FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 1030 résultats dans 19525 notices du site.
Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (2) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chevalier, 21 décembre 1848
Godin communique à Chevalier ses réflexions sur un chauffe-bain que ce dernier lui a proposé de réaliser. Godin pense qu'en raison de la quantité d'acide carbonique que le chauffe-bain dégagerait dans la salle de bain, il faudrait chauffer l'eau ailleurs et qu'ainsi l'appareil perdrait son utilité ; il n'a pas souhaité exécuter un modèle du chauffe-bain, mais il a réfléchi à la forme de celui-ci et soumet à Chevalier un dessin en coupe de l'appareil.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cheyere, 3 décembre [1849]
Godin répond à Cheyere qui met en doute sa bonne foi dans la vente de marchandises. Godin confirme à Cheyere ce que qu'Ester Rouillier lui a dit sur la vente d'une cuisinière au prix de 100 F à Gaury. Il fait remarquer à Cheyere que celui-ci a commandé une cuisinière de 100 cm alors que Gaury a acheté des modèles de 90 cm. Godin demande à récupérer les échantillons déposés chez Cheyere car il ne dispose plus de ces modèles en magasin et l'avertit qu'il prie Bouillard de Montcornet de les enlever.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cheyere, 3 septembre [1849]
Godin informe Cheyere qu'il lui expédie la cuisinière que ce dernier a demandée et qu'il a ajouté à l'envoi cinq autres appareils qu'il pourra faire connaître, mais dont il ne devra le paiement que s'il désire les prendre à son compte ou s'il parvient à les vendre. Il lui signale que s'il souhaite prendre la totalité de la marchandise à son compte, il lui accordera une remise de 4 % pour un paiement au comptant ou de 2 % pour un règlement à terme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ch. Lamy, 15 novembre 1849
Godin annonce à Lamy que la cuisinière qu'il a commandée arrivera à Amiens le 22 novembre 1849. Il l'avertit qu'il émet un mandat à vue de 50 F pour le règlement de la marchandise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cholet, 4 novembre 1847
Godin explique à Cholet qu'il ne lui a pas expédié les poêles car il les demandait à un prix différent de celui appliqué par les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais qu'après sa nouvelle demande, il les lui expédie ; il lui remet sa facture de 66,65 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Clavel-Delamour, 26 novembre 1846
À l'invitation de monsieur Bailly-Delaby de Guise, Godin envoie à son correspondant un catalogue de ses produits, dans l'espoir de faire des affaires avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coche, 12 août 1848
Sur un dysfonctionnement d'un appareil des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin explique que l'inconvénient est dû au fait que les surfaces de fonte ne sont pas enduites de suie et que le combustible n'est pas sec ; il propose de changer la chaudière si celle-ci fuit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colas, 13 septembre 1848
Godin transmet à Colas une lettre de Nozal par laquelle ce dernier fait une proposition à Godin. Godin demande à Colas son appréciation sur cette proposition. Il l'informe qu'il va se rendre à Paris et peut s'arrêter à Saint-Quentin pour le voir si Colas le souhaite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colas, 17 août 1848
Godin demande à l'huissier Colas de le représenter pour obtenir le paiement d'une créance de 656,50 F par Nozal-Legay, dont la maison est en faillite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Collard, 13 août 1847
Godin avertit Collard qu'il met en circulation un mandat à vue de 16 F correspondant à un gril fourni en 1844 et à d'autres pièces enlevées par lui le 11 novembre 1846.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombel, 2 avril 1849
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Colombel qu'il est absorbé par la préparation de l'Exposition des produits de l'industrie agricole et manufacturière. Il lui demande si Colombel dispose d'un moyen d'expédition facile de la fonte et s'il est un moyen facile d'effectuer le paiement des droits de douane. Godin indique à Colombel qu'il cherche à affréter un bateau et lui signale qu'il souhaiterait être à Hourpes au moment du chargement. Il lui demande enfin s'il peut lui fournir de la fonte de qualité n° 2.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombel, 17 avril 1849
Godin avertit Colombel que Lucq l'a informé que ses bateaux seront à Hourpes le 25 avril et que lui-même s'y trouvera pour le chargement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombel, 18 [novembre 1849]
