FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (9) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 20 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces mentionnées dans son courrier au président du tribunal de commerce de Vervins du 20 avril 1867. Il explique à Oudin-Leclère que les 12 rôtissoires et autres objets livrés sans émail contredisent péremptoirement Jacquet qui a affirmé à l'audience qu'on ne pouvait faire usage des appareils non émaillés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 23 avril 1867
Godin informe Lecoq de Boisbaudran que son fils Émile reprendra dans quelques jours la malle qui lui a été adressée par erreur. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Il l'avertit qu'il va lui envoyer les pièces du dossier qu'il vient de perdre à Charleville-Mézières et les lettres de son avoué et de son avocat qui l'enjoignent à interjeter appel. Il prie Lecoq de Boisbaudran de voir si Jules Favre voudrait se charger de l'affaire dans la mesure où il va déjà plaider contre Jacquet. Il lui indique qu'on lui avait conseillé Boulange du barreau de Metz, qu'il va entamer un nouveau procès en contrefaçon au tribunal de Charleville, dont l'appel pourrait être jugé à Metz, et qu'il faut estimer l'influence qu'une affaire pourrait avoir sur l'autre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président de la chambre de commerce de Saint-Quentin, 25 avril 1867
Sur les locomotives routières. Godin répond au président de la chambre de commerce de Saint-Quentin qui lui demande des renseignements sur les locomotives routières. Godin estime que les locomotives sur routes ordinaires sont dans une phase d'expérience et qu'il est difficile de se prononcer sur leur avenir. En préambule, il affirme que cette question ne doit pas être préjudiciable aux études de création de voie de chemin de fer, car les voies de communication des localités industrielles comme Guise se détériorent au lieu de s'améliorer. Cette détérioration est défavorable à la généralisation des locomotives à vapeur sur routes comme la sienne. Il faudrait que les routes, comme les voies ferrées, aient une résistance uniforme sur tous les points du parcours, que les fortes pentes soient adoucies, que le macadam soit toujours ferme et solide et que les routes soient d'une largeur suffisante. Il explique qu'à la différence des locomotives sur voies ferrées, les locomotives sur routes ordinaires sont soumises à des variations incessantes en fonction des soubresauts du sol, des pentes ou de la météorologie. Les coups de collier, les chocs sont causes de nombreuses réparations. La vitesse de 4 à 5 kilomètres par heure lui semble la meilleure pour un service régulier. Les locomotives routières sont destinées à remplacer les bœufs et les chevaux de trait, sur des trajets de petite distance mais rien de plus. Godin ajoute qu'un service régulier de locomotives à vapeur exigerait en outre l'installation de réservoirs d'eau tous les 6 à 8 kilomètres, la consolidation des ponts et des ouvrages d'art. Il recommande d'éviter de multiplier les wagons et de les faire avec la capacité de porter 15 tonnes. Il explique que la réglementation sévère l'a fait renoncer à mettre en service une locomotive pour aller à Saint-Quentin et à Bohain : « Je ne me sers de ma locomotive que pour les déchargements de mes bateaux quand elle est en état de fonctionner. » Il lui semble que le coût du transport par locomotives sur routes pourrait être inférieur de moitié au transport par voitures, mais que les imprévus sont trop nombreux pour donner lieu à un calcul.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 6 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin demande à Oudin-Leclère de terminer au plus vite l'affaire Jacquet. Il lui demande de voir si Jacquet pourra empêcher la vente des marchandises brevetées par lui qui se trouvent dans les magasins des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il interroge Oudin-Leclère sur l'intention de Jacquet de faire appel. « Examinez enfin les mesures à prendre en raison des événements. »

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Charles Duprez, 3 mai 1867
Émile Godin informe Charles Duprez que le conseil du Familistère a décidé de repousser la fête du Travail du Familistère qui devait avoir lieu le deuxième ou troisième dimanche de mai, en raison de la cessation des affaires et de l'arrêt du travail. Il espère que la santé de la petite fille de Duprez continue à s'améliorer et il transmet son souvenir à madame Duprez.