Guizot épistolier

François Guizot épistolier :
Les correspondances académiques, politiques et diplomatiques d’un acteur du XIXe siècle


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Auteurs : Louis-Philippe 1er (1773-1850)

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)
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Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896) ; Orléans, François Ferdinand Philippe Louis Marie d' (prince de Joinville) (1818-1900) ; Orléans, Henri (duc d' Aumale) (1822-1897)

Auteurs : Dumas, général (?-?)

Auteurs : Dumas, général (?-?)
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"La cérémonie a été des intéressantes, l'attitude du jeune Prince excellente, l'affluence des témoins et spectateurs aussi grande que le local le permettait, l'effet produit sur l'assistance, et par suite sur le public, aussi satisfaisant et consolant que possible pour le roi et sa famille."

La communion du comte de Paris, le 20 juillet 1850 à Londres


Collection du Musée Carnavalet (Paris)

Auteurs : Orléans, François Ferdinand Philippe Louis Marie d' (prince de Joinville) (1818-1900)

Auteurs : Orléans, François Ferdinand Philippe Louis Marie d' (prince de Joinville) (1818-1900)

Auteurs : Orléans, François Ferdinand Philippe Louis Marie d' (prince de Joinville) (1818-1900)

Auteurs : Dumas, général (?-?)
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"J'ai la douleur de vous annoncer la mort du Rois. La Reine m'a chargé de vous faire cette communication et de vous exprimer son regret de ne pouvoir dans ces premiers moments répondre elle même à votre dernière lettre. Le Roi a rendu son dernier soupir ce matin à 8 heures, entouré de tous les siens, après une agonie calme, devant laquelle il a conservé toutes les facultés intellectuelles dont la providence l'avait doué ; il a fini comme il avait vécu, avec fermeté avec résignations, avec bonté, avec simplicité."

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)

Auteurs : Louis-Philippe 1er (1773-1850)

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)

Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)
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Auteurs : Orléans, Louis Charles Philippe Raphaël d' (duc de Nemours) (1814-1896)

Auteurs : Louis-Philippe 1er (1773-1850)

Auteurs : Dumas, général (?-?)

Auteurs : Guizot, François (1787-1874)
https://eman-archives.org/Guizot-Lieven/import/images/MF-G-L010_00361.jpg
Mardi 17 oct. 1848
8 heures
Mon rhumatisme ne m’a pas tout-à-fait quitte. Cependant, il va mieux assez mieux pour que j'aille à Claremont. Il ne pleut pas, plutôt froid, ce que je préfère. Je me couvrirai bien. Je ne veux pas que le Roi m'attende pour rien, puisque je puis aller. Et vous comment êtes-vous ce matin ? Comment a été la nuit ? J'en veux à Emilie de ne vous avoir pas mieux soignée. Je lui en dirai un mot.
Le Lord Holland est venu me voir hier. Revenu samedi de Paris. Il l’a trouvé très gloumy. Dans les dix jours qu’il y a passés il n'a pas rencontré une seule personne, pas une qui ne maudit tout haut la République et ne prédit sa chute. Lord Ashburton et tous les Anglais qui sont à Paris lui ont dit qu'eux aussi n'en avaient pas rencontré une seule. Il a vu Arago qu’il connait, beaucoup abattu, noir mélancolique au-delà de toute expression. Arago lui a raconté le gouvernement provisoire avec une haine ardente, pour Lamartine, Ledru Rollin, Barrot, etc. Ils se haïssent ardemment les uns les autres et se racontent en conséquence. Arago lui a dit : " Il y aura encore des conflits sanglants dans Paris. J’irai au plus épais et je me ferai tuer. Je ne puis supporter le spectacle de cette misère et de cette dégradation de la France. Comment va M. Guizot ? Parlez-lui de moi, je vous prie. Je désire que vous lui parliez de moi. Je désire qu’il sache que je suis bien malheureux." Je vous répète le propre récit du Lord Holland.
Il a vu aussi Thiers. Uniquement occupé, à ce moment-là, de son discours contre le papier monnaie et de sa haine contre Lamartine dont les derniers succès oratoires l'ont blessé. Il en parlait avec passion à ceux qui l’entouraient, traitant les discours de Lamartine comme des assignats. Il a demandé au Lord Holland de mes nouvelles. Pour Emilie Holland, sa fille, qui n’avait jamais vu Paris, elle l’a trouvé charmant, gai, animé, quoique c'est une jolie, et intelligente personne. Dumon est venu dîner avec moi. Point d'autres nouvelles que les miennes. Pensant comme moi que Thiers accepte c’est-à-dire prend Louis Bonaparte se disant : "S’il réussit, je serai le maître, s’il ne réussit pas, je serai le Monk." Dumon est convaincu que Dufaure et Vivien vont se faire très républicains pour se faire pardonner l'ancienne Monarchie, et qu’ils n'en ont que pour très peu de semaines.
M. Gervais de Caen, que Dufaure vient de nommer préfet de Police à la place de M. Ducoux est un mauvais choix, un homme du National. La Réforme, en attaquant vivement les nouveaux ministres, ménage Cavaignac. J'essaye de remplacer la conversation que rien ne remplace. Adieu. J’attends Jean. J’irai donc dîner avec vous en revenant de Claremont.