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Colombel qu'on lui offre de le fonte de meilleure qualité et à un prix plus avantageux que celle de Hourpes, aussi renonce-t-il à s'approvisionner à Hourpes. À propos d'un sieur Point : Godin connaît ses antécédents et prévient Colombel qu'il a l'art de duper les gens ; Godin explique à Colombel qu'il serait heureux de trouver en Belgique une maison avec laquelle il pourrait fonder une fabrique de fourneaux de cuisine et de meubles divers et promet, dont l'activité serait en un an sans comparaison avec toute autre fabrique de Belgique ; Godin demande des renseignements sur Point.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombel, 20 juin 1849
Godin accuse réception des lettres de Colombel du 4 mai et du 9 juin 1849 et le remercie pour les renseignements que la dernière contenait. Godin rectifie son compte aux Hauts-fourneaux de Hourpes, établit qu'il reste débiteur de 3 588,05 F, et adresse à Colombel un mandat du même montant à échéance du 12 juillet 1849.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colombel, 29 avril 1849
Godin annonce à Colombel qu'il se trouvera à Hourpes mardi vers midi et lui demande de prévenir le facteur de Lucq de s'y trouver. Il l'informe qu'il lui remettra alors une mandat à vue sur Paris de 8 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Conin fils, 31 août [1849]
Godin demande à Conin fils quel est le combustible en usage dans la région de Cholet et par quel mode de transport il convient de lui expédier des marchandises. Il indique qu'il peut facilement expédier jusqu'à Tours par chemin de fer. Godin promet de lui envoyer les échantillons demandés le 15 août 1849 dès réception de sa réponse.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coqueret-Blanchet, 9 décembre 1847
Au sujet d'une réclamation relative à la fourniture d'un poêle : Godin explique que le prix des appareils vendus au détail est de 15 % supérieur à celui figurant sur le tarif des produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ; il consent à échanger le poêle expédié, qui coûte 55 F, par un poêle carré ordinaire au prix de 34 ou 37 F, à la condition que les frais de transport soient à la charge de Coqueret-Blanchet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coroze-Leroux, 10 [décembre 1849]
Godin retourne à Coroze-Leroux un titre de paiement et lui explique que son voiturier a payé le transport jusque Nesles et ne lui en a pas encore communiqué le coût, et qu'il n'a droit qu'à un escompte de 1 % et non 2 %.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coroze-Leroux, 24 décembre 1847
Godin accuse réception de deux effets, de 444,25 F sur Vadencourt et de 48 F sur Guise, envoyé par Croze-Leroux le 30 décembre pour solder son compte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coulbeaux-Leroux, 3 novembre 1846
Godin demande que Coulbeaux précise le nombre d'appareils qu'il souhaite obtenir ; un seul poêle lui a été expédié. Envoi d'une facture de 128 F

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coulbeaux-Leroux, 16 mars 1849
Godin établit que le compte de Coulbeaux est débiteur de 205,25 F, soustraction faite de 4 poêles qu'il lui a retournés. Il l'avertit qu'il émet un mandat de ce montant à échéance du 29 avril 1849.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coulbeaux-Leroux, 21 juillet 1847
Godin avertit Coulbeaux qu'il émet un mandat de 46,74 F à échéance du 15 août 1847, somme correspondant à la livraison de différents articles (poids, chenets, foyer au bois).

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cour, 11 [septembre 1849]
Godin demande à Cour, qui lui en a fait la proposition, de confier à Glatigny le paquet qui lui est destiné. Il adresse à Cour le bordereau des lettres de voiture et de billets à timbrer et joint 100 F pour couvrir les frais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 1er décembre [1849]
Godin informe Culot qu'il vient d'expédier deux cuisinières à l'auberge du Mouton noir à Maroilles et qu'il est convenu que le transport coûte 4 F. Il lui indique qu'il n'a plus de cuisinière de 90 cm rétrécie, mais qu'il doit lui en rester chez Manesse à Frasnoy qu'il doit faire revenir dans 5 jours.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 2 [octobre 1849]
Godin informe Culot qu'il n'a pas trouvé d'occasion pour lui expédier les marchandises directement à Berlaimont et qu'il les a expédiées à Avesnes-sur-Helpe chez monsieur Lecat au prix de 6,30 F. Il ajoute que les marchandises lui seront livrées à Berlaimont si une occasion de transport se présente, mais qu'il devra les prendre à Avesnes si tel n'est pas le cas. Godin avertit Culot qu'il consent désormais à livrer les cuisinières de 60 cm et 54 cm au prix du tarif à condition que la commande comprenne, pour une de ces cuisinières, trois autres cuisinières ou poêles ; si ce n'était pas le cas, elles seront alors vendues à 5 F au-dessus du prix du tarif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 6 septembre 1847
Godin envoie à Culot le tarif des produits de la manufacture Godin-Lemaire. Il propose de lui vendre des produits en dépôt à Frasnoy près de Le Quesnoy, qu'il lui céderait avec une remise de 5 F au-dessous du prix du tarif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 21 avril 1848
