FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 2 octobre 1849
Godin annonce à Daverdoing qu'il vient d'expédier la cuisinière destinée à Pelgrin. Il indique qu'il attend une réponse de Daverdoing pour solliciter le règlement de 116 F que celui-ci souhaite payer ; il lui fait remarquer qu'il a acheté sa cuisinière moins cher, 110 F, alors que l'appareil est vendu 120 F pour un paiement au comptant et 112 F dans le cas d'une vente en gros. Désireux de vendre ses produits à Metz, Godin prie Daverdoing de demander aux marchands de fourneaux de la ville, parmi lesquels Rheurte-Bousse, François, François-Vaillant et Lemarie, de venir voir sa cuisinière ; Il lui demande également de lui indiquer la maison la mieux réputée à Metz, à laquelle il pourra envoyer son tarif et des lithographies. Godin donne enfin des explications sur le fonctionnement de la cuisinière de Daverdoing.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 septembre 1875
Godin signale à son fils Émile qu'il accepterait 1 000 tonnes de fonte hématite. Il accuse réception de l'article du Conservateur : il voudrait savoir qui est abonné à ce journal à Guise et lui demande de s'informer auprès des facteurs. Il accepte qu'André prenne Bouchau en qualité de comptable à condition de ne pas lui confier de direction. Il lui indique qu'il fait attendre son retour à Guise pour continuer les envois de brochures si monsieur François manque d'adresses. Dans le post-scriptum, Godin revient sur l'achat de 1000 tonnes de fonte hématite et signale une lettre jointe à destination d'Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 novembre 1875
Godin prie son fils Émile de demander à François de vérifier la complétude de la collection des 37 volumes des Annales de l'Assemblée nationale qui se trouve dans ses papiers au 3e étage du Familistère ; il recommande à François de chercher le volume manquant dans le placard de la pièce où Chatelais avait rangé le dossier des chemins de fer. Sur un raccordement de voies de chemins de fer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 novembre 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin rappelle à son fils Émile que depuis deux ans il cherche à fonder un second établissement dans la Nièvre, où il pense pouvoir trouver les minerais et matériaux nécessaires et où il espère trouver du charbon. Il constate que les usines produisant du fer et de la fonte dans la région ont disparu avant le traité de commerce, peut-être en raison de la pauvreté des minerais, mais aussi que la Nièvre est desservie par le chemin de fer de Paris à Lyon et à Marseille. Il explique qu'il conserve l'idée de trouver du charbon dans la Nièvre et se demande s'il ne serait alors pas possible d'établir un haut-fourneau avec ce minerai pour fabriquer de la fonte de moulage. Il questionne son fils sur la fusion des matériaux dans les hauts-fourneaux. Il demande à Émile si monsieur François a envoyé quelques exemplaires de La politique du travail à monsieur Petit, 4 quai de France à Grenoble dans l'Isère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'une institutrice viendra prochainement au Familistère pour tenir la classe des filles. Il lui demande de lui réserver les chambres occupées auparavant par Chatelais et de s'entendre avec le comité d'administration du Familistère pour y faire la propreté nécessaire et pourvoir à son ameublement. Sur un succès de la gauche et la division des partis de droite à l'Assemblée. Le premier point du post-scriptum porte sur le calcul par Émile du prix de revient des marchandises produites dans un nouvel établissement : un établissement aux portes de Paris serait celui qui produirait aux conditions les moins économiques, compte non tenu de l'économie de transport ; « Mais avec l'établissement de Guise dans le nord de la France, il est de plus en plus apparent pour moi que pour s'assurer le marché du Midi, il conviendrait de porter un établissement nouveau au moins sur les confins du départ de la Nièvre, ce qui peut permettre de desservir la ligne de Marseille et la Suisse avec économie. » Le deuxième point du post-scriptum porte sur la visite par Pernin d'un haut-fourneau de construction nouvelle. Le troisième point du post-scriptum est relatif à l'envoi par François de La richesse au service du peuple à monsieur Cacheux avec la mention « Envoi de M. Godin, député de l'Aisne ».
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