais qu'ils sont soulevé la question d'une répartition. Elle remercie Ganault de ses indications sur ce qui se passe du côté de Falaize et sur Marcel Laporte et son article ignoble contre Godin ; elle lui annonce qu'elle pourrait transmettre un double des documents à la gendarmerie de Guise et au procureur de Vervins si Marcel Laporte revenait à Guise.

Sur un transfert d'argent de vingt mille francs de son compte courant à la Société du Familistère sur son compte personnel chez Offroy et Cie.

Au sujet du transfert de vingt mille francs du compte de Marie Moret chez Offroy et Cie vers son nouveau compte courant à la Banque cantonale de Berne.

Envoi de 58 F pour le réabonnement de Marie Moret au journal Le Temps et la continuation de l'échange avec d'une valeur de 10 F.

Accuse réception de la montre et de la facture. Envoi d'un chèque de 395,75 F.

Envoi d'un chèque de 25 F pour solder l'abonnement du journal Le Devoir à la Société des gens de lettres. Remerciements pour l'envoi du Petit Chose d'Alphonse Daudet.

Accuse réception de la lettre de la veille, des produits demandés et envoi d'un chèque de 71,85 F en règlement de la facture.

Accuse réception du chapeau commandé et envoi d'un chèque de 65 F pour solde de la facture du 16 octobre.

Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet à Paris, du 21 au 30 octobre 1892. Informe de l'envoi d'un chèque de 370 F pour solde de la facture du 19 octobre. Accusé de réception à envoyer chez Pascaly.

Envoi d'un chèque de 29,40 F pour une commande de six paires de gants.

Envoie un chèque de 50,85 F pour solder la facture du 3 mars 1896.

Envoie à Fortin et Cie le bon-à-tirer pour le papier à lettre demandé en 500 exemplaires ainsi qu'un chèque de 10,18 F pour solder la facture de la commande, à expédier au Familistère de Guise.

Envoie un chèque de 58 F pour son réabonnement au journal Le Temps avec lequel Le Devoir procède à l'échange, compté pour une valeur de 10 F.

Envoie un chèque de 52,18 F pour solder la facture de la commande de brillantine du 28 avril 1896 et une nouvelle commande de plusieurs produits de soin et d'hygiène.

Envoie un chèque de 17,35 F pour la commande d'une paire de lunettes simples, verres n° 56.

Demande à Fortin et Cie de régulariser le paiement de la facture reçue le 19 mai 1896 pour laquelle elle leur a envoyé un chèque le 6 mai 1896.