Godin avise Culot qu'il émet un mandat de 250 F payable le 10 mai 1848 pour la fourniture de trois cuisinières enlevées à Frasnoy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 23 [novembre 1849]
Godin explique à Culot que les occasions pour livrer à La Groise ne sont pas fréquentes et qu'il l'avisera quand il lui expédiera des marchandises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Culot, 26 avril 1848
À la suite de la livraison inexacte de deux poêles et d'une cuisinière, Godin rectifie un mandat à payer par Culot, qui s'élève désormais à 173 F, remises comprises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 2 avril 1848
Godin, sans nouvelles de Curé, lui demande s'il s'occupe des élections. Il envoie à Godin sa profession de foi et celle d'Adolphe Sabran et lui demande s'il veut en recevoir d'autres exemplaires. Il indique à Curé qu'il a fait tirer la sienne à deux mille exemplaires, qu'en s'entraidant, les phalanstériens pourraient obtenir de bons résultats et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 8 janvier 1849
Sur une créance impayée par madame Quéhin venue voir Godin à Vervins à la fin des débats du procès contre Degon. Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin explique à Curé que le ministère public a conclu contre lui en s'appuyant sur le résumé additionnel à l'expertise, malgré les preuves « accablantes » qu'il a produites contre Degon, et malgré le plaidoyer « absurde et maladroit » de l'avoué de celui-ci. Il salue madame Curé et note dans le post-scriptum qu'il ira le 17 janvier 1849 à Vervins entendre sans doute sa condamnation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 19 août 1848
Godin demande à Curé des renseignements sur la solvabilité de Decroix, Pottier-André et Laplace-Borgnet, marchands de fer à La Fère. Il lui indique qu'il peut lui rembourser d'éventuels frais, par exemple de consultation au bureau des hypothèquess, et que Laplace-Borgnet est le marchand qu'il connaît le moins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin monsieur Curé, 21 avril 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande à Curé de lui de lui indiquer le nom d'ingénieurs qui pourraient intervenir en tant qu'experts dans l'affaire. Il indique à Curé qu'il lui expédiera une cheminée à La Fère à la première occasion qu'il trouvera.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 31 janvier 1849
Godin informe Curé que son huissier a obtenu la semaine dernière deux jugements contre son débiteur pour des créances dont sa femme est solidaire, et conseille de ne pas le poursuivre car il n'est pas solvable. Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin indique à Curé qu'il a obtenu la condamnation du contrefacteur, mais que le procès n'est pas terminé car il a interjeté appel du jugement qu'il considère comme une « espèce d'arrangement que le tribunal a combiné » ; il déplore qu'il soit difficile de poursuivre les contrefacteurs et regrette que la propriété industrielle « n'est pas encore de notre temps ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 4 juin 1847
Godin répond à la lettre de Damaye du 3 juin 1847 dont il trouve les termes un peu durs et très déplacés ; il rappelle à Damaye qu'il doit encore lui régler une cuisinière à trois fours et d'autres articles expédiés le 15 avril 1847 et l'avise qu'il met en circulation un mandat de 142,55 F à échéance du 15 août 1847.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 4 [octobre 1849]
Godin annonce à Damaye qu'il lui livrera les cuisinières de 60 et 54 cm au prix du tarif, mais « elles n'entreront dans mes livraisons que pour un quart car je n'en ai plus en magasin ». Il demande à Damaye de vérifier si le nom de Godin figure sur les cuisinières que détiendrait Devienne. Dans le post-scriptum, il précise que Devienne lui a acheté quelques cuisinières Degon qu'il lui a vendu 10 F moins cher que les siennes : « C'est sans doute celles-là qu'il vend bon marché. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 5 [novembre 1849]
Godin annonce à Damaye qu'il lui enverra par le premier messager le gaufrier qu'il demande. Il lui explique qu'il ne peut consentir à lui accorder la remise de prix qu'il demande, mais qu'il continuera à lui accorder la préférence quand la marchandise fera défaut.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 11 février 1848
Godin explique à Damaye que l'extension de ses affaires ne lui permet pas d'adopter un système de garantie de sa marchandise. Il remet à Damaye une facture d'un montant de 109 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 11 septembre 1847
Godin envoie à Damaye une facture pour la livraison de deux cuisinières ; avant de faire l'expédition du reste de sa commande, il lui signale que depuis le mois de septembre, il ne fait plus de conditions tarifaires particulières ; il lui demande confirmation de sa commande et l'informe que le prochain transport n'aura lieu que le 15 octobre suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 13 [septembre 1849]