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 8 mai 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos du brevet de Corneau frères pour un calorifère : Godin fait l'historique de son enquête sur ce brevet dont l'irrégularité semble être la cause de l'accusation de contrefaçon portée à son encontre. Il suggère à Lecoq de Boisbaudran que la nullité du certificat d'addition du 20 mars 1861 est un argument à mettre en avant. Il lui demande si l'agent en brevets recommandé par Jules Favre n'est pas Armengaud qui lui a donné autrefois les mauvais renseignements qui ont conduit au procès. Godin confirme sa volonté d'interjeter appel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 11 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Sur l'arrangement à conclure avec Jacquet, les marchandises qu'il a fabriquées pour lui et la somme de 10 000 F qu'il lui doit en vertu du jugement du tribunal. Il suggère à Oudin-Leclère de faire savoir à Jacquet qu'il pourrait accepter les marchandises fabriquées pour lui en paiement de la somme ordonnée par le tribunal et ainsi éviter un procès en déchéance de brevet que Godin aurait intérêt à faire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C. Vuillamy, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Vuillamy qu'il a averti Béchet, Dethomas et Cie de déposer à la Caisse des consignations 10 000 F à la suite de la condamnation prononcée contre lui dans l'affaire Jacquet. Il prie Vuillamy de demander à Lecoq de Boisbaudran la formule convenable à donner à ce dépôt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin accorde à Oudin-Leclère le versement de 13 000 F au profit de Jacquet à mesure que ce dernier remettra les objets que Godin lui a livrés. Il prie Oudin-Leclère de demander à Larue d'adopter des formes moins rudes à son égard. Il précise dans le post-scriptum qu'il lui remettra la somme en valeur sur Duflot frères.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Béchet, Dethomas et Cie, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin demande à la banque de déposer à la Caisse des consignations la somme de 10 000 F suite à la condamnation prononcée contre lui par le tribunal de Vervins au profit de Jacquet, 59, boulevard de Strasbourg à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, vers le 24 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin communique à Lecoq de Boisbaudran l'état des appareils que Jacquet doit lui remettre. Sur l'appel du jugement par Jacquet. Godin pense qu'il n'a plus de motif de faire appel puisqu'il a offert de lui verser 10 000 F à mesure qu'il remettra les objets qui lui ont été livrés, mais qu'il se trouve peut-être gêné pour lui remettre les objets et qu'il est peut-être balloté par ses hommes d'affaires. Godin suggère à Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy, qui désire se mettre en voyage, ne sera plus utile à Paris si Jacquet se refuse à remettre les appareils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy fera verser le lendemain à la Caisse des dépôts par la banque Béchet, Dethomas et Cie la somme de 10 000 F. Il lui demande de lui communiquer la formule nécessaire au dépôt. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères : Godin demande à Lecoq de Boisbaudran de répondre à sa dernière lettre sur la question d'un appel devant la cour de Metz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur C.  Vuillamy, 24 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Vuillamy que sa présence à Paris est nécessaire pour réceptionner les objets remis par Jacquet, mais que si ce dernier ne veut rien remettre et si Lecoq de Boisbaudran en convient, il pourra partir en voyage. Godin pense que les événements et l'atonie désespérante des affaires font moins regretter le temps perdu. Dans le post-scriptum, il demande à Vuillamy si Cantagrel se trouve à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 28 mai 1867
Godin informe Eugène André que son fils Émile lui a rapporté sa lettre et une casserole émaillée. Sur des essais d'émaillage. Godin pense qu'il serait heureux d'obtenir pour 500 F un procédé permettant de faire des émaux de qualité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guillemont, 29 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Guillemont qu'il a demandé à la banque Béchet, Dethomas et Cie de lui remettre la somme de 10 000 F pour lui permettre de faire des offres à Jacquet. Il demande à Guillemont de s'entendre avec Lecoq de Boisbaudran, avocat, rue du Pont-de-Lodi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 29 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin avertit Lecoq de Boisbaudran qu'il adresse à Guillemont la signification envoyée par Jacquet et que la somme de 10 000 F sera remise à l'avoué le lendemain.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Béchet, Dethomas et Cie, 29 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin demande à la banque de verser 10 000 F à monsieur Guillemont au 159, rue Montmartre à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 31 mai 1867
Godin demande au maire de Guise de délivrer l'autorisation pour le bal devant avoir lieu au Familistère à l'occasion de la fête de dimanche.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 juin 1867
Godin demande à Cantagrel s'il peut l'aider à lui obtenir deux chambres contigües, au 2e ou au 3e étage, au Grand hôtel du Louvre ou au Grand hôtel pour lui et Marie Moret qui arriveront le 8 juin à 3 heures de l'après-midi. Godin ajoute que son voyage est incertain parce que sa mère est gravement malade et qu'elle peut mourir à tout moment.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 31 mai 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin remet à Noizet la signification du jugement rendu contre lui pour interjeter appel. Il lui demande de se mettre en relation avec Jules Favre. Il suppose que Dureteste, avocat à Charleville, l'a déjà mis au courant de l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 4 juin 1867