10 h. et demie
Voilà Jean qui me dit que vous êtes encore souffrante et dans votre lit. Et je ne vous verrai qu'à 5 heures. Il faut que je sois au railway à midi 1/4. Au moins ce n’est rien de plus que ce que vous aviez hier. Adieu Adieu.

Auteurs : Orléans, François Ferdinand Philippe Louis Marie d' (prince de Joinville) (1818-1900)

Auteurs : Louis-Philippe 1er (1773-1850)

Auteurs : Louis-Philippe 1er (1773-1850)

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Clarendon Lundi 19 mars 1849
Midi

Je commence sans avoir un mot à dire. Êtes-vous content de la rue de Poitiers ? Moi je trouve la proclamation bonne, mais je ne suis pas juge. Certainement elle ne compromet personne. Le temps est horriblement triste. 3 heures Lord Aberdeen a vu une lettre de devant Palmerston du 8. Les propositions d’abord repoussées ont été reprises, et on s’attendait à les voir acceptées. Le Constitutionnel annonce que la guerre en Piémont est inévitable. Le Roi n'a pas écouté les remontrances des alliés. Aberdeen est d’avis qu'il faut rappeler Abercrombie. Peel trouve la situation du Cabinet bien mauvaise ses mesures ne passeront pas. Selon toutes les règles il devrait tomber. Je n'ai encore vu et entendu que ce que je viens de vous dire. Je crains les visites Je vous fais ma lettre, in good time. Adieu. Adieu.

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Clarendon le 16 octobre Mardi 1849

N’ayez pas peur, je comprends très bien, & je suis de votre avis par les raisons qui vous sont propres & par les miennes aussi. Ne venez pas me voir, arrivez for good à la mi novembre. J’aurai eu le temps de régler ma vie comme il me convient. Votre présence y ferait peut être quelque embarras, tandis qu'une fois arrangée vous n'y pourrez plus rien gâter. C’est beaucoup mieux et je vous aurais proposé cela, si vous ne l'aviez pas fait vous même. Voilà donc qui est dit. Pas d'injustice, pleine confiance. Soyez content. J'ai gagné en raison, et je n’ai rien perdu de cet autre côté qui vous plait davantage que ma raison. Brunnow a passé avec moi 3 h en tête-à-tête hier. Pleine confiance (à la dernière heure), des confidences. Très inquiets. Il croit au rappel de notre ministre. Ce ne sera pas encore la guerre, mais le dernier pas avant elle. Je vous écrirai plus au long sur cela. Je pars dans une heure je n’ai pas le temps d'ici. M. de Mussy ne vient pas, il me fait faux bon. Adieu. Adieu. Adieu. Vous payerez cette lettre car je ne me fie pas à l’affranchissement que je laisse en arrière.

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Clarendon le 21 Mars 1849
Midi

