FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Fernando Garrido y Tortosa, 27 octobre 1867
Réponse à la demande de photographies du Familistère de la part de Fernando Garrido, dont Godin garde le souvenir de la visite à Guise : Godin ne dispose pas d'une vue générale du Familistère en photographie ou en gravure. Il n'a pas de dessinateur sur place et l'exigence de fidélité du dessin ne lui permet pas de contenter Garrido dans un bref délai. Godin invite Garrido à venir au Familistère pour parler de cela. Godin évoque la demande par la Librairie des sciences sociales (« la rue ses Saint-Pères ») d'un article sur le Familistère à l'Exposition universelle, à paraître dans l'Annuaire de l'Association, pour lequel il aimerait utiliser une traduction d'un texte de Garrido en espagnol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 mai 1862
Godin répond à la lettre d'Émile Godin du 3 mai 1862. Il lui recommande de suivre le conseil de Le Play de faire une seule affiche pour l'exposition : les mots « Usine et manufacture » seraient en anglais et « de Godin-Lemaire à Guise (Aisne) en français ; la liste « cuisinières, cheminées, calorifères, appareils et ustensiles, chauffage en tout genre - marbres factices et émaux sur fonte en toute couleur applicable à l'ameublement et à la décoration » figurerait en français en regard de sa traduction en anglais. Godin attire l'attention d'Émile sur la traduction de cuisinière « qui en anglais doit signifier fourneau de cuisine ». Il lui recommande enfin d'observer si les autres exposants indiquent le prix des marchandises qu'ils présentent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 mai 1862
Godin demande à Émile de rentrer à Guise et de faire le nécessaire pour que monsieur Lacarole s'occupe de ses intérêts en son absence, sans oublier de faire mettre son adresse sur l'affiche de l'exposition des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe qu'il a adressé hier un mémoire à Frédéric Le Play. Godin demande également à Émile d'aller voir Richard Archibald Brooman, rédacteur du Mechanics Magazine au 116 Fleet Street, pour savoir s'il peut s'occuper de la cession de sa patente en Angleterre, lui que monsieur Armengaud avait chargé de remplir les « formalités ». Il lui annonce qu'il va lui envoyer le tarif des marchandises. Dans le post-scriptum, Godin avertit Émile qu'il a oublié d'indiquer son numéro d'exposant sur le mémoire adressé à Le Play.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 mai 1862
Godin adresse à Émile le prix de vente des marchandises exposées à Londres, à afficher sur les appareils en francs et en monnaie anglaise. Il lui demande de fixer un album sur une planche pour que le public puisse le consulter sans l'emporter, et de laisser à monsieur Lacarole la liste des prix des marchandises. Il lui signale qu'il a écrit à nouveau à Frédéric Le Play pour lui communiquer son numéro d'exposant. Godin demande à Émile de s'assurer des conditions qu'exigerait pour la cession de sa patente Brooman, rédacteur du Mechanics Magazine au 166 Fleet Street, le correspondant d'Armengaud. Godin croit que l'argent manquera bientôt à Émile et qu'il aura bientôt le plaisir de le voir à Guise. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin indique à Cantagrel que l'affaire Jacquet l'empêche de s'occuper de la question de l'Exposition universelle de 1867. Il lui explique que l'affaire peut lui donner l'occasion de remplacer ses émaux à base de plomb par des émaux sans plomb, surtout pour préserver la santé des ouvriers. Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin annonce à Cantagrel qu'il va essayer de rédiger une note pour Frédéric Le Play afin d'obtenir une place qui lui permette de disputer un prix à l'Empereur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 20 novembre 1866
« Le diable se déchaîne contre moi » : Godin recense ses démêlés avec Jacquet, avec sa femme qui fait appel d'un jugement qu'il croyait définitif, avec Corneau frères, avec son « triste frère », et avec le maire de Guise qui s'oppose à son projet de locomotive terrestre. Il lui remet la lettre destinée à la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, mais ne se fait pas d'illusions sur l'effet de sa lettre. Il lui annonce que son exposition industrielle à l'Exposition universelle de 1867 est toujours en attente : Le Play lui a écrit au sujet de sa demande pour le nouvel ordre de récompenses mais ne lui a rien dit au sujet de ses produits. Il lui envoie une brochure dont il vient de recevoir plusieurs exemplaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 5 janvier 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin communique à Cantagrel la note qu'il avait adressée à Frédéric Leplay au sujet du nouvel ordre de récompenses, afin qu'il aille démarcher Dietz-Monnin, qui lui a écrit à ce propos, et lui remettre des brochures sur le Familistère et son article « pitoyablement écourté » de l'Annuaire de l'Association.