Godin accuse réception du billet de 205, 45 F envoyé par Damaye. Il lui accorde une remise de 3 % sur le prix des marchandises achetées et lui explique qu'il ne peut concéder une remise de 4 % dans la mesure où Damaye ne règle pas entièrement les factures.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 14 novembre 1848
Godin demande à Damaye le service de se rendre dans les bureaux des trois journaux de Saint-Quentin pour leur demander les numéros de 1847 et 1848 dans lesquels ont été publiées des annonces pour la vente de cuisinières.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 16 janvier 1847
Sur la livraison d'une cuisinière : Damaye a demandé le 13 janvier qu'elle ne lui soit pas expédiée ; Godin explique que le voiturier Vaillant l'a chargée le même jour mais qu'il l'a brisée à Saint-Quentin, qu'il n'en a pas informé Damaye et qu'il l'a ramenée à Guise ; Godin demande à Damaye s'il veut encore la cuisinière, sinon il demandera des dommages et intérêts au voiturier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 17 janvier 1848
Godin dément avoir promis de changer sans frais les pièces brisées de ses appareils. Il fait valoir que les accidents survenus aux cuisinières à 5 trous n'empêchent en rien leur bon fonctionnement. Il refuse d'adopter un système de garantie générale et demande si, malgré cela, Damaye souhaite encore recevoir des marchandises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 18 avril 1847
Godin informe Damaye qu'il émet un titre de 170 F à échéance du 30 avril 1847 pour le recouvrement du prix d'une expédition de marchandises du 27 octobre 1846. Godin précise que la facture de la dernière cuisinière expédiée se trouve dans son emballage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 21 mai 1847
Godin accuse réception d'un mandat de 52,95 F impayé par Damaye, qui a exprimé son désaccord, et émet un nouveau mandat de 53,40 F à l'ordre de Geneste à échéance du 1er juillet 1847.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 21 [septembre 1849]
Godin établit le débit du compte de Damaye 8,45 F après les différentes remises de celui-ci d'un montant de 574,55 F. Godin indique à Damaye qu'il ne lui accordera à l'avenir qu'une remise de 2 % sur le prix des appareils, « mais je peux vous être plus utile d'une autre manière ». Il l'informe enfin que les cuisinières de 60 cm et 54 cm lui seront vendues à un prix supérieur de 5 F si la commande ne comprend pas aussi un nombre trois fois plus grand d'autres cuisinières.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 22 [septembre 1849]
[Godin informe son correspondant que les cuisinières de 60 cm et 54 cm lui seront vendues à un prix supérieur de 5 F si la commande ne comprend pas aussi un nombre trois fois plus grand d'autres cuisinières.]

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 23 mai 1847
Godin revient sur le mandat de 52,95 F impayé par Damaye et lui rappelle qu'outre la cuisinière livrée le 3 janvier 1847, la somme comprend les poids à peser livrés le 2 juillet 1846 ; il remet en circulation le mandat de 52,95 F à payer le 1er juin 1847.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 2 octobre 1849
Godin annonce à Daverdoing qu'il vient d'expédier la cuisinière destinée à Pelgrin. Il indique qu'il attend une réponse de Daverdoing pour solliciter le règlement de 116 F que celui-ci souhaite payer ; il lui fait remarquer qu'il a acheté sa cuisinière moins cher, 110 F, alors que l'appareil est vendu 120 F pour un paiement au comptant et 112 F dans le cas d'une vente en gros. Désireux de vendre ses produits à Metz, Godin prie Daverdoing de demander aux marchands de fourneaux de la ville, parmi lesquels Rheurte-Bousse, François, François-Vaillant et Lemarie, de venir voir sa cuisinière ; Il lui demande également de lui indiquer la maison la mieux réputée à Metz, à laquelle il pourra envoyer son tarif et des lithographies. Godin donne enfin des explications sur le fonctionnement de la cuisinière de Daverdoing.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 4 janvier 1850
Godin informe Daverdoingt, contrôleur des contributions indirectes, que ses magasins sont dépourvus des fourneaux qu'il demande et il revient sur les « difficultés » de la vente d'une cuisinière. Godin rappelle qu'il a expédié à Pelgrin une cuisinière différente de celle que lui avait demandé Manesse et la lui avait cédée au prix avantageux de 122 F ; le prix de 114 F qui figure sur le tarif est celui consenti aux marchands et non aux consommateurs, explique Godin, et la livraison chez un particulier est plus difficile que chez un commerçant ; Godin prie Daverdoingt, grâce à qui il place des appareils à Metz, de faire connaître aux personnes intéressées que le prix ne peut être maintenu à 110 F et lui indique qu'il lui versera la différence [entre ce prix et le prix de vente]. Godin conclut en informant Daverdoingt qu'il met en fabrication les cuisinières demandées et lui demande la contenance des marmites et casseroles qu'il souhaite obtenir.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2