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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Évrard-Latron, 25 août 1847
Godin envoie à Évrard-Latron une facture de 89 F correspondant à l'expédition d'une cuisinière commandée par ce dernier au frère de Godin de passage à Soissons ; il lui demande pourquoi il n'a pas demandé de foyer au bois, dont on se sert pourtant à Soissons, et lui précise que les pieds des cuisinières et leurs vis sont joints à l'emballage des appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fortier, 15 novembre 1848
Godin annonce à Fortier que l'expédition des marchandises commandées a pris du retard, mais qu'il a trouvé un moyen de transport par Laon et Soissons moins onéreux que le précédent. Il l'informe qu'il ajoutera deux cuisinières aux poêles de sa commande, que Fortier ne réglera qu'après les avoir vendues.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Losset, 20 juin 1849
Godin exige de Losset le paiement de la somme de 579,50 F et l'avertit qu'il met une traite en circulation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vaillant-Gobo, 20 juin 1849
Godin exige de Vaillant-Gobo le paiement de la somme de 120,35 F et l'avertit qu'il met une traite en circulation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Paringault, 20 juin 1849
Godin exige de Paringault le paiement de la somme de 525,40 F et l'avertit qu'il met une traite en circulation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Mimin, 7 octobre 1849
Godin informe Mime qu'une négligence a été commise dans le traitement de sa commande du 10 août 1849 : l'expédition des marchandises n'a pas été faite. Godin annonce que son messager de Reims lui remettra les deux objets dans 10 jours. Godin exprime à Mime son regret de commencer ainsi ses relations d'affaires avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 24 février 1861
Godin informe le préfet qu'il lui a adressé la veille une pétition en faveur du tracé par Guise et la Vallée de l'Oise du chemin de fer de Soissons à la frontière belge via Charleville-Mézières, pour être jointe au dossier de l'enquête. Il ajoute qu'il lui adresse dans le même but le mémoire imprimé correspondant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Boittelle, 14 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer dans le Nord et l'Aisne. De retour de Paris, Godin explique à Boittelle qu'il est urgent que les représentants des intérêts houillers du Nord et du Pas-de-Calais se concertent pour adresser au gouvernement leurs griefs sur les prétentions de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il juge que les députés du Nord (« vos députés ») croient utile de soutenir le tracé de la Compagnie du Nord plutôt que celui par Guise dans l'espoir d'obtenir le prolongement jusqu'à Lille. Godin évoque ses rendez-vous manqués à Paris avec Boittelle, chez lui ou à l'hôtel de Godin, et il relate la séance de la veille du Conseil des ponts et chaussées ajournée du fait du député Godard-Desmarest. Godin incite Boittelle à mettre à profit ce délai pour faire ses observations au Conseil des ministres ou directement à l'Empereur : « L'Empereur s'est déjà occupé de la question et je pense qu'il est de la plus grande utilité de donner des armes au gouvernement pour lutter contre la puissance de Rothschild. Et les armes du gouvernement c'est la volonté des populations. » Godin pense que le gouvernement est favorable au tracé par Guise et que le soutien des houillères que Boittelle représente peut lui être utile pour s'opposer à la volonté de Rothschild. Il rappelle que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord serait au seul bénéfice des charbonnages belges au détriment des intérêts locaux et des houillères françaises. Godin analyse le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et conclut qu'il serait préjudiciable à l'industrie houillère dans son ensemble.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Penant, 20 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin adresse au président du tribunal de commerce de Vervins des pièces complémentaires relatives à son procès contre Jacquet, relatives notamment au prix des rôtissoires en fonte ordinaires ou en fonte vernissée et aux bénéfices retirés par Jacquet. Godin explique que des marchandises livrées à Reims, à Soissons et chez Jacquet ne lui ont pas été payées, que des appareils sont en cours d'exécution et qu'il a dépensé des frais importants de modèles et d'outillage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame L. Mellier, 19 octobre 1896
Réponse à la lettre de madame Mellier du 17 octobre 1896 : Marie Moret ne connaît personne à Soissons et n'a aucune relation avec les personnes citées par madame Mellier. Ne connaît de madame Petit que son amitié avec monsieur Ringuier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet au président du tribunal une antériorité au brevet Scellier n° 85565 exposée à la page 265 de l'édition de 1858 du Traité de la fonderie telle qu'elle existe aujourd'hui en France et de ses applications à l'industrie par A. Guettier, aujourd'hui directeur gérant de la Société anonyme des fonderies et ateliers de construction de Tergnier-Fargniers. Godin indique que la fonte d'objets creux à une seule ouverture se pratique depuis longtemps dans beaucoup de fonderies, notamment dans la fonderie dirigée par Guettier, alors que le procureur de la République a affirmé que seuls Boucher et Cie avaient résolu le problème dans les procédés décrits soit dans leur brevet n° 74 500 soit dans le brevet Scellier n° 85 565. Godin avance que Wilkes avait parfaitement résolu le problème dès 1849 dans son brevet n° 9 130 sur les boutons de porte, et il précise qu'il en a fait l'expérience dans sa fabrication. Godin explique que le brevet Wilkes de 1849 est tombé dans le domaine public avant 1867, et que la reconnaissance de l'exclusivité de Boucher et Cie sur la fonte de pièces creuses à une seule ouverture blesse à la fois l'équité et le droit. Il ajoute que son avoué Larue a communiqué à l'avoué de Boucher et Cie le passage concerné du traité de Guettier. Sur le folio 269r est copiée une liste d' « Experts à proposer dans l'affaire Boucher » comprenant les noms de Dehaître père, fondeur constructeur à Soissons, Joseph Despret, fondeur directeur de la Compagnie des mines d'Anzin, Guettier, administrateur de la Compagnie anonyme des fonderies de Tergnier-Fargniers au 232 rue Saint-Antoine à Paris, Schreibert, fondeur constructeur, fondateur de l'École de dessin industriel de Saint-Quentin et Hanquez, ingénieur fondeur à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.
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