Godin informe le préfet qu'il fera son possible pour se rendre à Paris à la réunion à laquelle il a été invité, mais qu'il pourrait en être empêché par la santé de sa mère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 21 juin 1867
Godin signale à Eugène André que son fils Émile est à Bruxelles et qu'il craint de faire double emploi en lui envoyant la fonte et le combustible qu'il demande. Sur des essais d'émaillage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dureteste, 26 juin 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin explique à Dureteste qu'il a été accaparé par les procès, et qu'il a suivi ses conseils pour l'appel interjeté, bien qu'il ne lui en ait rien dit, mais avec moins de rapidité que celui-ci l'aurait souhaité. Il lui remet 600 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 4 juillet 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin autorise Delpech, en mauvais état de santé suivant ce que lui a écrit Oudin-Leclère, à repousser l'audience de son affaire à condition de faire part au juge des raisons motivant cette demande.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Barrault, 6 juillet 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande des nouvelles relatives à la nullité du certificat d'addition. Il annonce à Émile Barrault l'envoi d'un dossier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Renaux, 6 mai 1867
Godin propose à J. Renaux un emploi d'employé de bureau dans la manufacture de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brianchon, 6 mai 1867
Godin remercie Brianchon pour la lettre que lui a communiquée monsieur Barbet au sujet d'un candidat à la direction de l'atelier d'émaillage de l'usine. Godin doute que cette personne, un tailleur de verre, ait les connaissances en chimie nécessaires pour occuper l'emploi. Godin demande à Brianchon de lui donner des renseignements à ce sujet et propose d'offrir au candidat les frais de son voyage à Guise pour s'entretenir avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin au procureur impérial à Laon, 26 juillet 1867
Denisart dénonce au procureur impérial des détournements de fonds d'un montant de 1 200 réalisé par Lasserez dans les bureaux de la manufacture de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brianchon, 16 juillet 1867
Sur l'emploi d'émailleur. Denisart répond à la lettre de Brianchon à la place de Godin, souffrant. Denisart assure Brianchon que Godin maîtrise la chimie des émaux ; il veut savoir si le candidat a des notions de la décoration au pinceau. Il rappelle la proposition de Godin d'offrir au candidat les frais de voyage à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin au commissaire de police du canton de Guise (Aisne), 20 juillet 1867
Denisart informe le commissaire qu'il a signalé au procureur impérial des détournements de fonds d'un montant de 1 200 F commis par Lasserez dans les bureaux de la manufacture de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 août 1867
Godin explique au préfet de l'Aisne que sa santé ne lui permet pas d'honorer ses obligations envers la Commission d'étude des chemins de fer et la Commission de l'Exposition universelle. Il précise qu'il avait commencé une étude des locomotives routières qu'il a été contraint d'abandonner et qu'il fait rédiger sa lettre par son fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Malézieux, 2 août 1867
Godin accuse réception de la circulaire du 27 juillet 1867 relative aux missions des membres de la Commission départementale pour l'étude de l'Exposition universelle. Godin explique qu'il avait commencé ses études lorsqu'il tomba malade, et que son état de faiblesse ne lui permet toujours pas de satisfaire à ses obligations, au point où il a demandé à son fils de prendre la plume à sa place.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 5 août 1867
Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces de deux affaires appelées au tribunal de Vervins. Sur le détournement de fonds commis par Lasserez. Godin résume l'affaire. Lasserez a détourné des fonds dans les bureaux de la manufacture ; avant d'être emprisonné à Vervins, il a cherché à enlever de la chambre meublée qu'il occupait au Familistère les meubles et effets achetés avec le produit de son vol ; Godin s'y est opposé. Il demande à Oudin-Leclère ce qu'il doit faire. La deuxième affaire est relative à une livraison de marchandises d'une maison de Colmar qui n'ont pas été commandées et qui n'ont pas été retirées de la gare de chemin de fer. La maison de Colmar a assigné Godin au tribunal de Vervins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 13 août 1867
Godin s'en remet à Oudin-Leclère pour l'affaire Meyer Levy [la livraison de Colmar]. Sur l'affaire Lasserez. Les sommes détournées s'élèvent à 1 480 F, dont il a remboursé 358 F, mais il faut aussi dédommager le travail accompli pour remettre en ordre les écritures. La famille de Lasserez doit ainsi encore rembourser 1 220 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 14 août 1867