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Wladimir Gagneur, 24 juin 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin remercie Gagneur pour sa lettre du 21 juin 1866. Il s'excuse de ne pas donner suite à la démarche que Marie-Louise Gagneur a faite à son intention auprès de l'Empereur. Il a répugnance à solliciter des faveurs pour lui-même mais pas au bénéfice des idées utiles. Il lui explique qu'il a déposé le 14 octobre 1866 une demande pour concourir au grand prix du nouvel ordre de récompense de l'Exposition universelle, qu'il a joint à sa demande en double exemplaire une brochure d'Oyon puis la brochure de Stenger et l'Annuaire de l'Association ainsi qu'une photographie du Familistère et qu'il a répondu à une demande de renseignements par Leplay par un mémoire, mais qu'il n'a pas reçu de réponse à ses demandes réitérées d'exposer les vues et plans du Familistère, et qu'ainsi il a dû y renoncer. Il pense qu'il est superflu d'agir auprès du gouvernement, même si le Familistère figure dans le volume de l'enquête du dixième groupe. Il lui exprime sa déception de ne pas l'avoir accueilli à la première fête du Travail du Familistère dont Marie-Louise Gagneur aurait été satisfaite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 27 juin 1867
Sur la fête du Travail du Familistère de 1867. Godin regrette de ne pas avoir invité Pagliardini à la fête du Travail du Familistère le 2 juin précédent. Il lui explique que les ouvriers et les employés avaient 2 000 F à se répartir en élisant les plus méritants d'entre eux. Il mentionne les journaux qui ont rendu compte de la fête : L'Opinion nationale, le Courrier français. « Un vaste portique avait été élevé à l'une des extrémités de la grande cour. L'industrie distribuant les récompenses au travail était représentée au-dessus par une vaste peinture improvisée avec goût. Dix trophées représentant les diverses atelliers (sic) de l'usine s'élevaient jusqu'au deuxième balcon. L'éducation avait son trophée spécial couronné par un berceau. Le tableau de tout cela a été fidèlement conservé par un artiste. Je vous le ferai voir sur le papier puisque vous n'avez pas eu l'occasion de le voir dans ce qu'il a eu d'émouvant. » Sur l'Exposition universelle de 1867. Il informe Pagliardini que le 28 novembre il a envoyé à Frédéric Le Play les brochures d'Oyon et de Stenger, l'Annuaire de l'Association et une notice comprenant 49 articles sur le Familistère, mais qu'il n'a pas eu de réponse à sa demande d'exposer des vues et plans. Il salue madame Pagliardini de la part de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 décembre 186[6]
Sur l'affaire Jacquet. Godin avertit Cantagrel qu'il enverra le lendemain aux experts ses observations sur le dire de Jacquet, lui demande de communiquer son mémoire à Lecoq de Boisbaudran et à Barreswil et l'informe qu'il a écrit à Juette pour le prévenir. Sur l'Exposition universelle : Godin regrette de n'avoir pas communiqué à Cantagrel sa lettre au commissaire général de l'Exposition pour faire avancer sa demande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 21 janvier 1867
Godin explique à Cantagrel qu'il n'est pas satisfait de la place qui lui est faite pour exposer les produits de son industrie, qui n'est pas proportionnée à son importance. Il demande à Cantagrel d'aller voir Focillon pour tenter d'obtenir de meilleures conditions, et il l'autorise à prendre tous les engagements nécessaires pour son emplacement dans l'Exposition ; il lui demande s'il est nécessaire qu'il fasse une démarche personnelle auprès de Le Play et s'il est utile qu'Émile se rende bientôt à Paris pour s'occuper des préparatifs de l'exposition de ses produits.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin explique à son fils Émile que, contrairement à ce que pense Cantagrel, il ne veut pas abandonner les 1 200 F qu'il a déjà versés sans exposer les produits de la manufacture, même dans de mauvaises conditions. Il prie Émile de demander à Frédéric Le Play, s'il en a l'occasion, pourquoi il est exclu du palais de l'exposition alors qu'il est la tête de l'industrie du chauffage. Il lui demande d'essayer d'intervenir auprès de Le Play lui-même pour obtenir une place dans le palais, notamment pour y placer le panorama du Familistère et de l'usine auquel il joindra des plans. Il indique à Émile qu'il fait faire des photographies du Familistère prises du côté de Courcelles et de l'usine ; il lui recommande de s'adresser à Fossillon après avoir vu Le Play ; il évoque le transport des produits de la gare de Bohain ; il lui remet une lettre destinée à Le Play et la copie des lettres qu'il lui a adressées auparavant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin évoque une expédition pour l'exposition. Il informe Émile que Le Play lui a répondu et qu'il va lui écrire pour lui demander les 3 mètres qu'on lui avait promis dans le Palais de l'Industrie pour y présenter des produits remarquables et des vues et plans du Familistère : « Si on ne le fait pas, c'est que le Familistère sera mis hors de concours, alors ce sera drôle. » Il demande à Émile d'aller chez un fabricant de parapluies voir sa fabrication pour savoir si le Familistère ne pourrait pas en vendre : P. Bétaille au 418, rue Saint-Honoré, Ant. Bétaille au 53, rue Richer ou Boulzaguet au 92, boulevard Sébastopol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bossuroy, 15 février 1876
Godin retourne à Bossuroy une lettre de Le Play. Il l'informe qu'il ne peut pas donner suite aux pourparlers qui ont lieu entre eux.

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