FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 juillet 1868
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de la lettre d'Émile Godin du 7 juillet 1868 envoyée de Middlesbrough. Il l'informe qu'il confirme l'importation de 380 tonnes de fonte dont Émile a demandé l'achat par son télégramme du 8 juillet. Il lui signale que monsieur Blanchard lui a écrit poste restante à Calais pour lui communiquer les noms des commissionnaires-expéditeurs et agents des douanes relevés dans l'Almanach du commerce : Morny père et fil, Boutel et Darquer, commissionnaires-expéditeurs ; Lebeau et Cie, agent en douane ; Le Do Arsène, transiteur. Il précise qu'il ne connaît que monsieur Vandroux. Il lui demande de télégraphier s'il ne se trouve pas à Calais au moment de l'arrivée du vapeur pour savoir à qui confier les opérations de douane. Il regrette qu'Émile n'ait pas plus de temps pour approfondir sa connaissance des sujets qui les intéressent en Angleterre. Sur les maisons de production de fonte en Angleterre : il existe 110 hauts-fourneaux autour de Middlesbrough qui n'appartiennent pas tous au même propriétaire et qu'il faudrait visiter. Il recommande à Émile de boire de la bière Pale Ale si la viande l'échauffe. Sur une affaire à mener par Émile à Calais. Godin fait observer à Émile que le transport par bateau à voiles est moins cher que le transport par bateau à vapeur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 juillet 1869
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remarque que les lettres envoyées d'Angleterre par Émile arrivent à Guise avec retard. Il se réjouit qu'Émile parvienne à acheter de la fonte. Il souhaite qu'il trouve à en acheter de bonne qualité dans le Cumberland car cette fonte est indispensable pour donner de la résistance à celle de Middlesbrough. Sur des mélanges de fonte de qualité inférieure ordonnés par Émile avant son départ : Godin lui indique que la fonte de Cleveland est elle-même mélangée, mais qu'il arrive parfois des lingots très serrés qui font des pièces dures ; il signale qu'il a fait arrêter la fonte de Pinart et d'autres fournisseurs mais que les éprouvettes sont encore dures, et qu'il y a plus de casse dans les pièces qu'auparavant. Il informe Émile que la Compagnie du Nord ne demande pas moins de 8,30 F pour transporter une tonne de fonte de Calais à Bohain, que monsieur Pauwels a un pouvoir pour 500 tonnes et que Gillian Schmit a envoyé 200 tonnes. Godin fait observer à Émile qu'il pensait qu'Émile avait demandé à Trystram et Crujeot de faire entrer de la fonte [en France]. Il l'avertit qu'il part le dimanche suivant à Metz et qu'Eugène André est à Guise. Il lui fait part de son espoir que l'émaillage va s'améliorer et lui annonce qu'ils ont trouvé le moyen de supprimer le plomb. Il transmet ses amitiés à monsieur et madame Pagliardini.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 mai 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Trystram et Crujeot qui fait une offre de vente de fonte. Dolot signale à Godin que Bolkow et Vaughan de Middlesbrough ont fait une offre de 535 shillings la tonne de fonte Cleveland n° 1. Il avertit Godin que l'usine de Guise manquera de produits cette année si les commandes continuent à affluer et si le nombre d'ouvriers n'augmente pas. Il indique enfin qu'il n'a pas de nouvelles des lithographies.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 août 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Bolkow et Vaughan de Middlesbrough pour leur faire réponse et l'avertit que Jacques-Nicolas Moret lui a signalé qu'il n'y a plus de fonte Cleveland à Guise. Il lui rappelle que monsieur Vendroux, commissionnaire en douane à Calais, est chargé de la réception de la fonte de Bolkow et Vaughan. Sur la pénurie de marchandises à l'usine de Guise : Dolot rappelle à Godin sa lettre du 4 mai 1860 indiquant qu'une désorganisation des ateliers allait produire une pénurie, mais lui explique qu'il ne pensait pas qu'elle surviendrait aussi vite et sur les modèles nouveaux comme le lui a signalé monsieur Lemaire ; il incite Godin à donner des ordres fermes pour que la fabrication permette de répondre aux commandes : « Si je me permets ces quelques observations, c'est que mes intérêts aussi bien que les vôtres souffriront d'un semblable état de choses et qu'il me serait extrêmement désagréable d'avoir une rétribution inférieure à celle de l'année dernière après le surcroît de travail et les relations aussi pénibles qui m'auront été imposées cette année. » Le post-scriptum est relatif à la fourniture de meules par Essig ou par Picard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 3 octobre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Bailey Brothers et Cie qu'il a acquis cette année plus de 2 000 tonnes de fonte auprès de Bolckow et Vaughan et qu'il a payé la marchandise à leur maison de Londres sitôt les bateaux arrivés à Calais. Il demande à Bailey Brothers et Cie s'il peut faire de même avec eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Germain Marie Maxime Desnoyers, 7 mai 1872
Godin explique à Desnoyers qu'il a passé commande à Muller, commissionnaire à Middlesbrough de 2 000 tonnes de fonte en août 1870 et de 600 tonnes le 8 septembre 1871 à livrer à Calais ou Dunkerque, qu'il a reçu 1 607 tonnes, mais que la guerre a interrompu la suite des expéditions. Depuis la fin de la guerre, poursuit Godin, Muller se refuse à livrer le solde de la commande en raison de l'élévation du cours de la fonte, et il cause un préjudice important à son industrie. Godin demande à Desnoyers d'intervenir pour trouver une solution.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin a reçu la lettre de son fils Émile datée du 17 février à Middlesbrough et lui confirme qu'il ne doit pas se presser d'acheter de la fonte quand elle n'est pas de première qualité. Sur une patente de Wilkes relative à des boutons de porte en fonte de fer, brevetée en France en 1849 : Godin désirerait avoir l'adresse de Wilkes pour lui écrire ou pour qu'Émile aille le voir s'il habitait à Londres. Godin demande à son fils Émile d'interroger les fondeurs de Wilkes sur la manière dont on fixait, avant 1867, le noyau dans le moule pour fondre des pièces creuses à une seule ouverture.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère : Godin fait des recommandations à Bernardot. Il le remercie pour les renseignements sur les habitations ouvrières de Barrow mais souhaiterait avoir des informations sur les intérieurs des logements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.
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