Quelle contrariété. Je ne vous ai pas écrit hier parce que je trouvais plus simple que vous vinssiez recevoir ma lettre à Brompton, ignorant si elle vous arriverait à Kimbolton avant votre départ. Voici que vous n’arrivez pas. C'est plus que contrariant, c’est malheureux. Si vous avez de de l’esprit vous le comprendrez. J'ai bien affirmé que vous serez ici aujourd’hui. Ma visite de 2 1/2 y compte. Je n’ai guère de nouvelles à vous donner. Lord Clauricarde est venu m'annoncer hier que Lord Aberdeen fait demain une motion sur l'Italie. Cela a surpris la Chambre haute & moi aussi. J’ai été contente du premier dans des Débats à propos de la proclamation de la rue de Poitiers. Duchatel m’a dit que le manifeste n’a plu à personne. Broglie est parti pour la province. On lui mande qu’il était à l’état d’automate galvanisé. Piscatory a été chez le Président. Quelle platitude. Vitet écrit très lugubrement. Le nouveau roi de Hollande est parti hier matin. Une députation de ministres était venue le chercher. Il était très saisi très ahuri. Mes soirées sont abominables. Personne. Il faut donc encore aujourd’hui subir ma société toute seule.
4 heures. Je dois vous déclarer formellement qu'il faut que vous veniez du chemin de fer droit chez moi, avant d’aller à Brompton. L'heure presse, et cela est de toute urgence. Je pense que vous pourrez être ici à 3 1/2 ou 3/4 on vous y attendra ; j’ai répondu de vous, il est impossible que vous ne compreniez pas qu'il faut faire ce que je vous dis. Morney écrit que Piscatory est de son avis sur votre élection et le lui à dit. D'Haussonville un peu cela aussi, mais avec une [ ?]. La fin de Morny est curieuse. Pourquoi M. Guizot ne dirait-il pas (par écrit je suppose) qu'il faut à la France une Monarchie ? j’ai répondu Ah, Ah on sait donc qu’il n'y a que lui qui ait du courage. La motion pour demain fait du bruit. Le camps ministériel est embarrassé. Lansdowne décidé à se conduire dans son intérêt d’honneur personnel. A demain chez moi entre 3 & 4 sûr. Ma voiture vous ramènera chez vous. Si j’ai quelques personnes vous entrerez droit dans ma chambre. Adieu. Adieu. Je ne saurais vous dire le chagrin de ne pas vous avoir parlé aujourd’hui. Mais demain.

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Clarendon Hôtel Dimanche Le 14 octobre 1849

Longue visite hier de Collaredo. Ils me soignent beaucoup. J'avais donné quelques hints à Lord John sur les dégouts que Collaredo ressentait ici. Hier il m’a dit qu'il a donné sa démission. Il ne veut pas rester exposé à être traité comme le fait Lord Palmerston. Il est très décidé. Il passera probablement par Paris en se rendant en Italie où il passera l'hiver. J’ai vu Flahaut aussi. Morny est toujours ici, & ne sait pas du tout quand il partira. J'avais envoyé la lettre de Lord Aberdeen à John Russell. Il me l’a renvoyé avec quelques explications. L’effet de la lettre a certainement Eté bon, car l’opinion d’Aberdeen était appuyée de celle de Peel qui se trouve chez lui. Tous deux trouvent qu'on a beaucoup trop grossi l’affaire ici, & qu'a Constantinople. Canning a été dans son tort. Il y a des nouvelles de Pétersbourg. On connaissait l’événement turc, & on attendait pour ne dire son avis que Fuat Effendi soit arrivé pour expliquer & excuses, car c'est comme excuse que nous prenons son envoi. Je commence à penser aussi que cela s'arrangera.

Lundi matin le 15 octobre envoi de votre lettre. Je n’ai que deux minutes à vous donner. Hier longtemps Brunnow, C. Greville, Flahaut, Morny, & la Marquise Douglas, qui me raconte beaucoup Paris, & le président, le comte de Chambord & sa femme, avec lesquels elle et aussi intime qu’avec son cousin Louis Napoléon. Brunnow croit que cela s'arrange. Il blâme un peu Titoff & beaucoup Canning. Tenez pour certain que c’est lui qui a fait tout le mal. Morny dit qu’à Paris on est très pacifique. & que le Président l’est surtout. Voilà tout en très gros. Quel dommage pour le détail ! Le départ de Collaredo fera sensation ici, contre Palmerston. Adieu. Adieu.
Il souffle très fort & Douvres & Calais & Folkestone & Boulogne sont encombrés de gens qui ne peuvent pas passer. J'attendrai comme eux, s'il faut attendre. Adieu. Adieu, vous aurez encore un mot d'ici demain.