Sur l'affaire Lasserez. Godin précise l'état des sommes dues par Lasserez : il évoque la famille de Lasserez. Sur l'affaire Meyer Levy. Godin confirme que ni lui ni son ancien employé Cantelon n'ont passé commande des marchandises livrées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Denisart, Alfred
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 26 août 1867
Sur les affaires Lasserez et Meyer Levy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 13 septembre 1867
Godin informe Calisti que sa lettre lui sera remise par Crécy, instituteur au Familistère de Guise qui doit quitter le Familistère. Godin souhaite que Calisti envoie un instituteur au Familistère en remplacement de Crécy. Il souhaite que cet instituteur soit bienveillant et s'interdise d'utiliser la violence, « condition indispensable pour rester ici où je n'admets que l'émulation comme moyen de direction ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Colas frères, 28 août 1867
Godin explique à Colas frères que le mauvais état de sa santé ne lui a pas permis de répondre plus tôt à sa demande de renseignements sur un ancien employé des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin juge qu'il est capable de rendre des services en comptabilité mais il ne connaît pas sa capacité à être voyageur de commerce, et il indique que sa moralité n'est pas irréprochable.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Calisti, 27 septembre 1867
Godin informe Calisti que Crécy, instituteur au Familistère de Guise, a trouvé un nouvel emploi qui exige son départ rapide du Familistère. Godin demande à Calisti s'il peut lui envoyer le maître qu'il a promis de lui trouver pour remplacer Crécy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bouvart, 20 septembre 1867
Godin répond à Bouvart, ancien élève de l'École des arts et métiers de Châlons, qui lui demande un emploi. Godin lui demande son classement à la sortie de l'École et lui indique qu'il ne se rappelle pas la visite qu'il aurait faite à Guise. Il l'informe que la situation des affaires ne lui permet pas de l'embaucher actuellement, surtout si ses aptitudes se limitent aux travaux de la fonderie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Moine, 20 septembre 1867
Godin informe Alfred Moine qu'il ne peut l'embaucher au moment où la situation des affaires est mauvaise. Il lui demande quelles sont ses prétentions salariales au cas où un emploi deviendrait vacant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hincellin, 30 septembre 1867
Godin informe Hincellin qu'il a reçu une lettre de l'inspecteur d'académie de Laon lui annonçant qu'il l'avait engagé à venir occuper le poste d'instituteur au Familistère, vacant depuis le jour même. Godin demande à Hincellin s'il peut venir rapidement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lourmet, 4 octobre 1867
Godin accuse réception en bon état des raisins envoyés par Lourmet, qui proposait dans sa lettre du 3 juillet 1867 de lui vendre du vin. Godin lui explique qu'il doit procurer à bon marché du vin à la population du Familistère et qu'il doit acheter du vin vieux pour sa propre consommation. Il lui demande son tarif.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François, Jean et Corne, 4 octobre 1867
La maison François, Jean et Corne a indiqué au voyageur de commerce de Godin qu'elle pourrait lui livrer du vin : celui-ci demande le tarif des vins de 1864 et des années précédentes pour sa consommation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au secrétaire de la Commission départementale de l'Aisne sur l'Exposition universelle de 1867, 4 octobre 1867
Godin répond à la lettre du 30 septembre 1867 du secrétaire de la Commission qui lui demande de lui transmettre son étude sur l'Exposition universelle de 1867, en lui indiquant qu'il a déjà écrit au préfet pour lui dire que son mauvais état de santé n'avait pu lui permettre de réaliser le travail attendu. Il propose d'envoyer ses notes sur la question des locomotives routières.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Baland, 4 octobre 1867
Godin demande à Baland s'il peut l'approvisionner en bon vin assez fait.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ceroni, 4 octobre 1867
Godin demande à Ceroni à qui il pourrait s'adresser pour commander des vins vieux de Bordeaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Oyon, 8 octobre 1867
Godin répond à une demande de conseil sur le choix d'un fourneau de la part de madame Oyon. Il fait valoir que le choix d'un fourneau est une affaire personnelle et qu'Allez frères lui ont conseillé un appareil au prix modique. Godin donne à madame Oyon les caractéristiques et le prix de plusieurs appareils entre lesquels elle peut faire un choix. Il transmet ses salutations à Auguste Oyon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guy, 9 octobre 1867
Godin demande à Guy s'il connaît un élève de mérite sorti l'an dernier de l'École des arts et métiers qui pourrait devenir employé dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire en vue d'occuper un emploi de direction.
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