FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Lucien Chamuel, 14 septembre 1893
Réponse à la lettre de Chamuel en date du 13 septembre 1893 : envoi des Études sociales de Godin à monsieur Fraysse à Toulouse ; sur l'indication dans Le Devoir du dépôt de vente des livres de Godin chez Guillaumin et Cie à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guitard-Gouell, 7 avril 1873
Godin accuse réception de la lettre de Guitard-Gouell proposant de représenter la maison Godin-Lemaire dans le Midi. Godin observe que c'est surtout à Toulouse qu'il a besoin d'un représentant, mais demande cependant des références à Guitard-Gouell.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guitard-Gouell, 20 avril 1873
Godin informe Guitard-Gouell qu'il pourrait lui accorder sa représentation dans le Midi de la France à condition de la circonscrire dans la région de Toulouse, bien qu'il voyage de Marseille à Lyon. Dans le cas où Guitard-Gouell acceptait la proposition, Godin l'invite à venir étudier les produits à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 22 juin 1873
Sur des mesures comptables et d'organisation du travail au moulage mécanique : Godin demande à Denisart de s'entendre avec Dequenne sur la question du travail. Sur les foyers en fonte des calorifères « canon » ancien modèle. Sur la Société hippique : ne pas la payer. Sur Louis père : ne pas lui accorder d'avances. À un client de Toulouse : lui écrire que la création d'un nouveau modèle est longue et que la livraison des nouveaux boutons devra attendre. Sur le montant de la remise de fin d'année : Godin est favorable au rétablissement d'une remise de fin d'année, mais d'un montant moindre, pour donner satisfaction aux voyageurs et aux clients.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet des renseignements sur les récompenses qu'il a obtenues en qualité d'industriel et de fondateur du Familistère depuis 1855.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret écrit à Antoine Médéric Cros avant son départ de Nîmes ; elle reprend la lettre de ce dernier du 10 mai 1901 en accord avec Auguste Fabre : Fabre a reçu la liste des diapositives sur le Familistère que détient Cros et le colis d'effets envoyé par celui-ci ; elle remercie Cros pour ses mots à propos du refus des demoiselles Claude Bernard d'autoriser Marie Moret à citer le texte d'œuvres de Claude Bernard, et lui indique qu'à son retour au Familistère, elle va « s'adonner à plein cœur » au travail d'écriture des idées « dont les notions sont maintenant pleinement reposées en moi ». Elle l'informe que la famille Moret-Dallet quittera Nîmes jeudi prochain. Sur des travaux de maçonnerie à faire par Fabre au 12, rue Bourdaloue. Elle remercie Cros pour sa citation de l'ouvrage Voyage à terre libre qui traite de l'individualisme dans l'association. Elle lui fait part qu'Auguste Fabre l'informe qu'il a reçu la police de la filature signée Boudon de la part de monsieur Dumas d'Uzès, qu'il a été intéressé par la conversation de Cros avec le docteur Lacaze relative à Juliette Cros et au Familistère, et qu'il lui enverra une ou deux diapositives avant la conférence qu'il donnera à Toulouse. Elle lui transmet le meilleur souvenir de Jules Prudhommeaux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Antoine Médéric et Juliette Cros pour leur lettre du 20 juin 1901. Elle explique que le retard de sa réponse est dû aux envois qu'elle a faits aux bibliothèques étrangères, à la reprise de son « vrai travail » et aux corrections des épreuves du Devoir. Elle les remercie pour la description de la scène de la réception [par le public de la conférence donnée par Cros] de la photographie de Marie-Jeanne Dallet. Leur mot sur Saint-Gaudens l'a poussé à ouvrir le livret d'ouvrier de son père. Elle nomme les étapes du parcours de son père : Paris, Meaux, Libourne, Bordeaux (où il est rejoint par Godin), Toulouse chez Daussonne jeune pendant deux mois à partir du 23 avril 1836, Montrejeau (toujours avec Godin) chez le serrurier Pierre Pic pendant trois mois à partir du 24 juillet 1836, Montpellier, Nîmes, Marseille (où Moret et Godin se séparent), Lyon, etc. Elle demande qu'Antoine Médéric Cros conserve les articles de journaux qui évoqueraient sa conférence [sur le Familistère] pour les communiquer à Auguste Fabre et à elle-même. Elle lui annonce que Marie-Jeanne Dallet lui écrira à propos des vues photographiques pour les conférences ; elle lui indique que Mutualité sociale se trouve chez Guillaumin et Cie et qu'elle peut lui fournir des exemplaires du Familistère illustré. Elle informe Juliette Cros que leur voyage [de retour à Guise] a été pénible à cause de la chaleur. Elle lui indique qu'Auguste Fabre devait s'occuper des travaux de maçonnerie ; le 16 juin dernier, il a écrit qu'il ne disposait pas encore du maçon. Elle lui fait part de sa satisfaction d'avoir retrouvé son grand cabinet de travail en comparaison de celui de Nîmes, tellement chauffé par la toiture qu'on ne peut plus s'y tenir à partir de 11 h 00. Elle transmet à Juliette et Antoine Médéric Cros les pensées d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et le souvenir de Flore Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaiterait savoir si la bibliothèque de Clermont-Ferrand, à qui le service du Devoir est régulièrement et gratuitement adressé, est en mesure de collectionner et de relier le journal, ainsi que la date du premier numéro de la collection en leur possession.
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