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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 5 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'informer Delorme que le préfet a répondu qu'il ne pouvait honorer son invitation car il s'était engagé auprès de Chenest, et qu'en conséquence il ne se rendra pas à Guise pour la révision.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 16 novembre 1872
Sur la liste des électeurs des prudhommes. Sur une expertise. Sur les expéditions : Godin juge que « c'est franchement un peu tard, depuis 6 mois que je demande à tout le monde de considérer cela comme le fait capital de cette année ». Sur des modèles faits pour Maraille : Godin reproche à Denisart de n'avoir pas été consulté sur la confection de ces modèles. Dans le post-scriptum, il demande à Denisart d'expédier à Cayla à Cahors les accessoires du calorifère n° 2 et ses commandes antérieures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles-Louis Barreswil, 2 janvier 1867
Godin envoie à Barreswil 10 F pour sa cotisation à la Société de protection des apprentis et les enfants des manufactures. Il lui communique l'adresse de quelques adhérents potentiels : Chenest et Fouan, filateurs à Guise, et Charlier, Painvin, Bas et Cie, fabricants de sucre à Flavigny. Sur l'affaire Jacquet : Godin indique à Barreswil qu'il a proposé un arbitrage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 8 mars 1862
Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin informe Collin que le Conseil d'État doit se prononcer le 11 mars sur le tracé du chemin de fer, mais qu'en raison de ses affaires, il ne rejoindra Chenest à Paris que si nécessaire. Il lui indique que les gens de Cambrai se rendront également à Paris et qu'il pourrait lui aussi y retrouver Chenest au 23 rue des Jeûneurs dans la maison de commerce de Bernoville frères.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 13 mai 1861
Godin informe Collin que lui et Wallerand se sont abstenus de toute démarche car ils ont appris que la commission d'enquête se proposait d'agir seule, et que Demadrier, Besson et Chenest ont demandé audience au ministre et non à l'Empereur, de laquelle rien n'est sorti : « La vanité et les questions de personnes sont toujours à la traverse de l'intérêt véritable des questions. Cela sera sans doute cause que la démarche collective des intéressés du Nord et de l'Aisne que nous aurions voulu organiser n'aura pas lieu auprès du Gouvernement. » Godin ajoute qu'il a appris dans les bureaux du ministère que la question de ce chemin de fer ne resterait pas longtemps en suspens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 février 1874
Godin informe Émile qu'il ne faut pas accepter les propositions comme celle de monsieur Berlinguet et qu'il fait respecter les règles communes à tous les marchands. Il lui annonce qu'il a répondu à Amédée Moret sur l'affaire avec la maison Jouin et Cie. Il autorise à livrer dès maintenant aux clients les marchandises constituant la remise de fin d'année, dans la mesure où beaucoup de marchandises se trouvent actuellement dans les magasins. Sur une réponse à Vison. Sur un changement dans les heures de repas et de travail : obtenir l'assentiment des ateliers. Sur l'éclairage de la ville de Guise par Chenest. Sur le conseil donné aux voyageurs d'annoncer de fortes baisses, attribué à Delaruelle. Godin approuve l'augmentation des appointements de Dequenne à 300 F par mois et l'augmentation de 25 F par mois des appointements de Lesne ; il suggère à Émile d'annoncer à Lesne qu'un autre que lui doit prendre la place d'Alfred Denisart en qualité de chef de la comptabilité. Sur le tarif. Godin souhaite qu'Émile dise à Denisart qu'il s'occupera lui-même de la répartition concernant le personnel ; il demande que le compte de Denisart lui soit soumis en détail afin de savoir s'il est possible de lui faire cadeau d'un album avant son départ ; il demande à Émile s'il s'est entendu avec Denisart au sujet de ses jalousies. Dans le post-scriptum, Godin demande à Émile quel est le prix de location des logements de Denisart, de Grebel et de Pernin ; il indique que le logement de Denisart est demandé par plusieurs personnes et qu'il compte l'attribuer au plus offrant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 décembre 1870
Sur la fourniture à Émile d'épinglettes en cuivre pour faire des chaînes. Godin a reçu 14 épinglettes et en envoie 13 à Émile par la poste. Il lui fait remarquer qu'on ne peut faire fortune avec cela : une épinglette, qui pèse 10 grammes, coûte 10 centimes et on ne peut les fabriquer en grande quantité. Godin explique à Émile qu'il a demandé une permission à Chenest pour que l'ouvrier qui fabrique ces chaînes, qu'il emploie sur ses métiers à tisser, s'y consacre entièrement ; il lui annonce qu'il ne peut faire que 250 épinglettes par semaine, mais qu'il lui a demandé d'apprendre à ses enfants à en faire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 8 mars 1862
Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin communique à Wallerand deux mémoires qu'il demande. Il lui explique qu'en raison de ses affaires, il ne rejoindra Chenest parti à Paris pour la réunion du Conseil d'État qu'en cas d'absolue nécessité. Il expose son opinion sur la question du tracé du chemin de fer : seules les chambres de commerce de Lille et de Dunkerque se sont ralliées au tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord dans l'espoir d'un chemin plus direct que celui par Busigny ; la Compagnie ne semble pas décidée à mettre en œuvre le prolongement souhaité de la ligne qu'elle sollicite et « elle est maintenant seule contre l'unanimité des populations et des intérêts du commerce les plus vrais et les plus étendus » ; le principal argument en faveur du tracé par Guise est celui de l'unanimité des conseils municipaux et des chambres de commerce de Saint-Quentin, Cambrai, Mézières, Laon ainsi que les résolutions des conseils généraux ; sans la Compagnie du chemin de fer du Nord ou plutôt sans Rothschild, le tracé par Guise l'emporterait. Dans le post-scriptum, Godin indique l'adresse à Paris de Chenest, 23 rue des Jeûneurs.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin tient Odilon Barrot informé de la propagande électorale. Le canton de Wassigny attendait la candidature d'Alexandre Chaseray, qui s'est présenté à toutes les élections depuis 1848 et rassemblait une petite minorité de 2 000 voix environ. Il communique à Barrot la copie de la lettre que Chaseray lui a écrite et l'encourage à lui écrire. Il lui indique que le canton de Wassigny se mobilisera sur son nom, qu'il emploie 900 ouvriers à Guise et que Chenest, qui en emploie un certain nombre, se croit des devoirs envers lui malgré ses relations avec Besson. Il l'informe que le comité va le lendemain visiter Sains et La Capelle et lui demande des noms de personnes dans les cantons d'Aubenton, de Rozoy et de Marle. Il remet à Barrot une note extraite du Journal de l'Aisne relative à la candidature de Piette.
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