Auteurs : Noailles, Paul de (1802-1885)

Auteurs : Moulin, Gabriel (1810-1873)

Auteurs : Montlosier, François Dominique de Reynaud de (1755-1838)

Auteurs : Montlosier, François Dominique de Reynaud de (1755-1838)

Auteurs : Montlosier, François Dominique de Reynaud de (1755-1838)

Auteurs : Montlosier, François Dominique de Reynaud de (1755-1838)

Auteurs : Montlosier, François Dominique de Reynaud de (1755-1838)

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Cologne vendredi le 4 juillet
8 heures de matin 1851

Je suis arrivée ici hier très tard. Le tapage dans l’auberge m’a empêchée de dormir toute la nuit, je vais repartir & je vous dis seulement deux mots. J’ai eu une longue conversation à Bruxelles. J’efface c’est inutile, je vous dirai cela d’Ems. Le Roi Léopold était attendu hier à Bruxelles. Ses enfants seuls vont à Ems. Il reste à Bruxelles M. Van Praet a été pour moi, charmant. Il m’a donné jusqu' ici une voiture royale qui me recommande tout-à-fait avec les chemins de fer. Mon fils me conduit à Coblence Adieu. Adieu. Je suis très fatiguée, Je serais bien contente d'être arrivée.
Marion & Kolb, des perfections. Adieu

Auteurs : Benckendorf, Dorothée de (1785?-1857)
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Cologne le 5 Juillet 1850
8 h. du matin

Quelle fatigante journée que celle de hier ! En arrivant ici j'ai pleuré de fatigue, pleuré tout- à-fait. Me voila reposée & je pars. Voilà donc Peel mort. C'est une grande et affreuse nouvelle. Je vois que si cela est bon comme question de part, c'est plein de périls futurs pour le pays en tout cas l’événement à une portée immense. Et pour le moment ce sera une perte sensible pour le gouvernement. Vous songerez à cela bien mieux que je ne saurais le faire. Moi j’en reste bouleversée.
Le Prince de Prusse arrive après-demain à Bruxelles. Cela fait grand plaisir au roi Léopold. Il ne lui dira que de bonnes & utiles choses. Je suis impatiente d’arriver à Ems pour y trouver votre lettre vos lettres peut-être. Je serai avis de me reposer & de me soigner, & de me débarrasser de tout cela le plus tôt possible. Adieu Adieu. Adieu.

Auteurs : Guizot, François (1787-1874)
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Compiègne 5 h. 1/2 Mardi.

J’arrive après avoir eu une roue brisée en route et deux heures de retard ce qui fait que j’ai tout juste le temps de m’habiller avant dîner. Deux lignes donc seulement à mon grand, grand regret, j’ai le cœur si plein qu’il me paraît ridicule que ma lettre soit si vide. Demain, j’aurai du temps et après-demain, à 2 heures, j’aurai mieux que du temps, car j’espère bien gagner encore la matinée de jeudi. Je suis bien. Mon rhume est fort diminué aujourd’hui. Hier soir, il m’impatientait, pour vous encore plus que pour moi.
Adieu. Adieu. N’est-il pas admirable que nous ayons trouvé le secret de rendre doux ce mot Adieu ? G.

Auteurs : Orléans, Henri (duc d' Aumale) (1822-1897)

Auteurs : Bois-le-Comte, Charles-Joseph-Edmonde (1796-1863) ; Guizot, François (1787-1874)
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J'avais par réserve enlevé la signature mais Mme de Damrémont me prie de la laisser subsister. Cette lettre est de M. de Bois-le-Comte-par ambassadeur.

Auteurs : Denys de Damrémont, Auguste (1819-1887)

Auteurs : Denys de Damrémont, Auguste (1819-1887)
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Copie conforme de la lettre originale de Monsieur de Damrémont existant entre les mains de Madame de Charnailles sa sœur. Cette pièce a été timbrée le 29 avril 1848

Auteurs : Doudan, Ximénès (1800-1872)

Auteurs : Doudan, Ximénès (1800-1872)

Auteurs : Doudan, Ximénès (1800-1872)

Auteurs : Rohan-Chabot, Charles Rosalie de (comte de Jarnac) (1814-1896)

Auteurs : Macdonald, Etienne (1765-1840)

Auteurs : Mettetal, Pierre-Frédéric (1814-1879)

Auteurs : Emporn, Charlotte W.

Auteurs : Austin, Sarah (1793-1867)

Auteurs : Austin, Sarah (1793-1867)

Auteurs : Austin, Sarah (1793-1867)
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